Introduction: the age of Paine -- Portrait of a failure -- The great American cause -- The peculiar honor of France -- The Age of Reason -- An honest and useful life.

Introduction Watching the Doctor In some cultures, it is said, villagers cluster around a healer and a patient, eagerly listening to their conversation and ...

Die MISCELLANEA MEDIAEVALIA präsentieren seit ihrer Gründung durch Paul Wilpert im Jahre 1962 Arbeiten des Thomas-Instituts der Universität zu Köln. Das Kernstück der Publikationsreihe bilden die Akten der im zweijährigen Rhythmus stattfindenden Kölner Mediaevistentagungen, die vor über 50 Jahren von Josef Koch, dem Gründungsdirektor des Instituts, ins Leben gerufen wurden. Der interdisziplinäre Charakter dieser Kongresse prägt auch die Tagungsakten: Die MISCELLANEA MEDIAEVALIA versammeln Beiträge aus allen mediävistischen Disziplinen - die mittelalterliche Geschichte, die Philosophie, die Theologie sowie die Kunst- und Literaturwissenschaften (...) sind Teile einer Gesamtbetrachtung des Mittelalters. (shrink)

Die MISCELLANEA MEDIAEVALIA präsentieren seit ihrer Gründung durch Paul Wilpert im Jahre 1962 Arbeiten des Thomas-Instituts der Universität zu Köln. Das Kernstück der Publikationsreihe bilden die Akten der im zweijährigen Rhythmus stattfindenden Kölner Mediaevistentagungen, die vor über 50 Jahren von Josef Koch, dem Gründungsdirektor des Instituts, ins Leben gerufen wurden. Der interdisziplinäre Charakter dieser Kongresse prägt auch die Tagungsakten: Die MISCELLANEA MEDIAEVALIA versammeln Beiträge aus allen mediävistischen Disziplinen - die mittelalterliche Geschichte, die Philosophie, die Theologie sowie die Kunst- und Literaturwissenschaften (...) sind Teile einer Gesamtbetrachtung des Mittelalters. (shrink)

Fruit du colloque organisé en 2006 par les universités de Liège, de Saint-Louis de Bruxelles et Charles-de-Gaulle Lille 3, ce livre se présente sous la forme d’un imposant volume qui présente de nombreuses biographies. L’ouvrage est divisé en cinq parties, très déséquilibrées : la part du lion, réservée au politique, comprend dix contributions, mais celle qui traite des reines n’en comprend que deux et semble ignorer les très nombreux travaux de l’historiographie anglo-saxonne sur le queenshi...

Lorsque parut en 1977 l’article de Joan Kelly Gadol, « Did women have a Renaissance? », on commençait à parler de gender. Dans sa formulation, qui appelait évidemment une réponse négative, c’était bien une question « renversante » : elle soumettait à interrogation une notion rarement mise en doute, la Renaissance, et introduisait comme critère possible de sa pertinence, le Féminin. Cet article a profondément marqué les générations suivantes d’historiens, spécialistes de l’histoire des femmes et du genre, suscitant de profondes (...) remises en question, des controverses et une multitude de textes reprenant ce questionnement des fondamentaux de nos disciplines. Trois historiennes, deux médiévistes et une moderniste tentent ici, plus de trente ans après, une relecture faisant le point sur les apports et les remises en question de ce texte fondateur. (shrink)

Point d’orgue de foisonnantes journées d’études organisées par Guyonne Leduc à l’Université de Lille iii, cet important volume qui regroupe une trentaine de contributions propose une vision kaléidoscopique et pluridisciplinaire d’un mythe à la fois historique et littéraire, celui des Amazones, présent dans notre imaginaire depuis plus de deux mille ans. Tourné vers l’histoire, le livre veut aussi rendre compte des dernières évolutions de ce mythe. Figures imaginaires, mythologiques, ou littér...

Longtemps dédaigné par les historiens, le costume fait aujourd’hui l’objet d’un retour en force dans les études historiques et sociologiques. Élément essentiel de la culture matérielle, il est l’un des marqueurs de toute société humaine, véritable langage destiné à signifier et pas seulement à protéger ou à orner. Le costume, mais aussi la façon de le porter, de le regarder et de l’interpréter, sont les reflets des normes sociales. Comme le souligne Daniel Roche : « l’histoire du vêtir témoig...

Katherine Wilson-Chevalier propose avec Patronnes et mécènes en France à la Renaissance une somme qui marquera l’histoire du mécénat féminin. Les Anglo-Saxons ont un joli nom pour définir ce patronage au féminin, ils parlent de matronage, et c’est précisément à cette pratique qu’est consacré cet ouvrage fondamental. Il nous propose une galerie de fortes femmes destinées à jouer un rôle politique dans la France du XVIe siècle, mais aussi protectrices des arts. Certaines sont fort connues et se...

