Introduction -- Postfeminist contexts -- Backlash, new traditionalism and austerity-nostalgia -- New feminism : victim vs. power -- Girl power and chick lit -- Do-me feminism and raunch culture -- Liberal sexism -- Postmodern (post)feminism -- Queer (post) feminism -- Men and postfeminism -- Cyber-postfeminism -- Third-wave feminism -- Micro/macro-politics and enterprise culture -- Postfeminist brand culture and celebrity authenticity.

Can we expect our scientific theories to make up a unified structure, or do they form a kind of “patchwork” whose pieces remain independent from each other? Does the proliferation of sometimes-incompatible representations of the same phenomenon compromise the ability of science to deliver reliable knowledge? Is there a single correct way to classify things that science should try to discover, or is taxonomic pluralism here to stay? These questions are at the heart of philosophical debate on the unity or (...) plurality of science, one of the most central issues in philosophy of science today. This book offers a critical overview and a new structure of this debate. It focuses on the methodological, epistemic, and metaphysical commitments of various philosophical attitudes surrounding monism and pluralism, and offers novel perspectives and pluralist theses on scientific methods and objects, reductionism, plurality of representations, natural kinds, and scientific classifications. (shrink)

Addressing the contradictions surrounding modern-day femininity and its complicated relationship with feminism and postfeminism, this book examines a range of popular female/feminist icons and paradigms. It offers an innovative and forward-looking perspective on femininity and the modern female self.

Platon, Descartes, Nietzsche... Lorsque l'on pense philosophie, ces grands noms nous viennent immédiatement à l'esprit. De fait, " la vraie méthode pour former la notion de philosophie, c'est de penser qu'il y eut des philosophes ", Socrate, la figure de proue faisant du philosophe un parangon de sagesse. Pour autant toutes et tous ne sont pas aussi sages... Tantôt métaphysiciens, tantôt férus de sciences, hommes de foi, penseurs engagés ou lettrés à la plume habile... les philosophes ont de multiples visages. (...) Ainsi, il n'y a pas qu'une seule manière d'être philosophe, comme il n'y a pas qu'une manière de le devenir, mais une véritable pluralité dont ce livre à douze voix se fait l'écho. (shrink)

Conçues pour des biens ayant une consistance matérielle, nombre d'infractions pénales ont été sollicitées ces dernières années pour s'appliquer à des biens immatériels tels qu'un numéro de carte bancaire, un projet de borne informatique, du temps de travail ou encore des données informatiques. Au-delà de la matière répressive, l'ambition de cet ouvrage est de se livrer à une étude plus générale de l'adaptation du droit au développement de l'immatériel pour déterminer jusqu'où l'on peut juridiquement aller dans sa prise en compte. (...) C'est un fait indéniable que l'immatériel prend une place de tout premier plan dans la société contemporaine. Le droit des siècles passés connaissait, certes, déjà l'incorporalité, mais nul doute que les potentialités actuelles ouvrent des perspectives nouvelles. L'ouvrage propose tout d'abord de préciser la notion d'immatériel en recourant à des approches non juridiques. Le point de vue du philosophe et celui du physicien peuvent fournir des clés pour percer un concept que le juriste pourra ensuite aborder de manière pragmatique. S'agissant de l'appréhension juridique de l'immatériel, deux mouvements peuvent être observés. D'une part, l'immatériel est un objet que le droit s'efforce d'intégrer ; d'autre part, il est un outil que le droit peut exploiter. Sur le premier point, il s'agit d'examiner comment le droit parvient à s'adapter à l'émergence de nouvelles formes d'objet et surtout d'identifier les limites qui ne pourront ou ne devront pas être dépassées. Même lorsque l'on s'intéresse à des matières qui ont été conçues pour régir l'immatériel, telle que la propriété intellectuelle, on observe en effet que tout objet ne peut être saisi et on devine alors que de telles limites doivent a fortiori exister lorsque l'on est en présence de branches du droit qui n'étaient originairement pas destinées à s'appliquer à de tels biens et qui ne peuvent y parvenir qu'au terme d'une adaptation. Sur le second aspect, il s'agit d'observer les perspectives qu'ouvre l'immatériel comme moyen d'accéder au droit et de mettre en relation les acteurs de la scène juridique. Là aussi, certains aspects ne sont pas totalement nouveaux et si la prolifération des contrats conclus par voie électronique ne constitue que le développement récent du phénomène ancien des contrats à distance, la dématérialisation des procédures et des échanges entre professionnels du droit va être relayée par un accès direct du justiciable aux services judiciaires qui est de nature à changer de manière significative le mode de relation au juge et à l'institution judiciaire. (shrink)

