Allí donde Lacan afirmaba que la carta (mensaje, Ley) siempre llega, Derrida defiende la necesidad de su diseminación por el simple hecho de la iterabilidad del significante. Sus lecturas de Pascal, Baudelaire y Lacan son reflexiones sobre la imposibilidad de cerrar el círculo (fundamento místico) de la autoridad sociosimbólica. Este artículo utiliza esas lecturas para dar cuenta de las limitaciones gnoseológicas, basadas en la filosofía hegeliano-lacaniana desarrollada por Slavoj Žižek, de la hiperstición aceleracionista.

Exploramos la discusión que propone Jacques Derrida acerca de las delimitaciones entre lo humano y lo no humano, para controvertir la excepcionalidad antropocéntrica y la figura del sujeto que le corresponde, esta última definida por la posibilidad de auto posicionarse en contraste con lo no humano y lo animal. Se muestra que en la filosofía derridiana la animalidad y la escritura despliegan figuras de la alteridad radical que problematizan los límites que definen lo humano y las características que se señalan (...) como lo propio y esencial del “hombre”, ya que, al estar regida por lo indecidible, la escritura es una mediación que contamina con su reiteracción y exterioridad. Esto es posible gracias a que la dinámica de la escritura en tanto que traza remite más allá de lo humano y de lo viviente, hacia lo técnico y artefactual. Lo que permite entrar en el debate de los posthumanismos, para confrontar dos posiciones que niegan a la filosofía derridiana lograr una crítica radical al humanismo y a las figuras de la subjetividad que implica. (shrink)

In his book, The Structure of Time, William H. Newton-Smith claims that we cannot decide whether the structure of time is continuous or merely dense. I discuss here the extent to which he is correct. I argue that he fails to provide strong enough arguments to defend his claim, but I then suggest how he might overcome this issue. I also argue that we must reconsider the consequences that he draws from his “undecidability result”.

The objective of this document is to present three introductory notes on set theory: The first note presents an overview of this discipline from its origins to the present, in the second note some considerations are made about the evaluation of reasoning applying the first-order Logic and Löwenheim's theorems, Church Indecidibility, Completeness and Incompleteness of Gödel, it is known that the axiomatic theories of most commonly used sets are written in a specific first-order language, that is, they are developed within (...) the framework of first-order logic, so this note is relevant; and the third note refers to the presence of mathematical platonism in the axioms of ZFC and in the axioms of "complete ordered field", it is known that the last axioms mentioned characterize (except isomorphism) the real number system and are currently used to develop the real Analysis in the context of set theory. It is hoped that this article will be of pedagogical utility for students interested in set theory and in the philosophy of mathematics (that are beginning in the subject). (shrink)

English summary: This ambitious volume examines the Foucaults later writings from the 1980s. Foucaults contemporaries were baffled by his new perspective from this period in which he explored the modalities of a relationship with the self and the truth, seeming to blur the image of a Foucault concerned with describing and denouncing the forms of contemporary power. This study brings to light the theoretical and practical aspects of this period, in order to a reinvention of our own actuality. French description: (...) Les recherches menees par Foucault au cours des annees quatre-vingt demeurent, a beaucoup d'egards, indecidables. Doit-on parler, a leur propos, d'un retour aux questions classiques du sujet, de la morale, de la liberte? D'un abandon de la mise en perspective politique? D'un dandysme esthetisant? Les contemporains furent profondement deconcertes par des analyses qui, en se concentrant sur les modalites du rapport a soi et a la verite dans l'Antiquite ou le christianisme primitif, paraissaient brouiller l'image d'un Foucault attache a decrire et denoncer les formes du pouvoir moderne. Le present ouvrage se propose de relever le defi pose par ce dernier moment, aussi fecond que provocateur, de la pensee foucaldienne, d'en degager les enjeux theoriques et pratiques, et de se donner les moyens, a partir d'eux, de reinventer notre actualite. (shrink)

