The acquisition of English noun and verb morphology is modeled using a single-system connectionist network. The network is trained to produce the plurals and past tense forms of a large corpus of monosyllabic English nouns and verbs. The developmental trajectory of network performance is analyzed in detail and is shown to mimic a number of important features of the acquisition of English noun and verb morphology in young children. These include an initial error-free period of performance on both nouns and (...) verbs followed by a period of intermittent over-regularization of irregular nouns and verbs. Errors in the model show evidence of phonological conditioning and frequency effects. Furthermore, the network demonstrates a strong tendency to regularize denominal verbs and deverbal nouns and masters the principles of voicing assimilation. Despite their incorporation into a single-system network, nouns and verbs exhibit some important differences in their profiles of acquisition. Most importantly, noun inflections are acquired earlier than verb inflections. The simulations generate several empirical predictions that can be used to evaluate further the suitability of this type of cognitive architecture in the domain of inflectional morphology. (shrink)

The purpose of this paper is to describe the evolution of the fundamental guidelines according to René Girard’s interpretation of the Oedipus myth. After close examination, it appears Girard’s methodology is based on four complementary levels: (1) the common-sense tracking of sacrificial substitutions; (2) the careful analysis of symmetries and dissymmetries in mythical texts; (3) the identification of cross-cultural and historical persecution stereotypes; (4) the application of the common standard of evidence (i.e. guilty beyond a reasonable doubt) for criminal conviction. (...) Throughout the paper, we will show that Girard’s approach bears strong resemblance with William Whewell’s method of consilience as well as Charles Sanders Peirce’s views of the historical sciences. (shrink)

Writing from a scientifically and philosophically informed perspective, the authors provide a critical overview of the conceptual difficulties encountered in many current neuroscientific and psychological theories.

La réflexion de Thomas d’Aquin sur les régimes de la cité présente l’inconvénient que ses oeuvres politiques sont restées inachevées. Significative pour pouvoir décider de l’appartenance de Thomas d’Aquin au côté de la doctrine gélasienne ou à celle du pape Grégoire VII, la comparaison du Super Sententiisavec le traité De regno, telle qu’elle a été faite par I.T. Eschmann, n’est pas bien riche en conclusions pour la question du consentement politique. Selon la position que nous avons assumée dans notre investigation (...) au sein des deux oeuvres de Thomas, il est possible d’affirmer que la notion de consentement n’introduit pas de fausses discontinuités entre des textes écrits à des périodes distinctes. En fin de compte, ce qui unit le Super Sententiis au De regno c’est, à notre avis, une sorte de prudence politique, issue de la lecture que Thomas d’Aquin fait des livres sapientiels de l’Ancien Testament. Sans avoir l’intention de nier les différences qui existent entre les deux textes thomasiens, il nous semble évident qu’ils dégagent plutôt la perspective d’une science politique attentive aux pratiques du temps, mais encore réservée quant aux concepts liés au consentement exprimé par le principe quod omnes tangit, principe que la prudence politique n’a pas encore assimilé. (shrink)

La réflexion de Thomas d’Aquin sur les régimes de la cité présente l’inconvénient que ses oeuvres politiques sont restées inachevées. Significative pour pouvoir décider de l’appartenance de Thomas d’Aquin au côté de la doctrine gélasienne ou à celle du pape Grégoire VII, la comparaison du Super Sententiisavec le traité De regno, telle qu’elle a été faite par I.T. Eschmann, n’est pas bien riche en conclusions pour la question du consentement politique. Selon la position que nous avons assumée dans notre investigation (...) au sein des deux oeuvres de Thomas, il est possible d’affirmer que la notion de consentement n’introduit pas de fausses discontinuités entre des textes écrits à des périodes distinctes. En fin de compte, ce qui unit le Super Sententiis au De regno c’est, à notre avis, une sorte de prudence politique, issue de la lecture que Thomas d’Aquin fait des livres sapientiels de l’Ancien Testament. Sans avoir l’intention de nier les différences qui existent entre les deux textes thomasiens, il nous semble évident qu’ils dégagent plutôt la perspective d’une science politique attentive aux pratiques du temps, mais encore réservée quant aux concepts liés au consentement exprimé par le principe quod omnes tangit, principe que la prudence politique n’a pas encore assimilé. (shrink)

Notre enquête porte sur la réception à la fois philosophique et théologique de la pensée de saint Thomas d’Aquin dans la culture roumaine à l’âge moderne.Nous avons essayé de marquer les étapes principales d’une histoire qui reflète dans une culture religieuse d’origine byzantine les tribulations de la réception dela philosophie médiévale en Occident. Formés dans les universités françaises ou allemandes, les philosophes et les théologiens orthodoxes roumains sont redevables aussi bien aux traditions philosophiques des XVIIIᵉ-XIXᵉ siècles qu’à la découverte gilsonienne (...) de la pensée médiévale. Entre polémique confessionnelle et approche scientifique, saint Thomas d’Aquin devient au XXᵉ siècle une présence significative dans les discours philosophiques et théologiques roumains (notamment dans le débat concernant la possibilité d’une philosophie chrétienne), en dépit d’une préférence traditionnelle accordée à saint Augustin. Il importe de remarquer aussi le fait que la spécificité des approches des philosophes roumains de la pensée de saint Thomas d’Aquin consiste dans l’effort de transgresser un thomisme «historique» vers des possibles enjeux modernes. (shrink)

