Luce Irigaray's argument that women need a feminine divine is placed in the context of her analyses of the interconnection between man's appropriation of woman as his “negative alter ego” and his identification with the impossible ego ideal represented by the figure of God. As an alternative, the “feminine divine” is conceived as a realm with which women would be continuous. It would allow mediation between humans, and interrupt cannibalizing appropriations of the other.

Julia Kristeva est un phénomène : sa capacité de s'informer à des sources multiples (linguistique, sémiotique, littérature, philosophie, etc.) et de dominer son information, de l'intégrer dans une trame discursive (en vue d'une thèse) est admirable. Tout comme sa conviction profonde d'une compatibilité des "avant-gardes", ainsi que le note Pierre Pachet. L'objet du livre est le langage poétique comme "lieu où l'ordre symbolique est perturbé par la jouissance, où le code est travaillé de ruptures, de négativité". Mallarmé et Lautréamont sont (...) presque des "faire-valoir" : Julia Kristeva s'intéresse à leurs oeuvres dans la mesure où celles-ci manifestent, dès la fin du siècle dernier, "l'émergence du domaine sémiotique dans la poésie". Riche et discutable. Accès difficile. (shrink)

Published in France in 1980, Marine Lover is the first in a trilogy in which Luce Irigaray links the interrogation of the feminine in post-Hegelian philosophy with a pre-Socratic investigation of the elements.

Sexes and Genealogies also includes Irigaray's dazzling reading of the Oresteia, "Body Against Body: In Relation to the Mother," now acknowleged as a feminist classic.