Abstract
Il m’est agréable de pouvoir m’appuyer sur ce que Claudia Serban vient de dire, non seulement parce qu’elle l’a peut-être mieux exposé que je ne l’avais moi-même fait, mais parce qu’elle me dispense, en partie du moins, de me répéter. Gratitude de la paresse, plus encore que de la vanité. Revenons pourtant un instant sur cette salle où se tient notre séminaire. Apparemment, réellement donc, il s’agit d’une salle de cours, une salle de conférence, comme tant d’autres à l’École et dans tous les...