Described by Jeffrey Masson as 'the single best introduction to animal rights ever written,' this new book by Tom Regan dispels the negative image of animal rights advocates perpetrated by the mass media, unmasks the fraudulent rhetoric of 'humane treatment' favored by animal exploiters, and explains why existing laws function to legitimize institutional cruelty.

Meiotic recombination in eukaryotic cells requires two homologs of E. coli RecA protein, Rad51 and Dmc1. Until recently, the role of Dmc1 in meiotic recombination was mostly attributed to genetic studies as purified Dmc1 was found to be a much weaker recombinase than Rad51 in the test tube. Now, Sehorn and colleagues1 have reported that, like Rad51, human Dmc1 is an efficient recombinase in vitro. Dmc1 forms helical nucleoprotein filaments—the signature of classical recombinases such as Rad51. These observations reveal a (...) high level of similitude between the Dmc1 and the Rad51 family of recombination enzymes in higher eukaryotes. BioEssays 26:1151–1155, 2004. © 2004 Wiley Periodicals, Inc. (shrink)

La plupart des philosophes de l’Antiquité pensent que les rêves ont des capacités prophétiques. Les seuls philosophes à s’écarter de cette tradition sont les épicuriens. Ils démystifient le phénomène du rêve en l’expliquant dans les termes de leur théorie physique matérialiste. Ils soulignent le lien entre le contenu du rêve et les activités diurnes, entre ce même contenu et la qualité d’âme du rêveur. Parce que l’identité de chacun persiste lorsqu’il rêve, les épicuriens attribuent à l’activité onirique une signification psychologique (...) et morale considérable : quoique non véridique, le rêve n’en reste pas moins révélateur. Il est l’expression des recoins intimes de la personnalité du dormeur. (shrink)

Dans le plan de la première partie de la Somme Théologique de Thomas d’Aquin, les questions 12 et 13, dédiées aux noms divins, occupent une place privilégiée et confèrent une perspective inédite au discours théologique grâce à leur double fonction. D’une part, leur fonction est normale dans l’ordre du discours : après avoir établi les principaux attributs de Dieu, dont on a justement affirmé dans la 2e question qu’il est, les deux questions fixent les limites dans lesquelles il peut être (...) connu. D’autre part, les deux questions jouent le rôle de clivage dans l’ordre du discours qui établit comment est Dieu. Ainsi les deux interrogations fondent la connaissance de l’intellect humain par rapport à l’objet véritablement transcendant à toute expérience et questionnent, par conséquent, les conditions de possibilité de la connaissance intellectuelle générique de Dieu sur l’objet. Ce dernier aspect se réfléchit y compris chez les tenants de cette connaissance de telle façon que la légitimation des noms divins ait le rôle d’une légitimation de la théologie comme science, dont l’existence était annoncée et débattue au début de la Somme. (shrink)