This study aims to answer the following research question: what are the problems and prospects of the development of Islamic psychology studies in Southeast Asia? This study used descriptive qualitative research and employs data triangulation during data collection. Documentation study, in-depth interviews and focus group discussions were used to obtain the data. Data were analysed using patterns of data collection, data reduction, data presentation and conclusion drawing. It can be concluded that Islamic psychology presents many problems and prospects for those (...) who are concerned about the development of Islamic science. The finding strengthens the perspective that there are three problems of developmental studies of Islamic psychology in Southeast Asia: (1) the discussion on the issue still focuses on theoretical integration and philosophical levels rather than on applicative ones; (2) methodological problems; and (3) polarisation of the capacity of Muslim psychologists. Apart from the problems, the development of Islamic psychology studies has good prospects. This indication can be seen from the following transformations: (1) from the formulation phase towards the research phase, (2) from comparative study patterns towards developing concepts of psychology based on Islam and (3) from a normative-cognitive approach towards the substantive-Sufistic approach.Contribution: Through this study, it is hoped that strategic attempts will be made by Muslim psychologists to collaborate and develop networks on designing more targeted studies in solving the various problems that arise around the integration of psychology and Islam at the ontological, epistemological or axiological levels. (shrink)

Radicalism has the potential to become more widespread in a younger generation of Muslims who are too textual, exclusive, extreme and uncritical. Their ethos of struggle has created a momentum to contest radical ideologies of Islamic radicals. This study investigates the potential for the radicalisation of Islamic students in Indonesia and formulates an approach of integrating national and religious values to mitigate the potential for radicalism. A qualitative research approach is used, and data were collected by distributing questionnaires to Indonesian (...) Islamic student activists. Interviews were also conducted with experts to strengthen secondary sources of information. The results show that the potential for Islamic student to be exposed to radical activists is high. Through categorisation, interpretation and analysis, it was found that the concepts and spread of radicalism were more influenced by religious interpretations than social tolerance factors. In addition, the religious nationalist approach is formulated based on religious terminology and religious narratives. CONTRIBUTION: This research contributes by assisting colleges' efforts in building a detection system and mitigating the risk of student radicalism through a religious nationalist approach. (shrink)

IN an article on Rousseau’s annotations of a popular botany text, Henry Cheyron describes the Genevan philosopher as ‘ce botaniste me´juge´’. 3 The misapprehension of Rousseau’s botanical practice identified by Cheyron has its roots, I believe, in Rousseau’s own depiction of his botanising in the Reˆveries; in the ‘Septie`me promenade’ Rousseau selfconsciously portrays this study as socially isolated, lazy and lacking in direction: ‘La botanique est l’e´tude d’un oisif et paresseux solitaire... Il se prome`ne, il erre librement d’un objet a` (...) l’autre, il fait la revue de chaque fleur avec inte´reˆt et curiosite´.’4 Neither does Rousseau disguise botany’s role for him as a ‘the´rapeutique improvise´e’; the therapeutic purpose has tended to obscure the rigour, application, time and knowledge that Rousseau put into his botanical studies so that no less a scholar than Jean Starobinski asserts: ‘Jean-Jacques herborise en collectionneur, et non pas en naturaliste. C’est pour lui une occupation, un amusement, plutoˆt qu’une ve´ritable action.’5 Finally, Rousseau fuels this misunderstanding.. (shrink)

L'idée du cinéma comme " septième art ", Art total, synthèse des autres Arts, trouve son origine et ne se comprend vraiment que par rapport à la philosophie kantienne de l'Art. Cela peut sembler étonnant, mais c'est ce que fait apparaître de façon frappante, sur plusieurs points importants, l'étude du cinéma et de la manière dont les grands cinéastes et théoriciens se le sont eux-mêmes souvent représenté. La dimension philosophique, voire proprement métaphysique du cinéma, même du cinéma le plus simple (...) et le plus modeste, est en même temps liée à ce qui fait que le cinéma est un Art qui plaît tant populairement. Il y a là de quoi soupçonner ou entrevoir l'importance culturelle, sociale, morale et politique, peut-être, du cinéma le plus artistique. Il n'est pas nécessaire d'être spécialiste de philosophie pour lire l'ouvrage : tout ce qui est proprement philosophique y est expliqué simplement. Jean-Yves Chateau y montre à quelles conditions le cinéma peut être un Art, où se révèle avec une singulière clarté l'essence même de l'Art. En lui, sous des formes diverses, il y va toujours du monde lui-même et de la possibilité d'en faire un monde commun. (shrink)

Introduction: De la morale dans la littérature.--François Rabelais.--Michel de Montaigne.--Pierre Charron.--Étienne de la Boëtie.--Jean Bodin.--Michel de l'Hôpital.--Dix-septième siècle: considérations préliminaires.--La Rochefoucauld.--La Bruyère.--Récapitulation: moralistes ascétiques, période intermédiaire.--Saint-Evremond.--Pierre Bayle.--De la spontanéité de l'esprit humain en matière de philosophie.--La volonté cherchant sa loi.