RésuméCet article se propose de reconstruire une partie du livre IV du traité perdu Sur la démonstration de Galien à partir des témoignages transmis par Abū Bakr al-Rāzī dans les Doutes sur Galien, et d'une source encore jamais exploitée, la Solution aux Doutes sur Galien de Abū al-ʿAlāʾ ibn Zuhr. L'hypothèse à laquelle nous sommes parvenue est que, dans le livre IV, Galien revient sur le caractère indécidable de la question de l’éternité du monde, et critique la démonstration donnée par (...) Aristote dans le traité Du Ciel, I. Seul un des arguments d'Aristote, qui occupe le court passage I, 3, 270b12–17, lui semble pouvoir être sauvé, car il est fondé sur des indications empiriques. C'est sur ce passage que se concentre al-Rāzī. Cette reconstruction permet de réduire les contradictions entre les fragments du livre IV transmis par Philopon dans Contre Proclus sur l’éternité du monde et le compte rendu d'al-Rāzī. Enfin, cet article montre que si al-Rāzī porte autant d'intérêt à ce passage chez Galien, ce n'est pas seulement à des fins polémiques, mais afin de servir ses propres objectifs philosophico-théologiques. Les objections d'al-Rāzī montrent qu'il considère que la téléologie galénique est adossée à un arrière-fond éternaliste qui ne lui permet pas de reconnaître la primauté de la théodicée pour la cosmologie comme pour la biologie. (shrink)

Avanzar hacia un pensamiento de la materialidad que no tenga por finalidad definir un _modo de ser _de la materia, no es tarea fácil. Sin embargo, en el contexto de una lectura estereográfica de Jacques Derrida y Werner Hamacher se pretende _experimentar_ la materialidad como la venida de un elemento imposible, indecidible y anárquico que, al objetar la pregunta por la esencia, se inscribe en el sistema especulativo para trastornarlo y desencadenar _en_, y _desde_ él, un «razonamiento bastardo» capaz de (...) atravesar las envolturas con que la _metafísica _había separado en lo inteligible mismo lo empírico de lo trascendental. (shrink)

Mientras que en las concepciones neoaristotélicas de la virtud y la Bildung el concepto de segunda naturaleza describe la culminación exitosa de la educación humana, Hegel utiliza este término para analizar la naturaleza irremediablemente ambigua, incluso conflictiva, del espíritu. El espíritu solo puede realizarse a sí mismo creando (1) una segunda naturaleza como orden de libertad, perdiéndose a sí mismo, o (2) una segunda naturaleza, es decir, un orden de exterioridad, regido por los automatismos inconscientes del hábito. En la segunda (...) acepción del término, segunda naturaleza refiere a la inversión de sí mismo del espíritu. Por otro lado, la misma inversión de la libre posición en la existencia objetiva es el momento del éxito del espíritu (“absoluto”). El artículo expone esta ambigüedad indecidible de la segunda naturaleza y afirma que su aceptación y desarrollo son las condiciones de una comprensión adecuada de la constitución y las formas de la segunda naturaleza. (shrink)

L’article « Droit naturel » de Diderot est sans doute l’un des articles les plus lus et les plus commentés de l’Encyclopédie. Certains critiques y voient une rupture décisive avec le droit naturel moderne, d’autres considèrent au contraire que Diderot s’efforce d’en donner une lecture personnelle et non métaphysique. La plupart s’accordent à y reconnaître les symptômes d’une « crise », qui n’est pas sans annoncer celle qui caractérisera un peu plus tard la pensée de Rousseau. Qu’il y ait une (...) « crise » du droit naturel dans cet article, personne ne le contestera. Plutôt que de considérer ce texte comme une simple réfutation, on peut se demander si Diderot ne cherche pas à refonder le droit naturel en posant autrement la question de sa « naturalité », à travers une série de propositions indécidables. Notre idée est que l’article de Diderot aménage et discute vigoureusement certains aspects de ce droit sans en récuser sa légitimité. Il introduit notamment la notion de volonté générale, absente des théories jusnaturalistes, pour proposer une nouvelle théorie des droits et des devoirs dont la fonction est d’ouvrir le champ de la morale. L’implicite de ce texte serait en effet le souci de donner les moyens conceptuels permettant de sortir d’un régime de prescription trop contraignant qui fait traditionnellement reposer la morale sur toute une série d’interdits. En confiant notamment à la « volonté générale » la charge de « fixer les limites de tous les devoirs », Diderot défait le carcan dans lequel s’enferme à des degrés divers toute morale déontique. (shrink)