Passivité et création est un livre ancré dans une double pratique: la peinture et la philosophie. Sa composition s'inspire du trajet suivi par Maurice Merleau-Ponty dans l'élaboration de son cours au Collège de France de 1954-1955: "Le problème de la passivité: le sommeil, l'inconscient, la mémoire". A partir de l'étude de la pratique de certains artistes et de l'analyse de textes philosophiques, il s'agit de décrire une passivité de forme particulière, une passivité "opérante", corrélative d'une forme dynamique de la subjectivité. (...) Cette passivité, "dimension d'un mouvement dont je suis le médiateur, mais qui d'une certaine façon se fait en moi sans moi, à mon insu", de nombreux artistes du 20. siècle s'en sont faits les témoins (Arp, Bacon, Dubuffet, Klee, Michaux, Rauschenberg, Schwitters, Spoerri, Nicolas de Staël, Bram Van Velde...), appelant aussi cette expérience "inconscient", "hasard", "imprévu", "surprise". Dans la perspective esquissée ici, l'accès aux autres cesse alors d'être un "problème". L'autre a déjà sa part dans mon expérience la plus singulière. Mon expérience peut devenir expérience pour d'autres parce qu'elle s'inscrit au sein d'une dimension phénoménologique qui n'est ni de moi ni d'autrui, mais commune. Quel est le rôle de cette passivité structurelle dans la création comprise comme transformation de la vision et du monde lui-même? Et comment peut-on en retourner la fragilité en pouvoir? (shrink)

Rapprocher langage et musique, ou "logos" et "meios", peut apparaître comme une entreprise à la fois banale et périlleuse. En effet, le sens commun hésite d'emblée entre deux thèses opposées et apparemment irréconciliables : par certains aspects, la musique parle à tout auditeur, fût-il peu averti, elle parle aux émotions et elle est même souvent présentée comme un langage universel ; mais la musique semble également inaccessible aux mots, impossible à décrire ou à paraphraser, parce qu'elle serait justement apte à (...) exprimer - le plus souvent sans mots - "l'indicible" ou "l'ineffable". La tension entre ces deux pôles continue à nourrir la réflexion des philosophes, comme elle a interrogé les linguistes et les musicologues. La diversité des approches contenues dans cet ouvrage émane de la volonté des auteurs de procéder de façon pluridisciplinaire et traduit aussi leur souhait de s'adresser à un public varié - mélomanes, linguistes, philosophes ou encore musiciens (qu'ils soient professionnels ou amateurs, compositeurs ou interprètes) -, et donc à tout lecteur pour lequel écouter ou faire de la musique n'est pas seulement une occupation anodine et superficielle. (shrink)

Depuis plusieurs années déjà s'élèvent des critiques d'une radicalité inouïe contre le cœur même de l'héritage des Lumières : le rationalisme, le progressisme, l'universalisme. Ces critiques se revendiquent de l'émancipation des dominés, marqueur traditionnel des différents courants de gauche. Mais s'inscrivent-elles dans le prolongement de celles qui, depuis l'émergence des mouvements socialiste, communiste ou anarchiste, avaient pour horizon un prolongement et un élargissement des combats des Lumières "bourgeoises"? Il est malheureusement à craindre que non. Une partie de la gauche est-elle (...) dès lors en train de se renier elle-même?"--Page 4 of cover. (shrink)

Offering a Canadian perspective on the emotional health of servicemen and women, Military Operations and the Mind brings together researchers and practitioners from across the country to consider the impact that ethical issues have on the well-being of those who serve. Stemming from an initiative to enhance the lives of serving members by providing them with the best education and training in military ethics before and after deployments, this volume will better inform politics and public policies and enhance the welfare (...) of the soldiers, sailors, and airmen and women who serve in singular, often harsh, and sometimes dangerous conditions. By integrating into the analysis the critical issue of well-being, this emerging field demonstrates a more holistic approach and is distinct from other fields in military, historical, philosophical, and behavioural studies. The first study of its kind, Military Operations and the Mind presents a new and helpful way to focus on the life of soldiers not only in operations overseas, but also once they return home. (shrink)

This volume showcases the best of recent research in the philosophy of science. A compilation of papers presented at the EPSA 13, it explores a broad distribution of topics such as causation, truthlikeness, scientific representation, gender-specific medicine, laws of nature, science funding and the wisdom of crowds. Papers are organised into headings which form the structure of the book. Readers will find that it covers several major fields within the philosophy of science, from general philosophy of science to the more (...) specific philosophy of physics, philosophy of chemistry, philosophy of the life sciences, philosophy of psychology, and philosophy of the social sciences and humanities, amongst others. This volume provides an excellent overview of the state of the art in the philosophy of science, as practiced in different European countries and beyond. ​It will appeal to researchers with an interest in the philosophical underpinnings of their own discipline, and to philosophers who wish to explore the latest work on the themes explored. (shrink)