Abstract
Dans cet article, l’auteur s’engage dans une courte autobiographie sur un pays qu’il porte en lui, le Liban. Il la conçoit comme une expérience collective du morcellement qui traverse singulièrement tous ceux qui se rattachent au nom de Libanais. L’auteur raconte porter aussi sa propre guerre qui s’essouffle et change de signes, au-delà même du Liban, en vue de transformer le rapport même à la guerre. Il renvoie à quelques textes qui traitent, sous l’angle de la déconstruction, d’une autre politique de la communauté et des frontières, à plus d’une loi.