¿Cómo saber qué entidades causan los procesos mentales y qué entidades los constituyen? La relevancia de esta pregunta cobra fuerza a partir de la objeción de Adams y Aizawa a la teoría de la mente extendida. Este artículo reconstruye algunos argumentos a favor la teoría de la mente extendida y del externalismo de la conciencia. Posteriormente, se evalúa la propuesta de Kirchhoff de una noción de constitución como una relación entre niveles. Actualmente la discusión carece de un acuerdo básico sobre (...) los términos de la disputa, lo que hace indecidible el problema y debilita por igual la posición de ambas partes. (shrink)

Sans la mort, arche du rien, exit, avec la philosophie, la question fondamentale de la métaphysique : pourquoi y a-t-il quelque chose et non pas plutôt rien? Depuis son commencement, la philosophie n’a cessé de s’affronter à la mort, n’a cessé d’essayer de la penser, hésitant entre un memento mori et un memento vivere. Mais se demander si la pensée de la mort nous invite à la jouissance ou à l’abnégation et si on peut apprendre à mourir sont peut-être questions (...) oiseuses et indécidables. Pour sortir de cette indétermination, il faut sortir du cercle de la morale, distinguer d’abord le pur fait contingent de la mort, du mourir lui-même comme structure de l’existence humaine et reconnaître à la fois que, si nous ne cessons de lutter contre la mort et si, le plus souvent, nous lui tournons le dos, nous sommes, à elle, adossés et que, sans elle, nous ne ferions rien. (shrink)

Jacques Derrida afirma que el perdón está envuelto en una aporía según la cual solo se puede perdonar lo que es imperdonable. Perdonar lo perdonable sería tan solo un modo de excusar o de saldar una deuda. Si entonces únicamente hay perdón de lo imperdonable, el perdón debe hacer lo imposible y atravesar su propia imposibilidad. Esta manera de aproximarse al perdón cuestiona la lógica de las condiciones que determinan cuándo algo es perdonable, pero también toda certeza en cuanto a (...) su tener lugar, a la posibilidad de su teorización, objetivación o presentación. En este artículo expondré algunos de los aspectos en los que Derrida se separa tanto de Hannah Arendt como de Vladimir Jankélévitch en torno al límite entre el perdón y lo imperdonable. A partir de esto abordaré el «si lo hay» que acompaña al perdón derridiano, no tanto como una duda sobre su existencia, sino como la marca de un «indecidible», una instancia secreta, irreductible e inapropiable a toda forma de determinación. Se llega así a plantear que Derrida no aspira a elaborar una teoría sobre el perdón y sus posibilidades, sino que más bien lo inscribe en una reflexión sobre la justicia, heterogénea al derecho o a la ley, pero no obstante indisociable de sus formas. Este desajuste abre un amplio campo de interrogación sobre lo que pueda implicar tornar posible la imposibilidad del perdón. (shrink)

Each thinker, according to Heidegger, essentially thinks one thought. Plato thinks the idea. Descartes thinks the cogito . Spinoza thinks substance. Nietzsche thinks the will to power. If a thinker does not think a thought, then he or she is not a thinker. He or she may be a scholar or a professor, a producer or a consumer, a fan or a fake, but he or she would not be a thinker. Thus, if Heidegger is a thinker, he essentially thinks (...) one thought. What is Heidegger’s one thought? It is neither life nor death, neither me nor you. It is neither technology nor art. It is neither spirit nor language. Heidegger’s one thought is being—or more precisely, the question of the meaning of being. And what is being? Neither presence nor absence--but rather, an ambiguous uncertainty. (shrink)

