Knowledge of human uses of animals is an important, but understudied, aspect of how humans treat animals. We developed a measure of one kind of knowledge of human uses of animals – knowledge of factory farming. Studies 1 (N = 270) and 2 (N = 270) tested an initial battery of objective, true or false statements about factory farming using Item Response Theory. Studies 3 (N = 241) and 4 (N = 278) provided evidence that responses to a 10-item Knowledge (...) of Factory Farming Scale predicted a reduction in consumption of animal products (rs = −.17- −.27) and approval of political actions aimed at factory farming (rs = .2 – .24). Path models from Studies 3 and 4 suggested that different kinds of knowledge uniquely predicted different outcomes. The Knowledge of Factory Farming scale was a unique predictor of approval of political actions concerning factory farmed animals but not animal consumption. Knowledge of Animals Used as Food predicted animal consumption but not political actions concerning farmed animals. These results highlight that different kinds of knowledge can be relevant for different animal related outcomes. (shrink)

La voix de Julien Brenda (1867-1956) nous est devenue inaudible. Quand l'auteur de la Trahison des clercs accuse ses pairs de se détourner des valeurs éternelles, nous n'y voyons qu'un appel à revenir à la tour d'ivoire. Quand l'une des gloires de la NRF, contemporain de Gide et de Valéry, voue ceux-ci aux gémonies et accuse toute la littérature de son époque de byzantinisme, nous avons du mal à le prendre au sérieux. Dans son culte de la vérité en politique (...) nous ne voyons plus que des vieilles lune dreyfusardes. Nous pouvons trouver Eleuthère délicieusement réactionnaire, mais nous ne parvenons pas à le suivre. Ce livre voudrait montrer au contraire que Benda est un penseur français de première grandeur. Sa défense du rationalisme, sa conception des valeurs intellectuelles et sa théorie de la connaissance littéraire méritent encore toute notre attention. On aura compris aussi qu'il n'est pas question seulement de Benda dans ce livre, mais de la nature de la raison et des ses normes. Et de l'incongruité absolue de quelqu'un qui prétendit vivre uniquement pour les valeurs de l'esprit. (shrink)

Tels leurs lointains prédécesseurs des Entretiens sur la pluralité des mondes, la Marquise d’U*** et le chevalier d’E*** sont réunis à la campagne et se livrent à des entretiens sur les sciences et la philosophie naturelle. Ils passent en revue les principaux problèmes de la philosophie des sciences, la nature de la découverte, des faits, de la probabilité, le réalisme et l’instrumentalisme, fictions et expériences de pensée, abordent quelques grands sujets de la science d’aujourd’hui, astronomie, chaos et hasard, objets quantiques, (...) nature des entités mathématiques et s’intéressent particulièrement à la biologie évolutionniste et à l’éthologie. Ils débattent des valeurs et des idéaux du savant et de la relation entre la science et la religion. La philosophie, de nos jours, aspire à être populaire, et même "peuple". On fustige son ésotérisme et sa sophistication et l’on voudrait qu’elle soit toujours accessible. Mais ne faut-il pas également songer à l’éducation philosophique des marquises? N’ont-elles pas droit elles-aussi à des introductions claires et légères aux questions centrales de l’épistémologie? Et ce qui est bon pour elles ne peut-il l’être pour tout un chacun? (shrink)

— J’entends bien, répondit Achille, agacé qu’on lui rappelle cet épisode humiliant. Mais tu fais comme si les logiciens avaient purement et simplement accepté la régression à l’infini de notre maître Lewis Carroll. Mais ils ont depuis longtemps diagnostiqué ce qui n’allait pas dans l’histoire dont nous étions jadis les infortunés protagonistes. Le problème, ont-ils noté, est que Lewis Carroll ne faisions pas la distinction entre une proposition vraie de la logique et une règle d’inférence. À partir du moment où (...) l’on reconnaît que le modus ponens est une règle d’inférence correcte de la logique classique, il n’y a aucun besoin de la considérer comme une proposition vraie que l’on aurait besoin d’ajouter au raisonnement, comme on le ferait pour une prémisse supprimée dans un enthymème, pour pouvoir tirer validement la conclusion. Voici ce que dit par exemple le logicien Timothy Smiley dans un article récent sur le paradoxe de Lewis Carroll. (shrink)

