Abstract
Résumé : L’actuel programme d’« Histoire et éducation à la citoyenneté » pour le 2e cycle du secondaire, portant sur l’histoire du Québec, a suscité depuis 2006 de nombreux commentaires dans les milieux intellectuels en raison de son contenu. Certains affirment que la transmission des grands événements historiques qui structurent la mémoire collective ou nationale y est inexistante, d’autres soutiennent qu’il doit favoriser le développement des compétences critiques et citoyennes, donc, l’autonomie de l’élève face à la mémoire collective ou nationale. Quelle position les enseignants du secondaire occupent-ils dans ce débat ? Il est possible de le découvrir par l’entremise de la perception qu’ils se font du programme et de ses trois compétences.
Abstract: The current program «History and Citizenship Education» for the second cycle of secondary education, on the Quebec history, raised many comments in intellectual circles because of its content since 2006. Some argue that the transmission of major historical events that shape the collective or national memory is non-existent, others argue that it should promote the development of critical thinking and citizenship skills, thus the autonomy of the student facing the memory collective or national. What position secondary teachers do they have in this debate? It’s findable out through the teachers perceptions about program and its three skills.