This article explains Wittgenstein's distinction between good, bad, and vacuous modern music which he introduced in a diary entry from January 27, 1931. I situate Wittgenstein's discussion in the context of Oswald Spengler's ideas concerning the decline of Western culture, which informed Wittgenstein's philosophical progress during his middle period, and I argue that the music theory of Heinrich Schenker, and Wittgenstein's critique thereof, served as an immediate link between Spengler's cultural pessimism and Wittgenstein's threefold distinction. I conclude that Wittgenstein's distinction (...) between bad and vacuous modern music is analogous to Schenker's distinction between the compositional fallacies of the progressive and the reactionary composers of his time. Concomitantly, Wittgenstein's philosophically problematic notion of good modern music transcended the conceptual framework of both Schenker and Spengler. In this context, I examine Wittgenstein's remarks on Gustav Mahler as well as his remark on the music of the future as monophony, which, I conclude, should be understood ultimately as an ellipsis of his much later view of musical meaning and intelligibility. (shrink)

Dans le cadre de la Théorie de la Relation Interlocutive, nous proposons que l’interprétation sémantique et pragmatique de excuse me et sorry, qui ne sont pas, par essence, des marqueurs d’excuse, s’effectue en fonction de deux types de relation interlocutive différents qui conduisent à plusieurs interprétations possibles d’un événement perturbateur. Excuse me est considéré comme marqueur duophonique, c’est-à-dire comme une forme qui impose un désaccord entre un pôle émetteur et un pôle récepteur. On pourra y voir une demande de coopération (...) de l’allocutaire par politesse, pour tenter de réparer un manquement à l’étiquette, ou, bien au contraire, un moyen d’accentuer la nature conflictuelle d’une situation dans un contexte autre qu’un contexte d’excuse. A l’inverse, nous faisons l’hypothèse que sorry est une forme monophonique qui s’emploie pour rétablir l’harmonie interlocutive entre les deux pôles. Avec ce marqueur, la coopération de l’allocutaire est considérée comme acquise, ce qui a pour effet de minimiser le conflit dans des situations d’excuse ou autres. (shrink)