RésuméSelon K. Gödel, les restrictions méthodologiques des constructivistes sont aberrantes, et le point de vue réaliste est beaucoup plus fécond: il est hi‐même parvenu à ses résultats logiques fondarnentaux en donnant une place à la notion de vérite, qui n'est pas de type combinatoire. Le premier théorème d'incomplétude est hi‐même un argument décisif en faveur du réalisme, si l'on accepte le principe d'«accessibilité» en vertu duquel nous pouvons décider de toutes les propriétés de nos constructions intellectuelles. Par ailleurs, il existe (...) un large spectre d'arguments permettant de statuer sur un énoncé indécidable dans un système formel. La thèse mécaniste, selon laquelle l'intelligence humaine peut être pensée sans distorsion significative sur le modèle d'une machine de Turing, est donc inacceptable.SummaryAccording to K. Gödel, the methodological restrictions of the constructivists are aberrant, and the realist point of view is much more fruitful. He reached these fundamental logical results himself by making place for a non‐cornbinatorial notion of truth. The first incompletness theorem is itself a decisive argument in favor of realism, provided that the principle of «accessibility» is accepted, by virtue of which we are capable of determining all the properties of our intellectual constructions. Moreover, there are numerous arguments that permit the evaluation of an undecidable statement in a formal system. The mechanistic thesis, according to which the functioning of the human mind, without significant distorsion, can be compared to a Turing machine, is now unacceptable.ZusammenfassungNach Gödel sind die methodologischen Einschränkungen der Konstruktivisten irrig, und er hält den realistischen Standpuukt für viel fruchtbarer. Er selbst erreichte seine grundlegenden logischen Ergebnisse dadurch, dass er Platz machte für einen nichtkombinatorischen Begriff der Wahrheit. Das erste Unvollständigkeitstheorem ist selbst ein entscheidendes Argument zugunsten des Realismus, sofern das «Zugänglichkeitsprinzip» akzeptiert wird, wonach wir fähig sind, alle Eigenschaften unserer intellektuellen Konstruktionen zu bestinmen. Zudem gibt es zahlreiche Argumente, die die Beurteilung einer unentscheidbaren Aussage in einem formalen System erlauben. Die mechanistische These, nach welcher das Funktionieren des menschlichen Geistes ohne wesentliche Verzerrung mit einer Turingmaschine verglichen werden kann, ist heute nicht mehr annehmbar. (shrink)

Résumé Le Messie n’est pas le produit de l’évolution historique, mais surgissement de l’inattendu du Règne de Dieu. Ce que vient interrompre le Messie, c’est la faute. L’histoire entendue comme lieu de la culpabilité conduit à lier souffrance et expiation de la faute. Le lien entre souffrance et expiation est ici rejeté car il ne fait pas droit à la complexité du réel et méconnaît la présence discrète de Dieu qui, par son Esprit, assiste ceux qui œuvrent à la justice. (...) Le jugement entendu comme justice faite aux victimes conclut l’histoire perçue comme procès entre oppresseurs et opprimés; en rejetant le méchant, le jugement n’échappe pas à l’ambiguïté d’une semi-victoire de Dieu. Le projet de Dieu peut-il échouer? Jésus est à la fois le juge et l’avocat pour faire justice aux victimes et entendre la plaidoirie des malfaiteurs. En vertu de cette double fonction christique, la fin de l’histoire apparaît comme indécidable. (shrink)

¿No hay más opciones de libertad que las determinadas ya no solo por las condiciones reales en las que cada uno de nosotros vive, sino por el esquema de funciones que nos obligan en ocasiones a hacer/sentir y en otras tan solo nos dejan hacer/sentir de acuerdo con cierto número de posibilidades de acción y pasión? Con esa pregunta en frente probamos el modelo de la hegemonía y los antagonismos (Laclau y Mouffe) pensando, más que en una respuesta al planteamiento (...) de las determinaciones, en “problematizar” las alternativas teóricas cuyo tratamiento de la libertad y del papel de las personas y los grupos no provenga de consideraciones trascendentales acerca del sujeto y sus derechos connaturales. Proponemos una aproximación problemática a la cuestión de saber si podemos o no darnos una organización política que conjure los efectos de los aparatos de represión de Estado, que haga caso omiso a la oscura concepción de la ideología como falsa interpretación o ilusión deformante de la realidad y que no base sus consideraciones en la concepción del sujeto en los ya muy manoseados postulados de la libertad, la racionalidad, la adscripción legítima a la autoridad, el diálogo, el consenso. La hipótesis es que en la medida en que cualquier acuerdo supone la estabilización parcial de las diferencias sin la disolución de los antagonismos, se abre la posibilidad de la articulación compleja e incompleta de los agentes en pugna. El consenso se plantea, en consecuencia, sin exclusión. El consenso, si se permite decirlo nuevamente, es el indecidible asunto de mantener abierto el vínculo político a la interpelación de los agentes según sus exigencias, urgencias, perspectivas, intereses, etc. Al final sostenemos que cualquier proyecto político que tenga aspiraciones de cambio tiene posibilidad en la violencia de la imaginación. (shrink)

