Abstract
Cet article explore l’utilisation que font certains musées des avancées technologiques et communicationnelles les plus actuelles. En prenant appui sur des théories et des exemples tirés principalement du contexte nord-américain, il s’agit d’examiner la présentation d’une œuvre d’art contemporain, No Woman, No Cry, de Chris Ofili, sélectionnée par la Tate Britain dans le Google Art Project. L’étude de ce cas récent montre comment l’institution muséale reconduit, sur le Web, les principes de pratiques qu’elle applique, depuis longtemps, dans les salles d’exposition et dans les messages adressés au public.This article explores the use made in certain museums of the very latest advances in communication and technology. Drawing on primarily North-American theories and examples, we examine the presentation of a particular work of contemporary art, Chris Ofili’s No Woman, No Cry, selected by Tate Britain from the Google Art Project. Our study of this recent case shows how museums apply the same principles of practice on the web as those they have applied for years in their exhibitions and their messages to the public