Abstract
En partant du problème des partis, conçu comme un dialogue entre partenaires, nous ferons ressortir le tissage de sa structure avec des considérations religieuses et éthiques; puis nous reconsidérerons l’argument dit « du pari » en l’interprétant, mutatis mutandis, comme une préfiguration de la théorie des jeux plutôt que comme la résolution d’un problème de probabilité, ce qu’il est plus évidemment sous la plume de Fermat qui, à la limite, ne résout pas le même problème que Pascal, quoique les deux épistoliers aient pu en avoir l’impression.