L'article examine la relation de Bernard Lonergan à John Henry Newman, son premier inspirateur intellectuel. Il cherche à aller plus loin que les questions de références explicites ou des influences directes pour identifier les domaines majeurs òu les deux penseurs ont des affinités, ce qui inclut les limitations de la logique, l'attention aux structures cognitives, la centralité du jugement, la dialectique de l'autotranscendance que dévient des attitudes erronées, le parallèle entre l'assentiment réel et la conversion. Lonergan s'appropria et transforma les (...) fondements libérateurs qu'il découvrit au long de sa lecture de jeunesse de Newman. Un même ligne de pensée, empirique et psychologique, caractérise les deux auteurs, mais Lonergan va au delà des vastes catégories descriptives de Newman afin d'ouvrir des horizons plus larges à l'exploration de la méthode et de l'intériorité. (shrink)

Although both the ancient classical forms of tragedy and the nihilist tendencies of postmodern writing are marked by paralysis and passivity before fate, more religiously influenced periods of English literature are characterised by self-transcending and self-transforming movement beyond tragic impotence. This insight is illustrated briefly through references to Shakespeare's King Lear but it can also be found in Dante and in less explicitly Christian authors. The wisdom of humility exemplified in these literary masterpieces with a religious background embodies an implicit (...) theology of redemption, whereby evil can ultimately be transfigured into good. (shrink)