La logique occupe dans la pensée contemporaine une place privilégiée : elle est, pour certains, une méthode universelle et, pour d'autres, l'accomplissement d'une rationalité arrogante.Pascal Engel montre combien les questions philosophiques que soulève la logique sont, au-delà de leur apparente technicité, des plus classiques. La logique, en effet, circonscrit le domaine du vrai : quelle est la nature des vérités logiques? En quoi se distinguent-elles des autres vérités et sont-elles «nécessaires» ou «a priori»? Décrivent-elles les lois d'un univers immuable (...) ou sont-elles des règles et des conventions linguistiques que nous pourrions changer à notre guise? Les inférences dont traite la logique et que l'on dit souvent triviales peuvent-elles être fécondes, comme le soutenait Leibniz, par la seule «force de la forme»? Et qu'est-ce qu'une forme logique?Faire une philosophie de la logique, ce n'est pas seulement inventorier des formes, c'est surtout analyser leurs conditions d'application au langage, à la pensée et à la réalité. Ainsi la logique retrouve-t-elle sa place : celle d'une théorie des conditions normatives de la rationalité, d'une norme du vrai. (shrink)

Le sceptique nous demande " Comment sais-tu que tu as deux mains? Peut-être rêves-tu, ou es-tu trompé par quelque Malin Génie? Peut-on même définir ce que c'est que la connaissance? Va savoir! " Lui rétorquer, comme le faisaient G.E. Moore et la tradition de la philosophie du sens commun : " Mais je sais bien que j'ai deux mains! " semble à la fois une pétition de principe et une bien mauvaise réponse. Le mieux, depuis que nous avons perdu le (...) souci de fonder nos croyance sur des raisons ultimes, serait, tout simplement, de ne pas se soucier des questions du sceptique. Ce que l'on sait dépend, nous dit-on, des circonstances, et toutes nos connaissances sont faillibles. N'y a-t-il pas plutôt des savoirs, dont l'histoire nous montre combien leurs modes de validations sont variés? Ce livre entend refuser ce type de réponse contextualiste et relativiste. Il propose de revenir à la réponse de sens commun de Moore, à partir des reformulations contemporaines des raisonnements sceptiques issues de la philosophie analytique de la connaissance. Personne ne peut nous envoyer savoir quelque chose que nous ne pourrions pas savoir. De fait, nous savons, mais notre savoir n'est pas transparent : nous n'avons pas besoin de savoir que nous savons. Pour parvenir à cette réponse, il faut replacer la notion de connaissance, plutôt que celle de croyance justifiée ou rationnelle, au centre de l'épistémologie, et reformuler des questions traditionnelles comme celles de la nature de la perception, du témoignage, et de la connaissance a priori. On peut aussi reprendre le vieux projet d'une enquête sur la nature de la connaissance en général. (shrink)

Pascal Engel a publié un article intitulé « Le droit de ne pas croire ». Il y défend la thèse que les croyances religieuses sont incapables de satisfaire la norme épistémique de preuve ou de raison suffisante. Dès lors, elles seraient irrationnelles. Ne peut-on pas mettre en question une telle norme? Les croyances religieuses ne sont certes pas légitimes si elles sont fausses. Mais elles n’ont pas besoin d’être justifiées pour être rationnelles. Ma réponse à Pascal Engel suppose (...) une épistémologie différente de celle qu’il défend. Pascal Engel se situe dans un cadre déontologique, alors que je défends une conception arétique en épistémologie. À travers la question de la légitimité des croyances religieuses, c’est aussi ce que peut être l’épistémologie qui est examiné. (shrink)

