This chapter contains section titled: Pragmatism Redirected From Knowledge Approximated to Approximate Knowledge Technology, Standardization, and Experimental Science Measurement and Orders of Magnitude Non‐Reductionism, Hierarchy, and Complexity Action, Progress, and Moving Beyond Cartesian Intellectualism.

But if reason has no original influence, it is impossible it can withstand any principle which has such an efficacy, or ever keep the mind in suspense a moment. Thus, it appears, that the principle which opposes our passions cannot be the same with reason, and is only called so in an improper sense. We speak not strictly and philosophically, when we talk of the combat of passion and of reason.

For as long as there has been anything worthy of the name of science, there have been those who have criticized its claim to superior knowledge. With the birth and prodigious growth of modern science, the corresponding growthof critical opinion led, in the eighteenth century, to a divorce of the sciences from the humanities around which our educational institutions, and our universities in particular, have been built. It is this divorce which renders problematic the status of the social or human (...) sciences. For the extent to which Man can be an object of scientific knowledge will be questioned by those insisting on an opposition between human knowledge and values as embodied in the humanities, and the dehumanized objective knowledge proclaimed within the natural sciences. (shrink)

To translate the Aristotelian square of opposition into Chinese requires restructuring the Aristotelian system of genus-species into the Chinese way of classification and understanding of the focus-field relationship. The feature of the former is on a tree model, while that of the later is on the focusfield model. Difficulties arise when one tries to show contraries betweenA- type and E-type propositions in the Aristotelian square of opposition in Chinese, because there is no clear distinction between universal and particular in a (...) focus-field structure of thinking. If there could be a chance to discuss the analytic identity between the two logical systems, then it might be only constituted during a face to face conversation in the present, or, in other words, in the translation of particular propositions (singular subjective,I-type, andO-type propositions) in a particular case. The best hope for a translator is that in the actual temporally situated practice,now he or she might find a temporary way to map the concepts of one to the other with relatively little loss of structure. (shrink)

This paper has two purposes. (1) To justify the claim that there is an important distinction underlying the saying/showing distinction of the Tractatus; the distinction which Kant characterises as that between historical and rational knowledge. (2) To argue that it is because the Tractatus accepts Frege/Russell logic as a complete representation of all thought according to laws, that what is shown cannot be recognised as knowledge. This is done by interpolating Frege's logical innovations between the views of Kant and Wittgenstein (...) on logic and mathematics. (shrink)

Technology is no longer confined to the laboratory but has become an established part of our daily lives. Its sophistication offers us power beyond our human capacity which can either dazzle or threaten; it depends who is in control. _Living in a Technological Culture_ challenges traditionally held assumptions about the relationship between `man-and-machine'. It argues that contemporary science does not shape technology but is shaped by it. Neither discipline exists in a moral vacuum, both are determined by politics rather than (...) scientific inquiry. By questioning our existing uses of technology, this book opens up wider debate on the shape of things to come and whether we should be trying to change them now. As an introduction to the philosophy of technology this will be valuable to students, but will be equally engaging for the general reader. (shrink)

This is a critical review of Robert Innis’ Pragmatism and the Forms of Sense: Language, Perception, Technic. In this book, one of Michael Polanyi’s key preoccupations is related to the ideas of a number of thinkers, including Charles Peirce, John Dewey and Ernst Cassirer.

Ce livre montre, à travers l'étude de la notion de virtù, que Machiavel a développé une approche originale des choses politiques qui consiste à penser les conditions de possibilité de la liberté sans nier la contingence du monde et la méchanceté potentielle de l'être humain.

La sociologie historique des sciences et des techniques est, davantage qu'une discipline, une pratique et une mise en oeuvre d'un ensemble varié de méthodes historiques et sociologiques croisées. Cet ouvrage propose donc une approche méthodologique et empirique de ce segment de recherche aux riches potentialités. Deux problématiques structurent le livre. Il s'agit tout d'abord d'enquêter sur la production et la circulation des concepts dans des contextes variés (marxisme, épistémè foucaldienne). Ensuite, parce que la sociologie historique des sciences et des techniques (...) offre une potentialité d'expressions théoriques larges, l'ouvrage avance la proposition d'une conceptualisation du rapport entre savoir et pouvoir autour d'un régime régulatoire des sciences et des techniques. Le cadrage par le droit, la professionnalisation de certaines activités savantes, les effets de la bureaucratisation et la mobilisation de valeurs spécifiques délimitent un ensemble de pratiques scientifiques et techniques déployé par et pour l'État. La mise à l'épreuve historique de ce schéma théorique permet de signaler, depuis le XVIe siècle, les grandes inflexions d'une science destinée à soutenir et organiser l'action rationnelle du pouvoir."--Page 4 of cover. (shrink)

