Abstract
La musique et la danse ont longtemps été les laissées-pour-compte de la philosophie de l’art. Quand on dit « l’art », tout le monde entend « les arts plastiques ». Quelques vigoureuses exceptions (Hegel, Schopenhauer, Nietzsche pour la musique, Valéry pour la danse) ne suffisaient pas à inverser le main stream, ni à modifier le rapport de force. Mais le paysage intellectuel a changé. Depuis une trentaine d’années, et en grande partie grâce aux discussions menées par les esthéticiens d’inspira..