Pascal Engel défend explicitement le purisme (ou l’intellectualisme). Selon la version générale de cette thèse, les facteurs qui déterminent si une croyance est justifiée, ou si elle est une connaissance, ne concernent que la vérité. Ils sont totalement indépendants des désirs ou des préférences du sujet, ainsi que des conséquences pratiques potentielles du fait de posséder ces croyances. Dans son article « Pragmatic Encroachment and Epistemic Value » (2009), P. Engel concède que des facteurs pratiques peuvent déterminer la (...) quantité de données (ou la justification) dont on a besoin pour savoir ou croire, tout en maintenant que cela n’affecte pas le purisme épistémique (dans sa version évidentialiste) sur les notions de donnée ou de degré de justification. Mais cela ne revient-il pas tout simplement à concéder l’impurisme épistémique au moins à propos de la connaissance ou de la justification simpliciter des croyances ? Dans cet article, j’examine en détails la position de P. Engel. Je montre que, correctement comprise, elle est intégralement puriste. En considérant le principe connaissance-action, je soulève néanmoins un dilemme pour son approche, jetant ainsi un doute sur le potentiel qu’elle aurait à fournir une réponse puriste satisfaisante à l’argument fondamental motivant l’impurisme épistémique. (shrink)

Dans cet article, je défends la position évidentialiste à propos des croyances religieuses, à la suite de la fameuse maxime de Clifford et contre l'interprétation pragmatiste de l'éthique des croyances. Je défends, en suivant Shah que le test de transparence est mieux expliqué par l'existence d'une norme de correction de la croyance. Les croyances religieuses, si elles sont des croyances, doivent obéir à cette norme. Si elles n'y obéissent pas, ce ne sont pas des croyances. Et la non croyance est (...) une attitude parfaitement légitime. (shrink)

C’est un plaisir de poursuivre une conversation de longue date avec la personne qu’on honore, au sujet de questions relatives à la nature de la croyance et de la manière dont elles affectent la théorie de la connaissance : la croyance peut-elle être de l’ordre de la performance? Peut-elle être vraiment motivée, beaucoup moins motivée de manière appropriée, par des raisons qui sont pragmatiques plutôt qu’épistémiques? Ce sont des questions sur lesquelles nous sommes en désaccord et que Engel inscrit (...) dans un conflit plus général sur la sorte de normativité qui convient à l’épistémologie. Il m’attribue une sorte de normativité téléologique-axiologique, tandis qu’il opte plutôt pour une normativité qui est déontique. Selon lui, il existe des normes de croyance, au minimum une norme de vérité, et aussi une norme de connaissance. Vous devez ne pas croire ce qui n’est pas vrai, et même ce dont vous ne savez pas s’il est vrai, voir [Engel 2013], [Sosa 2013]. (shrink)

On expose et discute dans cet article la théorie instrumentante de l'intentionnalité de Dennett. Ce dernier a tenté récemment de montrer que cette théorie n'avait pas les conséquences antiréalistes qu'on lui prête habituellement, en recourant à la notion de « trames » sous tendant les attributions en « posture intentionnelle ». On montre cependant que cette notion ne permet pas d'accomplir le travail que Dennett entend lui faire accomplir. Elle est trop indéterminée pour satisfaire les intuitions réalistes, parce que Dennett (...) refuse d'envisager systématiquement les relations entre les niveaux intentionnel et physique. Davidson a aussi employé une notion de « pattern » dans sa théorie de l'interprétation, qui semble plus satisfaisante, mais qui ne lève pas les difficultés du « patternalisme » en philosophie de l'esprit.This paper discusses Dennett's instrumentalist theory of intentionality, and his recent attempt to account for our realist intuitions about the mind by using the notion of "patterns" underlying our intentional ascriptions. But the notion is too weak and indeterminate to do the job that Dennett intends to confer to it. He systematically refrains from discussing the exact relationship between the intentional level and more physical levels. Davidson's notion of pattern is more realistic, but is still wanting, if our realistic intuitions are to be maintained. (shrink)

