Abstract
Résumé Cette étude tente d’analyser les positions complexes de Félibien, comme auteur des Entretiens et préfacier rédacteur des Conférences de 1667, quant à la théorie de la peinture, aux divers sens de ce terme, en prenant en considération l’engagement religieux de l’auteur et son refus d’un système totalisant, qui conduit à une dispersion, dans les Entretiens, des textes théoriques. L’affirmation d’un au delà de la théorie assure chez lui une « liberté » de la peinture, dont la signification politique ne doit pas être négligée.