Ces dernières années ont été marquées par un regain d’intérêt pour les héros. Deux expositions récentes en témoignent : Héros et merveilles autour de l’œuvre de Jacques Le Goff dans l’été 2007 à l’abbaye de Fontevraud et Héros, d’Achille à Zidane à la Bibliothèque nationale de France en 2007-2008. Les héros évoqués étaient, dans les deux cas, très majoritairement masculins : bien peu de femmes dans le Panthéon de Jacques le Goff et Jeanne d’Arc presque seule au milieu des héros (...) masculins à... (shrink)

Le mot ouvrier apparaît pour la première fois au milieu du xiie siècle pour désigner celui qui travaille de ses mains moyennant salaire. C’est dans un roman de chevalerie, écrit par Chrétien de Troyes entre 1176 et 1181, Yvain, le chevalier au lion, qu’est offerte l’une des premières descriptions d’ouvrières salariées du Moyen Âge. La brutale confrontation entre le preux chevalier et la réalité du travail féminin y donne naissance à l’une des pages les plus fortes de la littérature médiévale. (...) Elle témoigne d’une nouvelle réalité, celle du travail, de l’argent et de la condition ouvrière au cœur de la féérie arthurienne. (shrink)

Penthésilée, reine des Amazones, est représentée sous les traits d’une guerrière armée de pied en cap sur une tapisserie appartenant à la collection du château d’Angers. Cette tapisserie mille-fleurs qui date du début du XVIe siècle rappelle le succès rencontré par le thème des Neuf Preuses à la fin du Moyen Age. Ces figures de guerrières qui appartiennent toutes à l’Antiquité ou à la mythologie classique connaissent une mode qui répond à celle de leur pendant masculin, les Neuf Preux. Preux (...) et Preuses évoquent avec une certaine nostalgie un monde chevaleresque dont la réalité militaire du temps vient bouleverser tous les repères. (shrink)

L’ouvrage de Solène Daoudal, Sirènes romanes en Poitou, xie-xiie siècles. Avatars sculptés d’une figure mythique, signale les premiers pas prometteurs d’une chercheuse dans l’univers de l’histoire de l’art médiéval. Il a été couronné en 2007 par le Prix de l’association Mnémosyne récompensant un mémoire de master en langue française consacré à l’histoire des femmes ou du genre. Dans cette étude d’histoire de l’art, Solène Daoudal se livre à une lecture décapante d’un thème bien connu de la sc...

Lorsque parut en 1977 l’article de Joan Kelly Gadol, « Did women have a Renaissance? », on commençait à parler de gender. Dans sa formulation, qui appelait évidemment une réponse négative, c’était bien une question « renversante » : elle soumettait à interrogation une notion rarement mise en doute, la Renaissance, et introduisait comme critère possible de sa pertinence, le Féminin. Cet article a profondément marqué les générations suivantes d’historiens, spécialistes de l’histoire des femmes et du genre, suscitant de profondes (...) remises en question, des controverses et une multitude de textes reprenant ce questionnement des fondamentaux de nos disciplines. Trois historiennes, deux médiévistes et une moderniste tentent ici, plus de trente ans après, une relecture faisant le point sur les apports et les remises en question de ce texte fondateur. (shrink)

Dans l’Europe médiévale, l’art de la guerre est considéré comme spécifiquement masculin. Et pourtant, au détour des chroniques et des documents d’archives, il est possible de croiser des guerrières qui combattent pour défendre leurs fiefs ou s’engagent parmi les rangs des croisés. Cette pratique de la guerre au féminin, très minoritaire, mais avérée, reposait-elle sur un droit, ou, bien au contraire, bravait-elle toutes les interdictions des lois civiles et religieuses? Si le droit civil l’interdit, la réponse de l’Église semble parfois (...) plus ambigüe. C’est le cas aux xie et xiie siècles où, dans le cadre de la Querelle des Investitures, la comtesse Mathilde de Toscane est à l’origine d’une polémique qui a vu s’opposer les partisans de la réforme grégorienne à ceux de l’empereur Henri iv et qui s’est précisément cristallisée sur cette question : les femmes ont-elles le droit de faire la guerre? (shrink)

Grâce à ce splendide ouvrage de 431 pages, richement illustré, Anne van Buren a composé une véritable encyclopédie du costume en France et aux Pays-Bas à la fin du Moyen Âge. Sa connaissance approfondie de l’enluminure médiévale lui a permis de cerner année après année les évolutions de la mode aristocratique des cours de France et de Bourgogne, sans omettre d’évoquer les costumes paysans ou bourgeois. Comme elle le souligne dans son introduction, le costume médiéval correspond à un statut :...