RESUMEN Se aborda la llamada Kantkrise de Heinrich von Kleist, entendida como el colapso epistemológico de toda posibilidad de acceso a la cosa en sí debido a su carácter radicalmente indecidible. Sin embargo, tal imposibilidad sigue conservando una vigencia negativa, como una brecha que adquiere para Kleist el carácter del suceso y, por consiguiente, de la soberanía de la contingencia. Esta se convierte en el principio fundamental de la producción literaria de Kleist, reconocible en el lema "el frágil ordenamiento del (...) mundo", en la frágil constitución del sujeto y la inminencia constante de su destitución. ABSTRACT The article addresses Heinrich von Kleist's so-called Kantkrise, understood as the epistemological collapse of any possibility of access to the thing-in-itself, given its radically undecidable nature. However, that impossibility maintains a negative validity as a gap that takes on the character of an event and, therefore, of the sovereignty of contingency in Kleist. This becomes the fundamental principle of Kleist's literary production, as expressed in his motto "the fragile order of the world", that is, the fragile constitution of the subject and the constant imminence of its destitution. (shrink)

Se aborda la llamada Kantkrise de Heinrich von Kleist, entendida como el colapso epistemológico de toda posibilidad de acceso a la cosa en sí debido a su carácter radicalmente indecidible. Sin embargo, tal imposibilidad sigue conservando una vigencia negativa, como una brecha que adquiere para Kleist el carácter del suceso y, por consiguiente, de la soberanía de la contingencia. Esta se convierte en el principio fundamental de la producción literaria (dramatúrgica, narrativa y ensayística) de Kleist, reconocible en el lema “el (...) frágil ordenamiento del mundo”, en la frágil constitución del sujeto y la inminencia constante de su destitución. (shrink)

SummaryThis essay explores analogies between classical notions of pyrrhonist skepticism and reflexive phenomena of twentieth‐century metamathematics. In a theoretical framework T, for example, one may interpret1T's appearances () as its axioms;2evident and inevident assertions () in the language L of T as sentences 0 which are decidable and undecidable in T; and3skeptical self ‐doubt about T in L as T's Godel‐sentence γ .These analogies complement another one, between pyrrhonist ‘modes’() of indefinite semantic regress (), and recurrent appeals to ‘new’ metatheories (...) T', T., to consider ‘new’, identify alternate interpretations, and adjudicate claims of consistency.These analogies are also reflexive in a wider sense. ‐ are stated for theories T, T', T., in some unspecified metatheory t̄–to which they also apply. This wider reflexivity suggests that ‘problems' of skeptical self‐doubt are not vicious or otiose, but significant aspects of the phenomena of indefinite semantic regress.RésuméCet essai explore quelques analogies entre les notions classiques du scepticisme pyrrhonien et les phénomenes réflexifs de la métamathématique du vingtième siècle. Dans un cadre théorique T du premier ordre, par exemple, on peut interpréter les apparences de T (), comme des axiomes; les assertions évidentes et non évidentes (), dans la langue L de T, comme les énoncés ø decidables et indecidables dans L; et le doute sceptique de ‘soi au sujet de T dans L, come ľénoncé ‐γ de Gödel de T .Ces analogies en complèment une autre, entre les ‘modes' pyrrhoniens() dela régression sémantique indéfinie(), et les appels récurrents à de ‘nouvelles' métathéories T', T., pour considérer de ‘nou‐veaux’, identifier des interpretations alternatives et juger des questions de consistance.Ces analogies sont aussi réflexives dans un sense plus large. ‐ se constatent pour les théories T, T T., dans une métathéorie indéterminée T –aG laquelle ilss'appliquent à nouveau. Cette réflexivité plus étendue suggère que les problèmes de doute sceptique de soi‘ ne sont pas vicieux ou vides, mais représentent au contraire des aspects signifiants des phénomènes de régression sémantique indéfinie.ZusammenfassungIn der vorliegenden Arbeit werden einige Analogien zwischen klassischen Begriffen des pyrrhonischen Skeptizismus und reflexiven Phänomenen der Metamathematik des zwanzigsten Jahrhunderts untersucht. In einem theoretischen Rahmenwerk T kann man die folgenden Interpretationen geben:1die Erscheinungen () von T als dessen Axiome;2evidente und nicht‐evidente Aussagen () in der Sprache L von T als Sätze ø, die entscheidbar, bzw. unentscheidbar sind; und3den skeptischen Selbst zweifel über T in L als den Güdel‐Satz γ für T .Diese Analogien sind complementär zu einer anderen, nämlich derjenigen zwischen den Pyrrhonischen Modi () des semantischen regresssus in indefinitum (), und dem wiederholten Rekurs auf ‘neue’ Metatheorien T', T, …, in denen man ‘neue’ berücksichtigt, alternative Deutungen erwägt und Fragen der Widerspruchsfreiheit beurteilt.Diese Analogien sind auch reflexiv in einem weiteren Sinne. ‐ werden für T, T, T, …, in einer Metatheorie T – bestimmt, für die sie auch gelten. Diese weitere Reflexivität legt nahe, dass ‘Probleme’ des skeptischen ‘Selbsf zweifels weder zu circuit vitiosi führen noch Scheinprobleme sind, sondern beachtenswerte Aspekte der Phänomene des indefiniten semantischen Regresses darstellen. (shrink)

