Abstract
L’ouvrage de Johann Michel part du constat d’un schisme au XXe siècle, notamment en France, entre philosophie, histoire et sociologie. Le but du livre est alors avant tout de dresser de nouveaux ponts entre ces disciplines, d’autant plus que l’on trouve aujourd’hui « quelques signes de naissance de nouveaux dialogues », un double mouvement des sciences sociales et historiques vers la philosophie et vice-versa. Cela est le cas dans la socio-phénoménologie d’Alfred Schütz (déjà ancienne) et, pl...