La revue des Études roussillonnaises propose pour son tome XXV un recueil d’articles consacré aux femmes dans l’espace nord-méditerranéen. Il ne s’agit pas ici d’un ouvrage de synthèse, mais de dix-huit contributions qui abordent selon différents points de vue des aspects de la vie des femmes de l’aristocratie, des sociétés urbanisées et des élites citadines de Catalogne, du Languedoc et de Provence, avec quelques incursions vers l’Italie et la Grèce. Si quelques figures contemporaines sont p...

Le beau livre de Caroline Schuster-Cordone a fait le pari réussi d’aborder un sujet tout à la fois difficile et novateur, celui des représentations de la vieillesse féminine. L’auteure souligne qu’aucune étude d’ensemble ne lui a été consacrée jusqu’ici et bien peu de travaux ont abordé ce thème, pourtant au cœur des préoccupations de nos sociétés contemporaines. Sa démarche s’inscrit dans une perspective d’histoire du genre appliquée à un vaste corpus d’images, souvent inédites, analysées a...

Danielle Régnier-Bohler a dirigé une œuvre collective d’une grande originalité et d’une réelle importance en offrant au grand public comme aux médiévistes, pour la première fois, une anthologie de la littérature féminine du Moyen Âge fort ample et agrémentée d’études réalisées par les meilleurs spécialistes. Au-delà des genres littéraires, des frontières linguistiques et des siècles, comme son nom l’indique, cette belle œuvre a pour premier désir de rendre leur voix aux femmes ; ces femmes si...

Entretien réalisé à Lyon, le 10 mai 2012, avec Martine Villelongue, directrice de l’université de la Mode. Historienne de l’Art, Martine Villelongue a soutenu une thèse sur l’œuvre de Lucien Bégule (1848-1935), maître-verrier lyonnais, à l’université de Lyon 2 en 1983, publiée en 2005. Elle a ensuite travaillé pendant une quinzaine d’années au musée des Tissus et des Arts Décoratifs de Lyon : montage d’expositions et création du service des publics de ce musée. Après avoir enseigné comme maît...

In lieu of an abstract, here is a brief excerpt of the content:Reply to Russell's letter of 16 May 1960 by Albert Shalom EDITORIAL NOTE To illustrate a list ofrecent acquisitions in Russell (Summer 1981), we printed in facsimile Russell's letter of 16 May 1960 to Professor Albert Shalom concerning the interpretation of Wittgenstein's Tractatus LogicoPhilosophicus. The correspondence between Russell and Shalom began when Shalom wrote on I May 1960 asking whether Russell had the time and inclination to (...) read a translation of a lecture which Shalom had given the previous December in Paris. The paper was entitled "The Metaphysical Thinking Underlying Wittgenstein's Tractatus". Shalom had received "different and even contradictory appraisals" of his paper, and he very much wanted to have Russell's opinion of it. Close to the age ofninety, Russell was entering a hectic period in his life in which he worked assiduouslyfor the Campaign for Nuclear Disarmament. He had published three books in 1959 and had produced prefaces and introductions for other people. As usual, he was besieged with mail including numerous requests to read unsolicited manuscripts sent to him quite regularly. Yet he had managed to answer correspondence in a very personal way. In November 1959, he had been involved in a controversy regarding the refusal ofthe editor of Mind to review Ernest Gellner's Words and Things, a book which attacked the then prevalent philosophy of linguistic analysis and for which Russell had written the introduction. In the early months of1960, he took time out from his usual writing on the nuclear threat to reply to several articles devoted to his theory of descriptions and his ethical theory in the journal Philosophy. Russell's reply (4 May 1960) to Shalom's first letter states: "Thank you for your letter ofMay I. I shall be interested to see your paper on Wittgenstein's Tractatus, but, as I am very busy, it may be some time before I can read it carefully." On 8 May Shalom wrote back in appreciation enclosing his paper and an offprint of an article, "Qu'est-ce qu'un concept?", Revue internationale dephilosophie, 50 (1959): I-IS. The main objection raised against his paper, Shalom admitted, was that Wittgenstein was not concerned with problems of epistemology at the time of his writing the Tractatus. Nonetheless, Shalom felt that the "picture theory" of reality implies an epistemology, and he was unable to see a fallacy in his paper: "Perhaps the fact that I'm not a logician has something to do with the matter. Ifyou could enlighten me on this point I should be most grateful to you." 45 28th April 1982. 46 Russell winter 1982-83 Russell's letter of 16 May followed. On 25 May Shalom challenged Russell's interpretation. Far /rom underestimating the notion of structure, Shalom claimed that he had emphasized the notion as the key to understanding the Tractatus. "In fact, my main point is that Wittgenstein's analyses of various concepts are unintelligible unless understood as arguments in terms of the dominating idea ofstructure or form. And that is what I understand as a metaphysical argument." Shalom went on to say that his interest in any philosopher was to try to discover the chief concepts employed in the philosopher's analysis and to examine the manner in which the analysis was performed. For this reason, the later Wittgenstein was not devoid ofinterest. In a postscript, he asked Russell whether he would be in London in July ofthat year, and ifso, whether a meeting was possible. Russell replied on 18June as follows: "Thank you for your letter ofMay 25. I am sorry that at present my time and thought are so occupied with matters very remote from those with whichyour letter deals that I cannot offeryou a reasoned reply. Unfortunately, I do not expect to be in London in July so that I am afraid a meeting will hardly be possible." On 14 Shalom requested the return of his paper, and Russell complied on 19 July. Shalom is now Professor ofPhilosophy at McMaster. We invited him to comment on his exchange with Russell, particularly Russell's letter of16 May 1960. His comments take the form ofa further (and no doubtfinal) letter in the exchange.-Carl... (shrink)

