Iris 33:105-109 (
2012)
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Abstract
Véronique Adam : Les neurosciences ne s’intéressent que depuis très récemment à l’olfaction. Pourriez‑vous expliquer pourquoi ce sens est devenu un objet d’étude plus prégnant? Jean-Louis Millot : En fait, l’olfaction demeure encore peu étudiée comparée à d’autres modalités sensorielles. De manière générale, les neurosciences cognitives actuelles, comme d’autres investigations scientifiques chez l’homme par le passé, se focalisent davantage sur les compétences cognitives complexes, telles qu...