Abstract
Extrait de P. Michon, Rythmes, pouvoir, mondialisation, Paris, PUF, 2005, p. 88-94. Le cas chinois décrit par Granet apporte un éclairage supplémentaire sur le rôle que le rythme joue du point de vue politique, car il permet de se faire une idée du passage d'une société polysegmentaire, en grande partie organisée de manière immanente au gré des variations saisonnières, à une société plus stable et dominée par une entité politique qui s'est autonomisée. Il est vrai que la reconstitution granétienne des (...) - Etudes chinoises – Nouvel article