Vers une autre raison rythmologique ? – Les rythmes comme flux
Abstract
Ce texte est la suite d'une réflexion présentée ici. De cette nouvelle conception de la matière, Diderot semble tirer, en ce qui concerne l'individuation, des conclusions encore plus radicales que précédemment : il n'existerait aucune essence formelle et donc aucun individu – et donc, de notre point de vue, aucun rythme identifiable. Du fait du primat de la matière, de sa dispersion, de ses modes aléatoires de regroupement, des interactions constantes entre ses différentes parties et des gerbes des (...) - Philosophie – Nouvel article