Cette premiere synthese integrale de la pensee politique d'Emile Chartier (1868-1951, plus connu sous le pseudonyme d'Alain) se propose, a nouveaux frais et de maniere soigneusement contextualisee, de redonner a Alain la place majeure et singuliere qui lui revient dans l'histoire recente des idees : celle d'un penseur citoyen, d'un liberal de gauche compagnon de route du radicalisme, dont l'anti-etatisme, l'individualisme democratique et le rationalisme laique entrent en resonance profonde avec les preoccupations contemporaines. Jerome Perrier entend ainsi rendre justice a (...) cet insatiable chroniqueur, dont l'oeuvre a pati d'avoir ete disseminee en plusieurs milliers de Propos dans la presse de son epoque. Contre le cliche de philosophe pour classes terminales qu'on a parfois cru devoir lui accoler en raison de son style sans jargon, il campe un Alain a la fois clair et profond, soucieux d'etre comprehensible par tous, qui s'inscrit aussi dans la tradition des moralistes francais allant de Montaigne a Camus. (shrink)

Si l'art n'est pas d'abord considéré en tant que production d'objets mais comme manière d'être au monde, intéressant tout homme et toute société, si la foi n'est pas considérée en tant qu'adhésion intellectuelle aux vérités de la foi, mais comme acte capable d'illuminer et transformer le monde, alors, loin d'être uniquement en rapport d'interaction, d'interdépendance, ou de ressemblance, l'art, la foi et le politique sont une unique réalité vivante. En ce sens, chacune des trois entités sera d'autant mieux comprise et (...) pensée qu'elle sera vue comme l'une des modalités de la même dynamique. Cette thèse se développe en trois étapes éclairant successivement les présupposés de sa démonstration, son effectivité dans la personne individuelle comme dans la société, enfin sa portée programmatique : le monde n'aura d'avenir qu'en assumant le ressort poétique qui le constitue et l'anime depuis le commencement. (shrink)

Le philosophe Alain est rarement considéré comme un penseur politique de premier plan. À tort. Ses réflexions en la matière, nombreuses, sont beaucoup plus profondes et autrement plus originales qu'on ne le croit généralement, et l'inventeur des Propos est bien davantage que le simple « philosophe du bonheur pour classe terminale » qu'on a coutume de présenter - et de citer, beaucoup plus que de lire. Circonstance aggravante, sa philosophie politique, quoiqu'authentiquement démocrate, apparaît dans le même temps viscéralement individualiste et (...) libérale ; ce qui s'avère être une tare rédhibitoire aux yeux de beaucoup d'intellectuels français, et ce qui a certainement joué un rôle non négligeable dans l'oubli presque complet dans lequel est tombé cet aspect de son oeuvre au XXe siècle, c'est-à-dire à l'époque tragique des totalitarismes et de l'État-roi. Or, c'est précisément cette dimension de la pensée d'Alain que nous entendons ici mettre en valeur, avec l'intime conviction que cette oeuvre politique a encore beaucoup de choses à nous apprendre et qu'elle mérite sans le moindre doute de figurer au panthéon des plus grands classiques de la pensée libérale. (shrink)

Ce livre a pour ambition de penser l'amour, d'en produire une pensée contemporaine. A cet effet, il articule deux axes a priori divergents. Il présente d'abord une lecture inédite des trois grandes pensées contemporaines sur l'amour : celles d'Emmanuel Levinas, de Jacques Lacan et d'Alain Badiou. Il développe ensuite une élaboration singulière qui traverse les très anciens enseignements du judaïsme biblique et talmudique. Il ne s'agit pas pour Jérôme Benarroch d'exposer une pensée historiquement reconnue du judaïsme sur le sujet, mais (...) de proposer une théorie de l'amour formulée dans le langage de la pensée contemporaine, à l'école de ses enjeux et questionnements. La méthode de cette élaboration consiste en un dialogue de la philosophie et de la psychanalyse avec ces divers et parfois paradoxaux enseignements traditionnels. Malgré leur hétérogénéité indiscutable, les pensées de Levinas, de Badiou et de Lacan partagent un même geste, qui apparaît presque comme une constante de la contemporanéité : le rejet de la figure de l'Un. Le livre soutient la thèse qu'en amour, l'Un n'est pas, mais qu'il doit advenir. Que l'unicité de chacun - de chaque sujet amoureux - advient par l'effort d'une construction éperdue de l'Un de l'amour. (shrink)