This article addresses a project by Bernard Lassus, a celebrated French landscape architect, for a rest area on a highway outside Nimes, France. Using this project as a lens, it asks whether a tourist can approach any sense of Heidegger’s concept of dwelling. It goes on to inquire about fresh visions of places, citing familiar modernist approaches and postmodern ones advocated by Lyotard. After dealing with cultural differences in the promotion of tourist sites, it attempts to dissect Lassus’s motives and (...) references in the design of the Nimes-Caissargues Rest Area. Finally, it places Lassus’s project in the context of earlier gardens about cities, use of simulacra, Heidegger’s theory of dwelling, and Lyotard’s concept of “unpresentable.”. (shrink)

Early in 1067 Count Roger of Carcassonne — known to some modern historians as Roger II and to others as Roger III — died without direct descendants and probably intestate. He was still a young man. Roger was the son of Rangard of La Marche and Count Peter-Raimond. With many others he proudly traced his lineage back to the tenth-century Count Roger “the Old” and his brother Odo and through them claimed a cousinage to counts and countesses from the high (...) valleys of the Pyrenees to the ancient cities on the Mediterranean. By the time of Roger's death the houses of Foix, Comminges, Couserans, Béziers-Albi-Nîmes, Bigorre, Barcelona, Navarre, and Aragon were all related through male descent, through daughters who had married out, or through heiresses who had married in. They were but the remnant of an even larger number of branch lineages, three of which came to an end in the 1060s. (shrink)

qui y recense ses nombreuses victoires. Une brève histoire des choraules et de leur participation aux concours peut ainsi être esquissée : malgré sa popularité, surtout en Occident, la discipline n'a été acceptée que tardivement dans les concours, et aux Pythia sans doute seulement à la fin du Ier siècle. Un premier appendice évoque rapidement les catalogues du personnel cultuel conservés à Olym- pie ; un second établit le texte d'une inscription de Nîmes (IG XIV 2499), où l'on doit reconnaître (...) un acte de l'association universelle des artistes dionysiaques. (shrink)

En 1826, Joseph Diez Gergonne, le fondateur des Annales de mathématiques pures et appliquées en 1810 à Nîmes (France), écrit à W.H. Talbot. Dans ses lettres, il évoque les autres journaux mathématiques. Dans cet article, nous étudierons ces « premiers » journaux de mathématiques de la première moitié du XIXe siècle, en Europe. Nous étudions leur dynamique éditoriale, leur public et le rôle des premiers patrons de presse : Gergonne, Garnier et Quetelet, Crelle, Liouville, Robert Leslie Ellis et Thomson, etc. (...) Il s’agit donc d’étudier une Europe mathématique en construction par le biais de ses journaux. (shrink)

En 1826, Joseph Diez Gergonne, le fondateur des Annales de mathématiques pures et appliquées en 1810 à Nîmes (France), écrit à W.H. Talbot. Dans ses lettres, il évoque les autres journaux mathématiques. Dans cet article, nous étudierons ces « premiers » journaux de mathématiques de la première moitié du XIXe siècle, en Europe. Nous étudions leur dynamique éditoriale, leur public et le rôle des premiers patrons de presse : Gergonne, Garnier et Quetelet, Crelle, Liouville, Robert Leslie Ellis et Thomson, etc. (...) Il s’agit donc d’étudier une Europe mathématique en construction par le biais de ses journaux. (shrink)