In agreement with Behrendt & Young (B&Y), we considered the role of perception disturbances in schizophrenia in our first clinical approaches, using the Bender test with schizophrenic patients. Following this, we reproduced nuclear symptoms of schizophrenia in animal models, showing that perceptual disturbances, acquisition disturbances, and decrease in affective levels can be induced by glutamatergic blockade within the nucleus accumbens septi. Our results link the proposed corticostriatal dysfunction with the thalamocortical disturbances underlying perceptual problems reviewed by B&Y.

La quatrième de couverture indique : Deleuze et Guattari étaient des lecteurs sans pareils. C'est la raison pour laquelle Alain Jugnon les lit dans ce livre ; plus précisément, il lit avec eux Artaud et Kafka, Lacan et Klossowski, Büchner et Nietzsche. N'ont-ils pas assez lu Lautréamont ; il les lit pour eux, comme eux l'auraient lu, l'ajoutant à leurs lectures, avec les outils qu'ils ont créés pour lire. Nul mieux qu'Alain Jugnon n'articule les lectures nécessaires à la défaite de (...) ce monde-ci et au surgissement d'un monde transformé : "Deleuze et Guattari ont commencé à dire dans leur livre premier, L'Anti-Oedipe : il n'y a plus de dialectique à penser ou bien d'histoires à raconter, mais il y aura des machines capitalistes et des machines désirantes, des guerres des sexes et des guerres des races, des combats de rue et des révolutions de palais, il y aura tout ça et plus encore, qui fera une bible humaine à revendre ou bien une philosophie populaire à inventer pour demain." (A.J.). (shrink)

La notion de mesure traverse les traités du corpus d'Aristote en connexion des problèmes qui sont d'une importance centrale. Le recueil est composé d'une série d'études de: Tomàs Calvo, R.Loredana Cardullo, Laura Castelli, Lambros Couloubaritsis, Paolo Crivelli, Sylvain Delcomminette, Giovanna R.Giardina, David Lefebvre, Antonio P.Mesquita, Pierre-Marie Morel, Marco Panza, Fernando Rey Puente. -- Provided by publisher.

t. 1. L'antiquité et le moyen âge: I. Période hellénique. II. Période hellénistique et romaine. III. Moyen âge et renaissance.-t. 2. La philosophie moderne: I. Le dix-septième siècle. II. Le dix-huitième siècle. III. Le XIXe siècle-période des systèmes (1800-1850) IV Le XIXe siècle après 1850. Le XXe siècle.

Première partie. Le lien social : l'autre maléfique du lien politique -- Deuxieme partie. Une philosophie de la liberté -- Troisieme partie. Une philosophie de l'association -- Quatrième partie. De la critique du socialisme au solidarisme -- Cinquième partie. De la critique du positivisme -- Sixieme partie. Quelle ecole? -- Septième partie. La sociologie réformiste et ses conséquences morales et politiques -- Huitième partie. Capitalisme, solidarisme et droit social.

Avec son livre r cent, Locke and French materialism (Oxford 1991), John Yolton - connu de longue date pour avoir le premier focalis le contexte th ologique et moral du nouveau 'way of ideas' chez Locke - a donn le signal de d part d'une exploration de la place de Locke dans la lutte philosophique en France au dix-septi me si cle. Prenant acte que le th me, pourtant majeur, des id es inn es dans la r ception fran (...) aise de Locke n'a pas encore re u l'attention qu'il m rite, le pr sent livre poursuit une analyse approfondie de la fortune de la pol mique contre les id es inn es chez les philosophes fran ais, de Jean Le Clerc (1688) Saint-Lambert (1801). Apr s une pr sentation du sc nario mis en place au dix-septi me si cle (Descartes, Malebranche, Locke), on suit dans un ordre chronologique l' volution de la critique des id es inn es chez les philosophes fran ais jusqu' la defense d'une tabula rasaabsolue la fin du si cle (Helv tius, d'Holbach), passant par plusieurs tapes qui marquent chacune la fois un aboutissement et un nouveau point de d part dans la radicalisation progressive du leitmotiv lanc par Locke: consid r es comme le pilier m me de la m taphysique chr tienne, les id es inn es sont d nonc es de fa on de plus en plus radicale, d'abord dans le Refuge, ensuite en France sur une route jalonn e d'affaires' (Voltaire 1734, Prades 1751, Helv tius 1758, d'Holbach 1770). Or, si la pol mique contre les id es inn es semble voluer selon une logique interne n cessaire, ce livre d voile en m me temps l'existence d'une critique des id es inn es plus proche de la cause apolog tique par son souci de pr server l'immat rialit de l' me, l'existence de Dieu et celle d'une loi naturelle (morale) objective et absolue. Enfin, on voit par les r sultats de cette enqu te comment, aujourd'hui, le d bat entre l'inn et l'acquis, toujours d'actualit, trouve ses origines dans l'histoire retrac e ici - comme d'ailleurs plus g n ralement la s cularisation et ses diff rents avatars, mat rialisme, nihilisme, ath isme. Remerciements. (shrink)

