Robert Louis Stevenson’s The Strange Case of Dr Jekyll and Mr Hyde (1886) has often been regarded as a direct text in its dealings with a multi-dimensional conception of dualism, insecurity, anxiety and weakness. In the constrained moral atmosphere of Victorian England, where such issues were consciously or even intentionally avoided, the novel seemed to be articulating difficult themes about which society preferred to remain silent. A specific literary tradition, the history of Great Britain, scientific discoveries and (...) lively, scientific debates of the 19th-century are ones of the most significant factors which make The Strange Case so original and memorable.The study poses a number of questions: Why does the history of the double return? What is a meaning of a double in a given context? What is so significant about this concept that it has inspired many others successors (e.g. Stephen King’s The Dark Half, 1989)? Why this motif is so popular? The project of delivering the answers to these questions in a one paper is not straightforward. Therefore, the main purpose of this article is limited to presentation and analysis of a conditionof men in the face of emerging Modernism with a close reference to philosophical ideas of the turn of the century. On such basis, it investigates the foundations of Stevensonian philosophy of dualism. (shrink)

_From one of the leading historians of Christianity comes this sweeping reassessment of religious freedom, from the church fathers to John Locke_ In the ancient world Christian apologists wrote in defense of their right to practice their faith in the cities of the Roman Empire. They argued that religious faith is an inward disposition of the mind and heart and cannot be coerced by external force, laying a foundation on which later generations would build. Chronicling the history of the struggle (...) for religious freedom from the early Christian movement through the seventeenth century, Robert Louis Wilken shows that the origins of religious freedom and liberty of conscience are religious, not political, in origin. They took form before the Enlightenment through the labors of men and women of faith who believed there could be no justice in society without liberty in the things of God. This provocative book, drawing on writings from the early Church as well as the sixteenth and seventeenth centuries, reminds us of how “the meditations of the past were fitted to affairs of a later day.”. (shrink)

'An extremely useful collection of the early evidence for writers of 'myth as history' -D. Felton, Bryn Mawr Classical ReviewThis is the first volume in a set of two. Volume 1 introduces and collects together the scattered quotations of the Greek writers of the sixth to the fourth centuries BC who first recorded in prose the tales of Greek mythology, whilst Volume 2 will be a scholarly commentary.

Depuis la publication des Sources chrétiennes et les travaux d'H. de Lubac, l'herméneutique biblique a fait de grand progrès. Une lecture purement littérale ou historique doit être dépassée. La tradition chrétienne appliquait l'allégorie à l'Ancien Testament, conformément à la pratique de s. Paul, non pas au Nouveau. Certes, les textes ont un sens littéral propre, mais les conditions nouvelles d'existence en Christ imposent de les entendre de manière neuve, surtout dans la liturgie et la catéchèse. Par ailleurs, ils offrent de (...) quoi ouvrir à la compréhension du mystère chrétien. L'allégorie résiste ainsi à la tyrannie de l'historicisme, sans manquer pour autant de réalisme. (shrink)

Against these are set pieces that argue anarchisms impossibility and estimate its relevance to social change.The debate format of Anarchism introduces the ...

XXXIV. Zeus Thallos. Aux documents cités BCH 1983, s'ajoute une plaque du musée de Kütahya, représentant le dédicant avec deux chevaux. XXXV. Retour à Pergame. 1. Le décret de Pergame pour Attale III. Suite (cf. BCH 1984) de l'étude du décret OGI 332. Les honneurs accordés au roi, une couronne d'or comme «prix de la valeur», une statue équestre, la statue de culte comme parèdre d'Asclépios, ne sont pas des honneurs exorbitants, trahissant un abâtardissement oriental, mais les honneurs courants dans (...) ces circonstances. Il en va de même pour les prescriptions sur l'organisation et le déroulement de la fête d'entrée du roi dans la ville. 2. Strabon et la katoikia de Pergame. Comme dans l'ensemble de l'œuvre de Strabon, le mot katoikia appliqué à Pergame, désigne l'agglomération et non une prétendue colonie militaire. (shrink)