Si l’on ramène la dialectique à son point de départ socratique, c’est-à-dire à une méthode purement interrogative, on est amené parallèlement à concevoir l’aporie en un sens radical : loin d’être due à des facteurs subjectifs tels que l’ignorance de la réponse, l’aporie, à proprement parler est une question objectivement indécidable, ce qui revient à dire, paradoxalement, qu’on ne peut la trancher que par une décision. On montre que la question du sens de l’être, au fondement de la métaphysique depuis (...) Aristote, offre ce caractère de la manière peut-être la plus exemplaire. (shrink)

Le discours philosophique s’articule sur une syncope ou par une syncope. Il est « tenu » par un indécidable moment de syncope. Ce moment, ce mode de production, ce régime d’inscription sont ceux de Kant ; ce qui veut dire : sont ceux de « Kant » aujourd’hui encore. La fonction kantienne dans la philosophie est celle qui en exhibe la syncope, malgré tout, malgré toute la volonté du discours. Il n’y a aucun intérêt à faire de la philosophie, si (...) ce n’est pas pour tenter d’accompagner à sa limite cet épuisement du discours. Car c’est sur cette limite seulement qu’on peut risquer la chance de la philosophie : qui n’est pas celle d’un « intérêt », mais d’une injonction, d’une prescription, de cet étrange tu dois discourir dont se nourrit et s’épuise l’histoire entière d’une civilisation. Ce tu dois prend chez Kant la forme de la nécessité, pourtant irrésolue, du schématisme, qui fait la condition de la production du sens. (shrink)

Se ha tratado de desprestigiar al postmodernismo y no se ha valorado su gran contribución a la cultura universal. El postmodernismo empieza a desarrollarse cuando el ser humano se da cuenta que no tan solo sus órganos de los sentidos pueden engañarlo, sino que también su intelecto, razón y sus facultades superiores más preciadas. Las caídas del positivismo y del racionalismo le abrieron la puerta, apoyado por la insuficiencia de la ciencia y la filosofía para entender el universo. La nomología (...) (legalidad) ha tenido que resignarse frente a la ideografía (procesos irrepetibles e irreversibles) para entender el desarrollo universal. La antinomia del mentiroso, el teorema de Gödel, los procesos caóticos, la impredecibilidad, la incertidumbre, son parte de sus elementos sustantivos. El postmodernismo ha condenado a los ideologismos nomológicos o raciales que terminaron en las masacres de la Revolución Francesa, el Nazismo y las dos Guerras Mundiales, entre otros. (shrink)

