Abstract
Mary-Anne Zagdoun se propose, dans l’ouvrage qu’elle consacre à la philosophie stoïcienne de l’art, de combler une lacune. En effet, « l’ampleur et l’importance [de celle-ci] ont été longtemps », selon elle, « sous-estimées » et « il manquait sur la question un travail permettant de situer le problème dans l’ensemble de la philosophie stoïcienne ». (Introduction, p. 9) L’on peut dès à présent dire que le but fixé par l’auteur est atteint : si Mary-Anne Zagdoun souligne à maintes reprises l’in...