Abstract: Each affective state has distinct motor-expressions, sensory perceptions, autonomic, and cognitive patterns. Panksepp (1998) proposed seven neural affective systems of which the SEEKING system, a generalized approach-seeking system, motivates organisms to pursue resources needed for survival. When an organism is presented with a novel stimulus, the dopamine (DA) in the nucleus accumbens septi (NAS) is released. The DA circuit outlines the generalized mesolimbic dopamine-centered SEEKING system and is especially responsive when there is an element of unpredictability in forthcoming (...) rewards. We propose that when the outcome of this interaction is unexpected or unanticipated then Panksepp’s “cognitive or expectancy reset” mechanism involving the cognitive dissonance would yield the subjective emotion of surprise. In order to appropriately react to the environment’s stimuli one needs fundamental processes that would enable one to distinguish between what is novel and what has been already experienced, as well as the different degrees of novelty. Novel events are those whose essential features of the representation (visceral and perceptual) are altered and being discrepant provoke more sustained attention. Novelty arises from salient and arousing events and the organism experiences surprise, as coming out of a habitual state. In this framework, we shall look at established theories of emotions and propose a different approach to their taxonomy. (shrink)

Avant la parution des Lettres philosophiques de Voltaire, chaque grande famille intellectuelle examine la production pascalienne selon une perspective traditionelle. Apr s la XXV Lettre, o s'affrontent deux morales, deux pist mologies, deux conceptions de Dieu, le regard sur Pascal perd de son unit. Certes, parmi les crivains des Lumi res, l'anthropologie pascalienne est condamn e: la valorisation de l'amour propre, la croyance en l'id e de nature, le souci, le souci de bienfaisance, l'esprit de tol rance, le concept d'utilit, (...) la foi dans le progr s et l' fficacit de l'action politique s'opposent au tragique pascalien. Mais certains auteurs, tel Vauvenargues, sont sensibles l'esth tique de Pascal, tandis que d'autres, comme d'Alembert, vantent ses m rites scientifiques. Le paradoxe de la fortune pascalienne est surtout entretenu, dans le parti des Lumi res, par l'orientation sceptique donn e aux fragments sur la coutume ou sur le d senchantement du monde. Cons quence du progr s de l'esprit 'philosophique', les apologistes, chez qui le sens du p ch s'est att nu, d fendent avec ti deur Pascal, en oubliant progressivement la dimension th ologique des Pens es et en orientant ce livre vers une interpr tation profane: les preuves historiques tendent passer au second plan. L'apologie traditionnelle reconna t un r le social au christianisme, parall lement au concept d'utilit et de progr s qui impr gnent les consciences religieuses. Dans ce contexte, peu favorable une bonne compr hension de la th ologie pascalienne, les j suites att nuent leurs critiques envers l'auteur des Provinciales, tandis que les jans nistes, l'exemple de Louis Racine, se r v lent des disciples infid les: les preuves m taphysiques, naturelles ou morales ne s'inscrivent pas dans la filiation pascalienne. Les d fenseurs de la religion chr tienne restent trangers au message pascalien. Condorcet, premier diteur des Pens es depuis Port-Royal, op re une fracture saisissante entre le moraliste et l'apologiste jusqu' enr ler Pascal dans le camps des ath es. La fin du XVIIIe si cle est marqu e par le renouveau d'une sensibilit religieuse, mais celle-ci reste loign e de la th matique pascalienne. Seule la litt rature, avec l' loge de la m lancolie, la fascination pour la subjectivit, la reconnaissance du fragment, offre l'amorce d'une transformation du regard sur Pascal. En conclusion, il semble que l'auteur du dix-septi me si cle ne soit compris ni par les philosophes ni par les apologistes, dont l'horizon intellectuelle est paradoxalement r uni par les crit res de raison ou d'utilit. Leur rapport l'oeuvre pascalienne ne se lit que sous la forme d'une strat gie des 'morceaux choisis'. Ce sujet a aussi soulign l'int r t d'un d bat toujours recommenc le XX r sonne encore de l'affrontement entre le doute et l'optimisme, entre une interrogation sur les valeurs et la foi dans le progr s, entre la d nonciation de la perte des sens et le pari sur l'histoire. Le dialogue entre l'humanisme et l'anti-humanisme est de tous les si cles. (shrink)