In lieu of an abstract, here is a brief excerpt of the content:Reviewed by:Textualities: Between Hermeneutics and DeconstructionJames HatleyTextualities: Between Hermeneutics and Deconstruction, by Hugh J. Silverman; 269 pp. New York: Routledge, 1994, $16.95 paper.Especially indebted to the thought of Maurice Merleau-Ponty and Jacques Derrida, Silverman’s Textualities elaborates a practice of reading drawing on hermeneutics, semiology, and deconstruction. In “juxtaposing” hermeneutic and deconstructive approaches to reading, Silverman shows how these two modes of thought both interrogate and supplement one another. Silverman’s (...) approach to this daunting task revolves around his notion of “textuality.”Textuality is not easy to define. Silverman himself speaks of it as being a “meaning-structure” opened up in a text but not necessarily contiguous with it. “The text,” Silverman argues, “is what is read, but its textuality or textualities is how it is read” (p. 81). For example, insofar as one reads any text as an autobiography, one has become engaged in autobiographical textuality. The fact that one might read an autobiographical text, such as Nietzsche’s Ecce Homo, as a philosophical text as well suggests that a given text might be implicated in any number of textualities. For this reason, one cannot simply assign the text to a single genre as if this assignment defined the limits of the text’s meaning.Textualities emerge as the text a reader confronts elicits in the reader a certain competency to read. This competency, Silverman argues, originates neither in the self of the reader, nor in the reader’s world, nor in the codes or metalanguages constituting the semiological axes of the text. In this assertion, Silverman exceeds the hermeneutical practice of Ricoeur and Gadamer, both [End Page 262] of whom were anxious in some manner to ground the meaning of a text in its writer or “first” reader. According to Silverman, the competency to read a text only emerges insofar as the reader “gives expression to the text, which itself asserts the interpretation” (p. 79). The reader, inextricably caught up in a “middle voice,” both reads and is read by the text. Only in this “between” where neither hermeneutics nor semiology takes precedence, where neither world nor code makes a claim for the origin of the text’s meaning, can a competency to read occur.While Silverman’s language runs very abstract in the earlier, more theoretical section of his book, later sections fill out the notion of textuality by engaging in readings of a series of texts grouped around three selected textualities: autobiographical, visible/scriptive, and institutional. The texts chosen range from Thoreau’s Walden to Cezanne’s paintings, from Lévi-Strauss’s Tristes Tropiques to Blanchot’s essay, “Le ‘discours philosophique.’” In his treatment of each text, Silverman shows how a specific textuality is configured in terms of a series of “indecidables.” For instance, in Thoreau’s Walden, both fiction and nonfiction are at play in the text’s autobiographical textuality. Lying between fiction and nonfiction, Walden can be read juxtaposed against a series of other texts, such as Rousseau’s Confessions, or Montaigne’s Essays, in which the same “indecidability” is at play, although with a difference.Besides giving an account of textuality, Silverman’s book also functions as “a presentation and evaluation of continental philosophy from Heidegger and Merleau-Ponty to Foucault and Derrida” (p. 1). The first section engages in an interrogation of the phenomenological tradition, particularly insofar as it involves a theory of reading or interpreting texts. Silverman argues that descriptive phenomenology, the sort that has been appropriated by literary theorists such as Hirsch and Ingarden, cannot fully respond to the “richness, multiplicity, and even ambiguity of the literary object” (p. 14). Silverman is only interested in phenomenology insofar as it becomes an interpretive rather than descriptive practice. Thus, he emphasizes the thought of Heidegger and Merleau-Ponty at the expense of Husserl.Textualities is a complex and ambitious work. While it too easily dismisses Husserlian phenomenology and at times seems too schematic, it offers a comprehensive and original reading of continental philosophy and its praxes of reading.James HatleySalisbury State UniversityCopyright © 1996 The Johns Hopkins University Press... (shrink)