Je suis trés reconnaissant à Michel Seymour d'avoir soumis mon livre à un examen détaillé, pénétrant, et charitable et d'avoir, par ses objections, mis le doigt sur un certain nombre de présupposés des thèses défendues dans ce livre, qu'il a souvent articulés bien mieux que je n'ai été capable de le faire. Le principal de ces présupposés est mon rejet implicite de la thése quinienne de l'indétermination de la traduction, qui m'engage, selon Seymour, à défendre une conception conservatrice de la (...) logique et à insister sur une détermination de son domaine qui lui paraît injustifiée. Seymour soutient au contraire qu'il faut admettre cette thése, qui «commande une tout autre perspective» que la mienne. Je voudrais à la fois résister à la prémisse et à la conclusion de cette inférence. (shrink)

Que Karl Marx et Friedrich Engels aient à la fin des années 1860 uni la destinée de leur projet de révolution prolétarienne universelle à l’Irlande, est généralement méconnu. Principal obstacle à l’avènement en Angleterre d’un parti ouvrier révolutionnaire, auquel les deux théoriciens avaient assigné le rôle dirigeant de leur stratégie politique, la question irlandaise se devait donc d’être réglée, selon eux, à la faveur de l’indépendance nationale de l’Irlande. Or le fait que jamais ces desseins n’aboutissent, apporte la preuve pour (...) d’aucuns que Marx et Engels s’étaient trompés quant à la nature du problème posé. Qu’en fut-il au juste? L’examen critique dont les deux révolutionnaires allemands font l’objet ne tend-il pas à négliger certains paramètres, ouvrant ainsi la voie à une relecture de l’analyse marxienne vis-à-vis de la question irlandaise? (shrink)

Je m’efforcerai de donner plus de poids aux doutes de Pascal Engel relatifs à deux affirmations de Timothy Williamson dans Philosophy of Philosophy: que les expériences de pensée philosophiques portent sur une possibilité métaphysique par opposition à une possibilité conceptuelle, et que le raisonnement contrefactuel joue un rôle crucial pour atteindre les conclusions modales pertinentes dans les arguments fondés sur des expériences de pensée. Dans le premier cas, je soutiendrai qu’à moins de comprendre la notion de conceptuel dans un (...) sens psychologique, il est difficile de saisir la différence entre des expériences de pensée qui « portent sur des concepts » ou possibilités conceptuelles et des expériences de pensée qui « portent sur des êtres réels » ou possibilités métaphysiques. Dans le second cas, je soutiendrai qu’il n’est pas clair que les contrefactuels sont des prémisses indispensables dans des arguments fondés sur des expériences de pensée ou que le raisonnement contrefactuel prend l’avantage sur le raisonnement déductif ordinaire pour atteindre des conclusions modales. (shrink)

L’article interroge successivement l’éthique intellectuelle centrée sur les vertus et défendue par Roger Pouivet et celle centrée sur les normes rationnelles de la croyance défendue par Pascal Engel. En plus de thèmes propres à chaque éthique, on insistera sur la confrontation métaphysique au naturalisme ainsi que sur le possible caractère tragique de l’éthique intellectuelle. Ces exigences intellectuelles risquent de mener à des formes de mélancolie ou de misanthropie, sauf si l’éthique intellectuelle est solidement associée à une espérance religieuse ou (...) rationnelle qui n’est peut-être pas vraiment compatible avec ces mêmes exigences. (shrink)