Notre enquête porte sur la réception à la fois philosophique et théologique de la pensée de saint Thomas d’Aquin dans la culture roumaine à l’âge moderne.Nous avons essayé de marquer les étapes principales d’une histoire qui reflète dans une culture religieuse d’origine byzantine les tribulations de la réception dela philosophie médiévale en Occident. Formés dans les universités françaises ou allemandes, les philosophes et les théologiens orthodoxes roumains sont redevables aussi bien aux traditions philosophiques des XVIIIᵉ-XIXᵉ siècles qu’à la découverte gilsonienne (...) de la pensée médiévale. Entre polémique confessionnelle et approche scientifique, saint Thomas d’Aquin devient au XXᵉ siècle une présence significative dans les discours philosophiques et théologiques roumains (notamment dans le débat concernant la possibilité d’une philosophie chrétienne), en dépit d’une préférence traditionnelle accordée à saint Augustin. Il importe de remarquer aussi le fait que la spécificité des approches des philosophes roumains de la pensée de saint Thomas d’Aquin consiste dans l’effort de transgresser un thomisme «historique» vers des possibles enjeux modernes. (shrink)

La réflexion de Thomas d’Aquin sur les régimes de la cité présente l’inconvénient que ses oeuvres politiques sont restées inachevées. Significative pour pouvoir décider de l’appartenance de Thomas d’Aquin au côté de la doctrine gélasienne ou à celle du pape Grégoire VII, la comparaison du Super Sententiisavec le traité De regno, telle qu’elle a été faite par I.T. Eschmann, n’est pas bien riche en conclusions pour la question du consentement politique. Selon la position que nous avons assumée dans notre investigation (...) au sein des deux oeuvres de Thomas, il est possible d’affirmer que la notion de consentement n’introduit pas de fausses discontinuités entre des textes écrits à des périodes distinctes. En fin de compte, ce qui unit le Super Sententiis au De regno c’est, à notre avis, une sorte de prudence politique, issue de la lecture que Thomas d’Aquin fait des livres sapientiels de l’Ancien Testament. Sans avoir l’intention de nier les différences qui existent entre les deux textes thomasiens, il nous semble évident qu’ils dégagent plutôt la perspective d’une science politique attentive aux pratiques du temps, mais encore réservée quant aux concepts liés au consentement exprimé par le principe quod omnes tangit, principe que la prudence politique n’a pas encore assimilé. (shrink)

Notre enquête porte sur la réception à la fois philosophique et théologique de la pensée de saint Thomas d’Aquin dans la culture roumaine à l’âge moderne.Nous avons essayé de marquer les étapes principales d’une histoire qui reflète dans une culture religieuse d’origine byzantine les tribulations de la réception dela philosophie médiévale en Occident. Formés dans les universités françaises ou allemandes, les philosophes et les théologiens orthodoxes roumains sont redevables aussi bien aux traditions philosophiques des XVIIIᵉ-XIXᵉ siècles qu’à la découverte gilsonienne (...) de la pensée médiévale. Entre polémique confessionnelle et approche scientifique, saint Thomas d’Aquin devient au XXᵉ siècle une présence significative dans les discours philosophiques et théologiques roumains , en dépit d’une préférence traditionnelle accordée à saint Augustin. Il importe de remarquer aussi le fait que la spécificité des approches des philosophes roumains de la pensée de saint Thomas d’Aquin consiste dans l’effort de transgresser un thomisme «historique» vers des possibles enjeux modernes. (shrink)

A long-standing theme in discussion of perception and thought has been that our primary cognitive contact with individual objects and events in the world derives from our perceptual contact with them. When I look at a duck in front of me, I am not merely presented with the fact that there is at least one duck in the area, rather I seem to be presented withthisthing (as one might put it from my perspective) in front of me, which looks to (...) me to be a duck. Furthermore, such a perception would seem to put me in a position not merely to make the existential judgment that there is some duck or other present, but rather to make a singular, demonstrative judgment, that that is a duck. My grounds for an existential judgment in this case derives from my apprehension of the demonstrative thought and not vice versa. (shrink)

This book defends antitheodicism, arguing that theodicies, seeking to excuse God for evil and suffering in the world, fail to ethically acknowledge the victims of suffering. The authors argue for this view using literary and philosophical resources, commencing with Immanuel Kant's 1791 "Theodicy Essay" and its reading of the Book of Job. Three important twentieth century antitheodicist positions are explored, including "Jewish" post-Holocaust ethical antitheodicism, Wittgensteinian antitheodicism exemplified by D.Z. Phillips and pragmatist antitheodicism defended by William James. The authors argue (...) that these approaches to evil and suffering are fundamentally Kantian. Literary works such as Franz Kafka'sThe Trial, Samuel Beckett's Waiting for Godot, and George Orwell's Nineteen Eighty-Four, are examined in order to crucially advance the philosophical case for antitheodicism. (shrink)

