Abstract

Pour éviter que le destin de l’humanité soit «la prison ou l’hospice d’aliénés» il faut faire attention aux mutations théoriques et pratiques qui puissent développer l’interculturalité. Celle-ci est es sentielle pour la survie du planète. La thèse soutenue dans cet article est que l’alternative à la multiculturalité est la barbarie. Il faut modifier le travail d’investigation et les pratiques habituelles développées sur ce thème. On doit proposer d’autres orientations philosophiques et d’autres pratiques, qui ne s’inscrivent pas sur des vérités absolues et sur des lois universelles, des orientations qui rejettent les implications d’uniformité de la globalization néo-libérale. Le recours à la théologie de la libération et à l’antropologie philosophique critique est importante.