Abstract
Résumé L’usage du nombre par les élites constitue un mode de gestion systémique qui exploite le facteur de désintégration de chaque composante singulière. Son contre-modèle mathématique renvoie à la véritable concrétude géométrique développée par Alexandre Grothendieck. La victoire de l’homme moyen qui accompagne celle du techno-populisme, entraîne un manque de différenciation, une disparition des marges au profit de l’index des comportements sociaux visant à un équilibre, à une communication, à une sorte de pseudo-chuchotement où tout le monde serait d’accord par simple utilisation de la moyenne statistique pour constituer l’idéal-type de l’homme contemporain qui résulte du fantasme de l’auto-organisation.