Abstract
SummaryInstead of telling us why one should or should not derive an ‘ought’ from an ‘is’, most philosophers try to see whether this can or cannot be done. Since there are no clearly stated rules of inference for the ordinary language, the is‐ought dichotomy is re‐examined within the context of the deontic logic. This paper shows that rules like ‐AB ÓOB enables us to adopt the theorems of the propositional logic normatively, because logical standards for exactness, truth, completeness, etc. are all values and conventions accepted by the deontic logicians right from the beginning.RésuméLa plupart des philosophes reste attachée à une manière incorrecte de poser la question de la dichotomie entre ce qui est et ce qui devrait être. Au lieu de se demander, avec Hume, si nous avons de bonnes raisons ?on;autoriser ou ?on;interdire des raisonnements qui concluent de ľêtre au devoir être, des philosophes tels que Searle se demandent si de tels raisonnements sont possibles dans une langue naturelle. Comme, dans une telle langue, nous n'avons pas de règie univoque pour la déduction logique, j'examine la règie de la logique déontique AB OAOB selon la formalisation de Azizah al‐Hibri. Je montre que la règie ne viole pas du tout ľinterdiction de conclure ?on;énonces de faits à des énoncés normatifs. Car dans la logique déontique, les règies et les théorèmes de la logique des propositions sont utilisés dans un sens normatif.ZusammenfassungIn bezug auf die ‘Sein‐Sollen‐Dichotomie’ scheinen die meisten Philosophen bis jetzt auf einer falschen Fragestellung zu beharren. Anstatt wie Hume zu fragen, ob wir gute Gründe haben, Schlüsse von Sein und Sollen zuzulassen oder zu verbieten, versuchen Philosophen wie etwa Searle festzustellen, ob wir dies im Rahmen der natürlichen Sprache tun konnen. Da wir in der natürlichen Sprache keine eindeutige Regel für logische Schlüsse haben, wird die Regel der deontischen Logik nach der Formalisierung von Azizah al‐Hibri untersucht. Es wird gezeigt, dass die Regel keineswegs das Verbot, von 1st‐Sätzen auf Soll‐Sätze zu schliessen, verletzt. Denn in der deontischen Logik werden die Regeln und Theoreme der Satzlogik in einem norrnativen Sinn gebraucht