18. yüzyılın başlarında vefat ettiği düşünülen Şevkizâde Süleyman Efendi, tütün kullanımının yaygınlaştığı ve şiddetli yasaklamalar sonrası yasakların gevşediği bir dönemde yaşamış bir Osmanlı âlimidir. Bu dönem, Şeyhülislam Bahâî Mehmed Efendi’nin tütünün mubahlığına dair verdiği fetvası ve devletin tütünü resmen vergilendirmesi sonrasına tekabül eder. Söz konusu dönemde tütün kullanmanın hükmüyle ilgili tartışmalar yoğun bir şekilde devam etmekte olup, lehte ve aleyhte pek çok risâle kaleme alınmıştır. Konuyla ilgili risale kaleme alan müelliflerden biri olan Şevkizâde risalesinde, tütün kullanımı ile ilgili tartışmalarda uygun (...) olmayan deliller ve hakarete varan sert bir üslup kullanıldığı, tütün içilmesine engel olmak ve fitneyi önlemek üzere bu eserlerde konuyla ilgili nass bulunmadığı ve kıyasla hüküm istihraç etmenin ihmal edildiği gibi pek çok asılsız iddialarda bulunulduğunu belirtir. Söz konusu tartışmaların ise insanları kafa karışıklığı içinde bıraktığını, bu nedenle Kitap, sünnet ve müçtehitlerin görüşleri ışığında mesele ile ilgili doğruları ortaya koymak üzere kısa bir risale telif ettiğini belirtir. Tütünle ilgili genellemeci bir hükümden kaçınan Şevkizâde risalesinde; tütün kullananların mescide gelmekten menedilmesi, tütünün habâisten olup olmadığı, devlet başkanının tütün hakkındaki emrinin hükmü ve bağlayıcılığı, tütün kullanmanın haramlığını ve mubahlığını savunanların bazı iddialarının değerlendirilmesi ve tütün içmenin oruca etkisi gibi meselere ayrı ayrı temas eder. Bu makalede Şevkizâde’nin tütün hakkındaki risâlesi tanıtıldı ve incelendi, ayrıntılı olarak muhtevasına temas edildi ve son olarak risâlenin tahkikli metnine yer verildi. (shrink)

Türkiye’nin devlet düzeyinde Avrupa merkezli ve laik ulus-devlet ideolojisinden neo-Osmanlıcığa evrilen göçmen politikasının yanında, bu politikanın başarılı biçimde ve insan haklarına tam anlamıyla saygılı olarak koordine edilmesinin önünde mikro güç düzeyinde ana engeller bulunmaktadır. Ekonomik, kültürel ve bilhassa siyasi faktörler Suriyeliler ile Türkiyeliler arasındaki ilişkide rol oynamaktadır. Türkiye’de yaşayan Suriye toplumu içindeki bölünmeler de açıkça görülmektedir. Öte yandan, devlet politikasından farklı olarak, Türkler zımni olarak bu göç dalgasına yönelik hoşnutsuzluklarını toplumsal bir kargaşa yaratmaksızın göstermektedir. Bu minvalde, yükselen bir trend olan (...) Neo-Osmanlıcılığın göç konusunda toplumun ciddi bir bölümünün daha ılımlı bir tavır sergilemesine yardımcı olduğu öne sürülmektedir. (shrink)

The doctrine of simple individuals has its equal and opposite reaction in the view that an individual is simply a bundle of properties, that the identity of an individual is entirely dependent on the identity of its properties. This view also seems to me to be in some sense wrong and I shall attack it in passing. If all my remarks have seemed excessively polemical it is because I have been anxious to make it as clear as possible what the (...) motivation behind this paper is. I am mainly concerned with the problem concerning the "it" which underlies or has properties and I shall want to argue that the identity of an individual--what it is that makes an individual that individual--does not depend merely on its being that individual or having that piece of substratum, but it depends partially and in a complicated way on the identity of its properties. The analysis will have to exhibit the nature of that dependence. Most of the discussion will revolve around proper names and their function since it is through linguistic considerations, I think, that we get the clearest illumination. The result, in case any one is interested, will be Absolute Idealism, or something like it. (shrink)

