Abstract
Résumé Flaubert a su imposer à la littérature française une esthétique dont on dit volontiers qu’elle a révolutionné la littérature française. En son temps, pourtant, ses œuvres connaissent un succès mitigé et les romans de son ami, Maxime Du Camp, sont mieux côtés. Or, l’esthétique de l’un entre en concurrence avec la production de l’autre jusqu’à la réduire à l’oubli. C’est donc cette rivalité qu’il nous plaît d’interroger pour mieux comprendre ce qu’est une œuvre et les conditions requises d’une disparition subie et peut-être injuste.