Abstract
It has long been a commonly held belief among classicists that traditional Romans frowned upon male homosexuality and associated it with the influence of Greek culture. There have always been exceptions to this belief, but when Paul Veyne published the following remarks in his 1978 article ‘La famille et l'amour sous le hautempire romain’, his views were quite heterodox: Il est faux que l'amour ‘grec’ soit, à Rome, d'origine grecque: comme plus d'une société méditerranéenne de nos jours encore, Rome n'a jamais opposé l'amour des femmes à celui des garçons: elle a opposé l'activité à la passivité; être actif, c'est être un mâle, quel que soit le sexe du partenaire passif