Abstract
Le 17 juillet 2017, Werner,Werner, toi ici avec nous, toi si proche et si lointain, aussi lointain que proche,Werner, plus loin…Werner je suis sans parole – et tu dis aussitôt : « Qui est sans parole a dans sa privation même quelque chose de la parole ».Quelque chose ou peut-être tout vas-tu dire car on ne parle qu’à partir du manque de parole et on cherche sa propre disparition.Parce que je suis sans parole, je me trouve là où tu veux. Là où il est question de « l’aphasie structurelle du lan...