Abstract
Parallèlement à la restitution des linéaments du système de Renaud Barbaras au fil de ses trois pans successifs (1/ phénoménologique, 2/ cosmologique et 3/ métaphysique), on a tenté, dans la première partie de cet article, d’exhiber la primauté ontologique de l’espace sur le temps. En effet, le monde en lui-même s’est avéré être un procès spatialisant auquel aucune temporalité n’est associée dans la mesure où il s’agit d’un espace archaïque se faisant, de toute éternité, au gré d’un mouvement...