1. Sŏron -- 2. Hyŏnmo yangch'ŏ sasang ŭi yuip kwa yŏsŏnggwan ŭi pyŏnhwa -- 3. Kŭndaegi kajok chedo wa hyŏnmo yangch'ŏ tamnon -- 4. Kungmin ŭl yangsŏng hanŭn hyŏnmo ŭi chaehyŏn -- 5. Sin'gajŏng ŭi anchuin yangch'ŏ ŭi chaehyŏn -- 7. Kyŏllon.

La place de Giambattista Vico (1668-1744) dans le siècle des Lumières, comme dans l'histoire des idées, est difficile à déterminer. Tenu à l'écart des courants dominants de son époque, il n'a été lu et étudié que bien après sa mort. Sa pensée n'a cessé depuis de faire l'objet d'interprétations diverses et contradictoires : certains la jugent tournée vers le passé, nourrie de l'humanisme grec et latin revivifié par le christianisme ; d'autres y voient la préfiguration des grandes visions modernes de (...) l'histoire. Son oeuvre, écrit Alain Pons, dépasse l'opposition entre Anciens et Modernes ; elle a l'ambition de fonder une science nouvelle, non pas du monde naturel mais du monde des hommes, sous la forme d'une étude des nations. Pour ce faire, le philosophe napolitain unit intimement deux savoirs distincts : une philosophie de l'esprit humain qu'il ne veut pas réduire à la pure raison, et une philologie qui explore le savoir historique accumulé depuis la plus lointaine antiquité. Cette lecture met en lumière la façon dont, selon Vico, naissent, vivent et peuvent mourir les nations, et comment se construisent chez elles les "choses humaines" - religions, langages, coutumes, lois, institutions politiques. Elle donne son relief à l'intuition fondamentale qui fait l'originalité du philosophe : c'est dans le temps de l'histoire et dans la vie des nations que l'homme accomplit son humanité. La Science nouvelle (1744) ouvre certaines voies dans lesquelles vont s'engager la philosophie moderne et les sciences humaines. Elle aide à comprendre les interrogations, les espoirs et les craintes que le destin des nations fait toujours naître. (shrink)

Face à la violence, que peut la philosophie? Cette question se pose avec une terrible acuité après les attentats de janvier contre Charlie Hebdo et l'hyper-cacher. Le présent ouvrage prétend y apporter une réponse en prenant du recul et à travers la philo française contemporaine de Sartre à Levinas en passant par Camus, Maurice Merleau-Ponty, Simone Weil, Canguilhem, Cavaillès, Lévi-Strauss, Deleuze, Foucault, Jankélévitch et Derrida. Sartre, c'est à la fois l'être et le néant et toutes les questions politiques de l'après-guerre (...) ; Camus, l'absurde et la révolte avec le refus de la violence ; Merleau-Ponty, la justification du communisme et donc d'une certaine forme de totalitarisme ; Simone Weil, Canguilhem et Cavaillès mettent le pacifisme à l'épreuve et en avant l'expérience de la nécessité ; Lévi-Strauss pose le problème de la violence face à la diversité humaine repensée ; Deleuze confronte la métaphysique à la politique. Foucault souligne l'enfermement intolérable ; Jankélévitch Derrida et Levinas pose le problème de l'éthique et de la métaphysique et de l'impossible pardon face au génocide juif. Ici c'est toute la philosophie c'est-à-dire, l'action et la pensée les oeuvres et les relations, l'histoire et l'actualité qui tentent de répondre à une certaine folie du monde. (shrink)

Deals with the topic of causality. This book traces the evolution of causal thinking from antiquity to the present and culminates with a description of five key conditions that must be satisfied to demonstrate a causal effect.

Les débuts pathologiques de l'aventure américaine -- Prélude à l'émigration norvégienne vers l'Amérique : Kierkegaard en Norvège au XIXe siècle -- Les travaux remarquables de David Swenson -- Les choix théoriques de Walter Lowrie, ou comment Søren Kierkegaard fut métamorphosé en "S.K." -- Quelques interprétations anglophones marquantes : Collins, Thomte, Thomas, Holmer, Sponheim (James Collins, Reidar Thomte, John Heywood Thomas, Paul Holmer, Paul Sponheim--interprète de Kierkegaard) -- Le Kierkegaard de Howard Vincent Hong et Edna Hong : un Kierkegaard-phare pour les (...) recherches à venir. (shrink)

Le droit applicable à l’exercice de l’autorité parentale a été remanié par la loi du 4 mars 2002. Il existe désormais un statut légal du couple parental, applicable quelle que soit la situation familiale des parents, conditionné par l’établissement du lien de filiation de l’enfant. Ce droit commun est gouverné par un principe supérieur : les père et mère exercent en commun l’autorité parentale. La consécration progressive d’un principe d’autorité parentale conjointe (1970,1987,1993, 2002) est certes un progrès en ce qu’elle (...) invite les parents à s’accorder et à se consulter dans l’exercice de l’autorité parentale, mais l’indifférenciation des situations familiales sur laquelle repose désormais la notion de « coparentalité » est excessive en ce qu’elle conduit à détacher le principe du modèle d’un couple uni. Une autre orientation pourrait être prise : celle consistant à rapprocher du mariage le concubinage avec vie maritale, ce qui supposerait de prendre en la matière le contre-pied de la loi de 1999. L’apport le plus apparent de la loi du 4 mars 2002 est de prévoir tout un arsenal de dispositions de nature à assurer l’effectivité du principe de coparentalité, en particulier les conventions et la résidence alternée. Les conventions marquent, sous l’angle de la notion d’ordre public, l’avènement du pluralisme familial, nouveauté encadrée par un corps de règles de plus en plus tentaculaire. Quant à la résidence alternée, cette modalité présente le défaut majeur d’être désormais légale, ce qui implique sa vocation à s’appliquer à tous. Il serait souhaitable pour cette raison de rétablir dans la loi le principe de la résidence habituelle de l’enfant chez l’un de ses parents et de réserver la résidence alternée à la pratique judiciaire, à titre très exceptionnel et expérimental, pour des enfants en âge de l’assumer. (shrink)