Mauro Carbone’s The Flesh of Imagesexplores the status of images as the precession of the invisible and the visible in Merleau-Ponty’s notion of “sensible ideas” ideas, but is at the same time a concise, original, and illuminating exploration of Merleau-Ponty’s sense of the flesh and his later philosophy, as well as speculating on an important historical shift in the sense of Being. Carbone articulates the flesh as the traversal, by Visibility, of the seer as Being, where the invisible is shown (...) forth indirectly by the visible and is ultimately the activity of visible Being that manifests a sort of desire to see itself through enveloping the visible beings that are seers. Carbone utilizes the notion of “voyance” as a seeing further into what had not been present before as the opening of a latency that is carried forth as the invisible’s pregnancy within the visible that ultimately brings into undecidability the primacy of perception and that of imagination,as well as being a retrograde movement within time that allows access to a mythical time and renders a differing, an immemorial time that has never been—the time in which Proust’s and Merleau-Ponty’s “sensible ideas” live. Carbone details Merleau-Ponty’s“ontological rehabilitation of the surface” in which the surface like the film screen is no longer a veil as constituting an obstacle, but rather is the surface of manifestation of Being, expressing the modern mutation in the relation to Being.Dans The Flesh of Images, Mauro Carbone explore le statut des images en tant que précession du visible et de l’invisible à partir de la notion d’« idées sensibles », mais il offre en même temps une étude à la fois synthétique, originale et éclairante du sens de la chair et de la pensée du dernier Merleau-Ponty, ainsi qu’une réflexion théorique sur un tournant historique fondamental dans le sens de l’Être. Carbone articule une pensée de la chair comme ce qui est transversal – par la Visibilité – au voyant en tant qu’Être, où l’invisible se donne à voir de manière indirecte à même le visible et est ultimement l’activité de l’Être visible qui vient manifester une sorte de désir de se voir par le fait même d’envelopper les êtres visibles qui sont voyants. Carbone se sert ainsi de la notion de « voyance » en tant que voir plus ou plus loin ce qui ne s’est pas encore présentifié comme l’ouverture d’une latence qui est portée en tant que prégnance invisible au sein du visible, ce qui fait que le primat entre perception et imaginaire devient indécidable, se construisant comme un mouvement temporel rétrograde, qui donne accès à un temps mythique et réalise un temps différé et immémorial qui n’a jamais été présent – le temps des idées sensibles de Proust et de Merleau-Ponty. Carbone expose la « réhabilitation ontologique de la surface » opérée par Merleau-Ponty en ce que la surface de l’écran cinématographique ne fonctionne plus comme un voile, c’est-à-dire ne constitue plus un obstacle, mais est plutôt la surface sur laquelle l’Être se manifeste, en exprimant la mutation contemporaine de notre relation à l’Être. The Flesh of Images di Mauro Carbone esplora lo statuto delle immagini come precessione di visibile e invisibile, secondo la nozione merleau-pontiana di “idee sensibili”, ma allo stesso tempo costituisce un’indagine concisa, originale e illuminante del concetto di carne e del pensiero dell’ultimo Merleau-Ponty. Il volume riflette inoltre su un importante slittamento storico nella concezione dell’Essere. Carbone articola il concetto di carne come ciò che è trasversale, attraverso la Visibilità, al vedente in quanto Essere, in cui l’invisibile appare indirettamente attraverso il visibile e in cui, in ultima analisi, è l’attività dell’Essere visibile che manifesta una sorta di desiderio di vedere se stesso rivestendo quegli esseri visibili che sono i vedenti. Carbone impiega la nozione di “voyance” per indicare un vedere oltre che coglie ciò che non si è ancora reso presente. Si tratta dell’apertura di una latenza che emerge come pregnanza dell’invisibile all’interno del visibile. Tale dinamica conduce a un’indecidibilità del primato della percezione e dell’immaginazione, costituendo al contempo un movimento temporale retrogrado che permette di accedere a un tempo mitico e che realizza un tempo differito e immemoriale che non è mai stato presente – il tempo delle “idee sensibili” di Proust e di Merleau-Ponty. Carbone espone la “riabilitazione ontologica della superficie” condotta da Merleau-Ponty, secondo cui la superficie dello schermo cinematografico non è più un velo che ostacola, ma piuttosto una superficie su cui l’Essere si manifesta, che esprime la trasformazione contemporanea della nostra relazione all’Essere. (shrink)