XXIX. Retour à Aphrodisias. Compléments à Documents XXV, BCH 1983. XXX. Ampoules chrétiennes. Ces petites ampoules, contenant un peu d'huile sainte, étaient portées sur le corps comme des objets de protection. Types trouvés en Asie Mineure : Saint André, Jean l'Évangéliste, la fuite en Egypte. XXXI. Pline VI 49, Démodamas de Milet et la reine Apamè. Démodamas de Milet, général de Séleucos I, connu par Pline et par des décrets de Milet en l'honneur d'Antiochos et d'Apamè. Son zèle pour le (...) Didymeion. Les décrets milésiens datant de 299, son expédition en Sogdiane se place vers 306. XXXII. Documents pergaméniens. 1. Un décret de Pergame : le décret OGI 332, trouvé près d'Élaia, à trois heures de Pergame, décrétant des honneurs à Attale III victorieux (érection de deux statues ; célébration régulière de l'anniversaire de son retour à Pergame, fête exceptionnelle pour l'entrée du roi dans «notre ville»), émane bien de Pergame et non d'Élaia comme on a cru pouvoir l'affirmer à cause de l'opposition entre « Pergame » et « notre ville » : en fait au moment du vote du décret Attale est bien arrivé sur le territoire de Pergame, et il se repose à l'Asclépieion avant son entrée solennelle dans la ville. Autres entrées solennelles de rois ou de Romains. 2. Un décret d'Élaia : dans le décret Syllogez 694, décidant de consacrer des stèles de bronze portant le traité d'alliance avec Rome, la prééminence de Déméter et Core dans les cultes de la cité montre que ce décret émane d'Élaia, dont les types monétaires montrent, à côté d'Athéna et de l'olivier, Déméter, le grain de blé, la torche. 3. Fabriques royales : les ergastéria mentionnés dans une lettre d'un roi de Pergame (Welles, Roy. Cor., 23) sur les droits et privilèges d'un prêtre ne sont pas des fabriques royales, mais simplement des ateliers-boutiques, construites par le roi, dans un portique du sanctuaire, et louées chaque année au bénéfice du prêtre. XXXIII. A Gaunos avec Quintus de Smyrne. Justesse de la description de « Gaunos la creuse » par Quintus de Smyrne. Les voyageurs et la description de la petite plaine, du lac, et du cadre de montagnes. Le Tarbélos est à identifier avec le massif Sandras Dag. Richesse du territoire, malgré les fièvres : les figues, l'encens, la forêt, la pêche. La place de Gaunos dans le monde hellénistique : Gauniens à l'étranger, notamment en Egypte, avec Zenon. (shrink)