A multidisciplinary faculty committee designed a curriculum to shape biomedical graduate students into researchers with a high commitment to professionalism and social responsibility and to provide students with tools to navigate complex, rapidly evolving academic and societal environments with a strong ethical commitment. The curriculum used problem-based learning (PBL), because it is active and learner-centred and focuses on skill and process development. Two courses were developed: Scientific Professionalism: Scientific Integrity addressed discipline-specific and broad professional norms and obligations for the ethical (...) practice of science and responsible conduct of research (RCR). Scientific Professionalism: Bioethics and Social Responsibility focused on current ethical and bioethical issues within the scientific profession, and implications of research for society. Each small-group session examined case scenarios that included: (1) learning objectives for professional norms and obligations; (2) key ethical issues and philosophies within each topic area; (3) one or more of the RCR instructional areas; and (4) at least one type of moral reflection. Cases emphasised professional standards, obligations and underlying philosophies for the ethical practice of science, competing interests of stakeholders and oversight of science (internal and external). To our knowledge, this is the first use of a longitudinal, multi-semester PBL course to teach scientific integrity and professionalism. Both faculty and students endorsed the active learning approach for these topics, in contrast to a compliance-based approach that emphasises learning rules and regulations. (shrink)

Objective We conducted a process evaluation to (a) assess the effectiveness of a new problem-based learning curriculum designed to teach professionalism and scientific integrity to biomedical graduate students and (b) modify the course to enhance its relevance and effectiveness. The content presented realistic cases and issues in the practice of science, to promote skill development and to acculturate students to professional norms of science. Method We used 5-step Likert-scaled questions, open-ended questions, and interviews of students and facilitators to assess curricular (...) effectiveness. Results Both facilitators and students perceived course objectives were achieved. For example, respondents preferred active learning over lectures; both faculty and students perceived that the curriculum increased their understanding of norms, role obligations and responsibilities of professional scientists. They also reported an increased ability to identify ethical situations and felt that they had developed skills in moral reasoning and effective group work. Conclusions These data helped to improve course implementation and instructional material. For example, to correct a negative perception that this was an ‘ethics’ course, we redesigned case debriefing activities to reinforce learning objectives and important skills. We refined cases to be more engaging and relevant for students, and gave facilitators more specific training and resources for each case. The problem-based learning small group strategy can stimulate an environment whereby participants are more aware of ethical implications of science, and increase their socialisation and open communication about professional behaviour. (shrink)

The title is an allusion to the fact that, traditionally, propositions have served at least two distinct functions in philosophy, even though these functions have not usually been distinguished. Propositions have been invoked as the ‘meanings’ or ‘intensions’ of sentences and as the objects of propositional attitudes. Thus the proposition that Socrates is wise is the meaning of the English sentence, ‘Socrates is wise,’ and is what Charles believes when he believes that Socrates is wise. ‘Means that’ and ‘believes that’ (...) take the same kind of object. I shall argue, first, that there are two quite different functions here and it takes two quite different kinds of proposition to serve these distinct functions. The second thing I want to do is examine the suggestion that we can treat propositions as sets of possible worlds. There is a serious difficulty here, and so I shall want to turn that idea on its side: I shall define possible worlds as sets of G-propositions and then define E-propositions as sets of possible worlds. (shrink)

Chapter I announces the aim of the book, which is, to deal with the question: What is a language? It also registers complaints against current semantical methods. The sections here are closely related to Quine's Two Dogmas, but the author finds himself dissatisfied, not just with analyticity, but also with logical truth, truth, designation. The difficulties are of two orders. In one case they would be dissolved by having general definitions of the terms in question. In the other case we (...) should have to discuss use of a language and that would take us into pragmatics. It turns out that to get our "general" definitions we have to define "language," "logical truth," and "G-designation" all at once, so to speak. Chapter II lays down criteria of adequacy for a definition of "language": two languages are identical if and only if they have the same vocabulary and every expression has the same significance in one language as it has in the other. Now the author has to cope with "significance." In Chapter III, he follows Quine in holding that an extensional languages recognizes at most individuals, truth-values, and classes; and an intensional or modal language recognizes at most individual concepts, properties, and propositions. The author wants to have it both ways: like lots of people, he wants individuals and properties and propositions. To have it both ways, he has to work out a new semantical method ; and since his properties and propositions are not the familiar intensions, he has to call them G-properties and G-propositions. If these entities are named in the language then they are G-designated by their names. (shrink)