In his last book, David Armstrong sets out his metaphysical system in a set of concise and lively chapters each dealing with one aspect of the world. He begins with the assumption that all that exists is the physical world of space-time. On this foundation he constructs a coherent metaphysical scheme that gives plausible answers to many of the great problems of metaphysics. He gives accounts of properties, relations, and particulars; laws of nature; modality; abstract objects such as numbers; and (...) time and mind. (shrink)

Is consciousness a purely physical phenomenon? Most contemporary philosophers and theorists hold that it is, and take this to be supported by modern science. But a significant minority endorse non-physicalist theories such as dualism, idealism and panpsychism, among other reasons because it may seem impossible to fully explain consciousness, or capture what it's like to be in conscious states (such as seeing red, or being in pain), in physical terms. This Element will introduce the main non-physicalist theories of consciousness and (...) explain the most important arguments for them, and consider how they each respond to the scientific and other arguments in support of physicalism. This title is also available as Open Access on Cambridge Core. (shrink)

Western democracy is now at a critical juncture. Some worry that power has been wrested from the people and placed in the hands of a small political elite. Others argue that the democratic system gives too much power to a populace that is largely ill-informed and easily swayed by demagogues. This classic study of democratic principles is thus now more relevant than ever. A renowned historian of antiquity and political philosophy, Sir M.I. Finley offers a comparative analysis of Greek and (...) modern conceptions of democracy. As he puts the ancient Greeks in dialogue with their contemporary counterparts, Finley tackles some of the most pressing issues of our day, including public apathy, partisanship, consensus politics, distrust of professional politicians, and the limits of free speech. Including three lectures that Finley delivered at Rutgers University, plus two additional essays that further illuminate his thinking, _Democracy Ancient and Modern _explores the dramatic differences between the close-knit civil society of the ancient Greeks and our own atomized mass societies. By mapping out democracy’s past and its present manifestations, this book helps us plot a course for democracy’s future. (shrink)

This book presents a collection of essays on institutional theory written by the German sociologist and Weber-expert M. Rainer Lepsius. Based on Weber's work, the author develops concepts of institutional theory, which he subsequently applies to topics such as National Socialism, democratization processes, German unification, and the institutionalization of the European Union. By showing how charismatic leadership can under certain circumstances threaten democratic structures and curtail individual freedoms, and by analyzing the structural and cultural conditions under which people develop trust (...) in political and social structures and ultimately come to support and comply with them, the author provides a sound analytical understanding of the development of democratic institutions and a democratic political culture. This collection of essays was edited, translated and commented on by Claus Wendt. (shrink)

The Ismaili Imam and Imamat -- Ethical foundations -- Tradition and modernity -- The ethos of modernism -- Pluralism and cosmopolitan ethics -- Cohesion within the Umma -- Islam and the West -- Cultivating and enabling environment -- Living the ethics of Islam -- Global convergence.

The socialist construction in Vietnam, aspect of human role.

The given is the state of a mind in its primary engagement with the world. A satisfactory epistemology—one, it turns out, that is foundationalist and includes a naïve realist view of perception—requires a certain account of the given. Moreover, knowledge based on the given requires both a particular view of the world itself and a heterodox account of judgment. These admittedly controversial claims are supported by basic ontological considerations. I begin, then, with two contradictory views of the world per se (...) and the structure one experiences. I draw out the consequences of these two views for what intentionality is. The two views yield incompatible accounts of the given. The definitive spontaneity of the one account, and passivity of the other, can be understood in terms of the structure (or lack thereof) in the given. In defense of the claim that a structured given is not an apt epistemic basis, I examine an attempt to found an epistemology on such an account in light of the so-called myth of the given. I maintain that the given, if it is to provide some justification for taking the world to be a particular way, must be unstructured. To support this, I first discuss a significant problem with traditional foundationalism. I then argue that a satisfactory (foundationalist) epistemology requires the rejection of the orthodox propositional view of judgment in favor of a non-propositional, reistic view. (shrink)

Eliminative materialism is the thesis that our common-sense conception of psychological phenomena constitutes a radically false theory, a theory so fundamentally defective that both the principles and the ontology of that theory will eventually be displaced, rather than smoothly reduced, by completed neuroscience. Our mutual understanding and even our introspection may then be reconstituted within the conceptual framework of completed neuroscience, a theory we may expect to be more powerful by far than the common-sense psychology it displaces, and more substantially (...) integrated within physical science generally. My purpose in this paper is to explore these projections, especially as they bear on (1) the principal elements of common-sense psychology: the propositional attitudes (beliefs, desires, etc.), and (2) the conception of rationality in which these elements figure. (shrink)

A selection of important writings which together suggest that legal philosophy is the nerve of legal reasoning.