La chambre à coucher des couples ordinaires ne relevant aucunement de la justice est souvent le théâtre d’une cruauté qui peut se manifester de manière subtile ou brutale. Mieux appréhender la violence sexuelle implique d’en approfondir les origines et la fonction. Les exemples cliniques montrent jusqu’où peut aller ce type de violence. Celle-ci demeure souvent cachée mais est source de grande souffrance. L’auteur souligne l’interaction des partenaires dans ces passages à l’acte. Il envisage une typologie des sadismes sexuels névrotiques.

La chambre à coucher des couples ordinaires ne relevant aucunement de la justice est souvent le théâtre d’une cruauté qui peut se manifester de manière subtile ou brutale. Mieux appréhender la violence sexuelle implique d’en approfondir les origines et la fonction. Les exemples cliniques montrent jusqu’où peut aller ce type de violence. Celle-ci demeure souvent cachée mais est source de grande souffrance. L’auteur souligne l’interaction des partenaires dans ces passages à l’acte. Il envisage une typologie des sadismes sexuels névrotiques.

Croire ne peut s’appréhender sans son corollaire, douter. Le doute revêt des formes diverses que l’on retrouve en particulier chez les couples en thérapie. Dans ce cadre, pour tenter d’en approcher l’origine et la nature, l’auteur s’appuie sur les concepts d’identification projective, intrusive, adhésive, et de contenance développés par Meltzer. Dans cette perspective, un lien peut être fait entre la relation de couple et celle du bébé à son premier objet. La thérapie de couple est envisagée comme une tentative pour (...) chacun de passer du doute destructeur au doute positif, constructeur, permettant un véritable croire en l’autre et au couple. (shrink)