Abstract

Il s¿agit de poursuivre le travail de relecture du Kiláó al-Buhalá' consmencé dans larticle paru dans le Bulleíin dÉludes Orientales de Damas (LI 1999:"Avarice ou sophistique? Une lecture du Livre des ovares d'al-Gdisig"), travail qui pose que le propos du célébre polygraphe nesí pas tant la critique de lavarice, nu de la gueuserie (lmdya) dans le cas de Halib b. Yazid, que celle du détnumement des discours de leura fnnctions supposées nobles. Dans le récit "autobiographique" el le testament spirituel de Ijálawayh al~MukaddI, ce qui se trouve mimé, parodié pnur étre dénigré, cesí, semble-t-il, la pratique des sermonnaires populaire> (Qu~sás), el, plus généralemení, celle des 'ulamá' qui prétendent éduquer les fonles. Larticle s'attache á analyser les procédés stylistiques et rhétoriques utilisés par al-Óálii~ pour vilipender ces usages dévoyés du discours