El artículo tiene por objeto analizar la construcción del conocimiento mapuche según el discurso de kimches. Sostenemos que en la educación familiar existe un proceso de construcción de conocimientos propios como un sistema de saberes y contenidos educativos para la formación de personas. La metodología empleada es la investigación educativa. Los resultados parciales muestran una descripción acerca de la lógica de los conocimientos educativos propios, para contextualizar la enseñanza y el aprendizaje de las ciencias en el medio escolar, desde la (...) educación intercultural en contexto mapuche. The aim of this article is to analyze the construction of Mapuche knowledge based on the kimches speech. We argue that within family education, there exists a process of constructing their own knowledge, as a system of knowledge and educational contents for forming individuals. The research methodology applied corresponds to education research. Preliminary results describe the logic of individual educational knowledge from intercultural education in the Mapuche context, so as to contextualize the teaching and learning of Science in schools. (shrink)

Este artículo analiza cómo los modelos de producción y de consumo de los años veinte determinaron la obsesión cultural por la autenticidad. A partir de los análisis que hicieron Benjamin, Adorno y Kracauer se analiza el modo en que la industria cultural favorece la identificación estética con las estrellas de la conocida como sociedad de masas. A continuación, se explica por qué el origen de esta realidad hay que buscarlo en el proyecto literario y político de Rousseau y en el (...) modo en que éste, al mismo tiempo que rehabilita la novela en la institución literaria, asocia virtud moral y pasión natural. (shrink)

This book argues that the meaning of negation, perhaps the most important logical constant, cannot be defined within the framework of the most comprehensive theory of proof-theoretic semantics, as formulated in the influential work of Michael Dummett and Dag Prawitz. Nils Kürbis examines three approaches that have attempted to solve the problem - defining negation in terms of metaphysical incompatibility; treating negation as an undefinable primitive; and defining negation in terms of a speech act of denial - and concludes that (...) they cannot adequately do so. He argues that whereas proof-theoretic semantics usually only appeals to a notion of truth, it also needs to appeal to a notion of falsity, and proposes a system of natural deduction in which both are incorporated. Offering new perspectives on negation, denial and falsity, his book will be important for readers working on logic, metaphysics and the philosophy of language. (shrink)

Morality seems important, in the sense that there are practical reasons — at least for most of us, most of the time — to be moral. A central theoretical motivation for consequentialism is that it appears clear that there are practical reasons to promote good outcomes, but mysterious why we should care about non-consequentialist moral considerations or how they could be genuine reasons to act. In this paper we argue that this theoretical motivation is mistaken, and that because many arguments (...) for consequentialism rely upon it, the mistake substantially weakens the overall case for consequentialism. We argue that there is indeed a theoretical connection between good states and reasons to act, because good states are those it is fitting to desire and there is a conceptual connection between the fittingness of a motive and reasons to perform the acts it motivates. But while some of our motives are directed at states, others are directed at acts themselves. We contend that just as the fittingness of desires for states generates reasons to promote the good, the fittingness of these act-directed motives generates reasons to do other things. Moreover, we argue that an act’s moral status consists in the fittingness of act-directed feelings of obligation to perform or avoid performing it, so the connection between fitting motives and reasons to act explains reasons to be moral whether or not morality directs us to promote the good. This, we contend, de-mystifies how there could be non-consequentialist reasons that are both moral and practical. (shrink)

Truth is one of the most debated topics in philosophy; Wolfgang Kunne presents a comprehensive critical examination of all major theories, from Aristotle to the present day. He argues that it is possible to give a satisfactory 'modest' account of truth without invoking problematic notions like correspondence, fact, or meaning. The clarity of exposition and the wealth of examples will make Conceptions of Truth an invaluable and stimulating guide for advanced students and scholars.

ABSTRACT Early modern alchemy studied both matter and life, much like today's life sciences. What material life is and how it comes about intrigued alchemists. Many found the answer by assuming a vital principle that served as the source and cause of life. Recent literature has presented important cases in which vitalist formulations incorporated corpuscular or mechanical elements that were characteristic of the New Science and other cases in which vitalist thinking influenced important figures of the Scientific Revolution. Not merely (...) speculative, vitalist ideas also motivated chymical practice. The unity of life science and material science that is found in many formulations of Renaissance alchemy disintegrated in Georg Ernst Stahl's version of post-Cartesian vitalism. (shrink)

At the end of section §6 in the Analytic of the Beautiful, Kant defines taste as the “faculty for judging an object or a kind of representation through a satisfaction or dissatisfaction without any interest”. On the face of it, Kant’s definition of taste includes both; positive and negative judgments of taste. Moreover, Kant’s term ‘dissatisfaction’ implies not only that negative judgments of taste are those of the non-beautiful, but also that of the ugly, depending on the presence of an (...) actual displeasure. (shrink)