Blending social analysis and philosophy, Albert Borgmann maintains that technology creates a controlling pattern in our lives.

If you wish to learn from the theoretical physicist anything about the methods which he uses, I would give you the following piece of advice: Don't listen to his words, examine his achievements. For to the discoverer in that field, the constructions of his imagination appear so necessary and so natural that he is apt to treat them not as the creations of his thoughts but as given realities.

Time magazine's "Man of the Century", Albert Einstein is the founder of modern physics and his theory of relativity is the most important scientific idea of the modern era. In this short book, Einstein explains, using the minimum of mathematical terms, the basic ideas and principles of the theory that has shaped the world we live in today. Unsurpassed by any subsequent books on relativity, this remains the most popular and useful exposition of Einstein's immense contribution to human knowledge. (...) With a new foreword by Derek Raine. (shrink)

Albert Dzur proposes an approach he calls "democratic professionalism" to build bridges between specialists in domains like law, medicine, and journalism and the lay public in such a way as to enable and enhance broader public engagement ...

L’Union Européenne vit sous un régime de démocratie représentative de type fédéral dont la particularité est d’être en vigueur dans un État qui n’est pas fédéral. Les critiques qui l’accablent aujourd’hui sont en grande partie liées aux ambiguïtés et aux impasses qu’engendre l’enchevêtrement, pas toujours très clair, des pouvoirs actuellement exercés par le Parlement, la Commission et le Conseil. Une autre partie de la critique est plus tranchante : elle récuse le principe même de la construction européenne en l’accusant d’instituer (...) un déni de démocratie. Trois arguments étayent ce réquisitoire : le premier pointe la perte de souveraineté nationale ; le second le manque de représentativité des élus ; le troisième le déficit de légitimité des autorités en place. Des révisions apportées à chacun de ces trois facteurs permettraient-elles de conforter la démocratie dans le cadre européen? (shrink)

Sartre importe à l'histoire vivante de la philosophie sous plusieurs angles. Héritier de Hegel qui le hante, il conteste celui-ci dans sa conviction « totaliste ». S'il reste fidèle au dynamisme hégélien, à l'interrogation constante du vécu, il les traduit pourtant par nos langages présents.

Holding On to Reality is a brilliant history of information, from its inception in the natural world to its role in the transformation of culture to the current Internet mania and is attendant assets and liabilities. Drawing on the history of ideas, the details of information technology, and the boundaries of the human condition, Borgmann illuminates the relationship between things and signs, between reality and information. "[Borgmann] has offered a stunningly clear definition of information in Holding On to Reality.... He (...) leaves room for little argument, unless one wants to pose the now vogue objection: I guess it depends on what you mean by nothing."—Paul Bennett, Wired "A superb anecdotal analysis of information for a hype-addled age."—New Scientist "This insightful and poetic reflection on the changing nature of information is a wonderful antidote to much of the current hype about the 'information revolution.' Borgmann reminds us that whatever the reality of our time, we need 'a balance of signs and things' in our lives."—Margaret Wertheim, LA Weekly. (shrink)