— XIX, Un évêché de Lycie. Larnaia, qui apparaît dans les listes d'évêchés lyciens au début du xe siècle, doit être cherchée dans cette Lycie montagneuse dont M. Gollignon donne une vivante description. Or dans la longue liste de donateurs, ΤΑΜ II, 108, retrouvée à Ithisar-Hippoukomè sont mentionnés des Λυρνΐται : leur ville fit partie d'une petite sympolitie dans l'Antiquité avant de devenir l'évêché de la région. — XX, Plolémaïs de Troade. La découverte sur le site de Larissa de Troade (...) de monnaies à la tête d'Apollon et à l'amphore, avec l'ethnique Πτολεμαιέων, c'est-à-dire aux mêmes types que les bronzes déjà réattribués à Larissa de Troade par L. Robert, permet d'affirmer que ces monnaies n'appartiennent pas à Lébédos-Ptolémaïs où elles apparaissent comme un corps étranger, et que Larissa, absorbée un moment dans le synécisme d'Alexandrie de Troade, fut refondée sous le nom de Ptolémaïs. — XXI, Au Nord de Sardes: 1. Localisation de la légende d'Echidna dans la région de Sardes, au lac Gygaia ou Koloé, lac marécageux, encombré de roseaux, très poissonneux ; témoignages des Anciens et des voyageurs ; les îles flottantes chez Pline (Varron) et dans les recueils de Faits Merveilleux ; le culte rendu au roi des roseaux. Le lac Simav en Mysie Abbaïtide et l'utilisation des roseaux à la fabrication des nattes. 2. Publication d'une stèle du Ier s. ap. J.-C., trouvée sur la rive N. du lac, avec une dédicace à Μητρί Θεών Λυδίαι. 3. Publication d'un décret d'une association cultuelle en l'honneur d'un Sardien, τον επί των προσόδων ; culte d'Apollon Pleurènos ; noms iraniens ; le texte date de la 6e année, sans doute de l'ère d'Actium. 4. Description des carrières de marbre voisines et de la ville de Mermere ; la découverte d'une dédicace monumentale à l'Artémis persique et la localisation proposée par Chr. Habicht de la communauté des Maibôzanoi, au nom iranien, permettent de situer là une ancienne colonie militaire perse. — XXII, Un relief des Muses au Louvre. Un relief représentant les neuf Muses entre Apollon et Hercule, acheté au collectionneur H. P. Borrell, est attribué à un sanctuaire d'Apollon de Phrygie, aux environs d'Afyonkarahisar. La découverte d'autres reliefs avec le même décor de moulures assure l'identification. (shrink)

Ce décret de Colophon fut trouvé à Claros en deux campagnes de fouilles différentes : la stèle elle-même en 1961, en 1953 le couronnement en deux fragments orné d'une couronne entre deux trépieds. Il honore un chresmologue de Smyrne, un interprète des oracles, versé assurément dans la phraséologie des oracles et la versification, que la cité avait invité à présider l'oracle de Claros. On lui accorde une couronne d'or, le droit de cité à égalité avec les citoyens. Les deux mille (...) citoyens de l'assemblée ont voté oui à l'unanimité. (shrink)

XXIII: le récit d'Hérodote V, 101, sur l'incendie de Sardes, complète l'étude précédente sur les roseaux du lac Koloè. XXIV: description du site d'Apollonie du Méandre-Tripoli ; ses rapports avec un seigneur perse de la région au début de l'époque hellénistique. XXV: noms iraniens à Aphrodisias ; la colonisation perse en Asie Mineure. XXVI: l'existence d'une mine de fer sur le territoire d'Aphrodisias et l'exemption de l'impôt sur le fer accordée par Hadrien. XXVII: publication de plusieurs reliefs provenant de sanctuaires (...) ruraux. Les dieux des Motaleis à Hiérapolis. Stèles de confession «au Zeus des Chênes Jumeaux» en Méonie, où est attestée la puissance du sceptre divin. En Phrygie, Zeus Orochôritès, Zeus Thallos, protecteur de la jeune végétation, Zeus Ampélitès, protecteur des bovins et des chevaux, Zeus Andréas, à la main droite très grande. Zeus Aithrios et les stèles votives du territoire de Cyzique. Le dieu cavalier Théos Achaios. Le Théos Alandros sur le territoire de Balboura. Les reliefs des Dioscures vêtus en guerriers et montés, donc une image locale d'un culte paysan très ancien, et non l'image grecque canonique : la déesse au centre est alors, non pas Hélène, mais la Lune. Culte d'Ares Kiddeudas en Pisidie. C'est au vieux fonds local que se rattachent aussi les cultes des Dieux Immortels, présentés à cheval, ou celui des Douze Dieux en Lycie, avec leurs chiens, et Artémis et le Père. Culte d'Artémis Lagbénè en Lycie. XXVIII : représentation d'un bacchant sur une stèle de Méonie. (shrink)