XXX. An epitaph from Aphrodisias and the calendar of the province of Asia in Ihe Byzantine Empire. The document dates very precisely four events ranging from 521 to 551. The months are indicated by numbers, a peculiarity which erroneous attempts have been made to relate to the Julian Calendar. The calendar of the province of Asia is the only one that allows a concordance to be made here between the day of the month and the day of the week. Late (...) inscriptions from other cities in Asia Minor show that this provincial calendar remained in use until the end of Antiquity. XXXI. An epitaph from Adrianople under Justin II. The deceased Komentiolos, who belonged to the Great Church in Constantinople, was at the same time a tent-maker, παπυλιωνάριος (name of a new profession). The names of Justin II and Caesar Tiberius have already been identifîed in the date of death ; to them that of the empress Sophia has been erroneously added. The usual chronological formula in fact requires a post-consular date, followed by the number 9, corresponding to the years 575-577. XXXII. "How far? As far as here." Several pagan epitaphs comment ironically on the human career, answering the question "How far?" with "As far as here." Christians did not find this manifestation of popular wisdom displeasing, and it is equally well attested in Christian inscriptions in Northern Syria. (shrink)

XX. Quelques dédicaces de statues décernées par les empereurs. A partir du mot γέρας (statue honorifique) et de l'autorisation impériale, obligatoire depuis le IVe s. pour honorer de hauts fonctionnaires, plusieurs inscriptions mal comprises sont élucidées : SEG 8, 296 (Palestine) ; IG IV2, 692 (Épidaure) ; CIG III, 4158 (Sinope) ; Mél. Saint-Joseph, 1 (1906), p. 170, n° 36 (Beyrouth) ; BCH 21 (1897), p. 51, n° 45 (Haurân). XXI. La patrie du médecin Dioskouros, mort à Milan. Sur la (...) ville égyptienne de Gerra, appelée Géras au Bas-Empire. XXII. Deux inscriptions d'Asie Mineure et les consuls de 448 et 452. Sur une épitaphe d'isaurie (datée à tort de 479) et une dédicace des environs deChalcédoine. XXIII. Une inscription de Salamine de Chypre et les citations du psaume 90. A propos d'une citation biblique méconnue, on publie également deux amulettes inédites de la collection Froehner. (shrink)

XXIV. — Trois inscriptions de Justinien Ier à Trébizonde. 1. Restauration d'édifices publics sous l'évêque Ouranios (546/547 p.C). 2. Donation de Justinien (543/544 p.C). Réédition et commentaire des dédicaces CIG 8636 (d'après l'examen critique des copies anciennes) et 8637 (avec une photographie). 3. Dédicace inédite de 550/551 p.C. retrouvée dans les archives G. Millet. XXV. — Trois plaques d'exemption des bêtes de l'Arsenal impérial (vie siècle). Ces plaques de bronze (dont deux proviennent d'Afrique et d'Asie Mineure) interdisent de réquisitionner les (...) animaux appartenant à VArmamenlon. Cette exemption résulte d'un privilège impérial qui, d'après les bustes diadèmes gravés sur les plaques, date probablement du règne de Justin (565-578). XXVI. — Une inscription syrienne méconnue de Justinien (521J527?). Nouvelle lecture de IGLS III 1232, où l'on reconnaît les dignités du futur empereur antérieures à son avènement. (shrink)

Ces quatre chapitres font suite aux quinze Notes parues en cinq séries, dans le BCH, depuis 1976. Les 3 premiers sont consacrés à des inscriptions grecques d'Occident (de Salone, de Syracuse et de Ravenne) dont l'interprétation n'est possible qu'au prix d'enquêtes lointaines dans le monde grec oriental. L'onomastique permet de fixer l'origine exacte de deux personnages, l'un natif de Damas, l'autre Libyen, et la toponymie celle d'un homme enterré à Ravenne. La restitution d'une dédicace également ravennate est l'occasion d'étudier un (...) terme du vocabulaire de la parenté. Le chapitre XIX complète, par des exemples de Sparte et Hermionè, nos études sur le formulaire des adjurations et des malédictions funéraires. (shrink)

XXVII. Από το Δορύλαιο στη Χαλκ(8α : ένας ταξιδιώτης από τη Φρυγία, μια περιφερόμενη επιτύμβια επιγραφή. Αν και βρέθηκε στη Χαλκίδα, η επιτύμβια επιγραφή του Πέτρου, χωρικού από την περιοχή του Δορυλαίου, δεν ανήκει στις ευβοϊκές επιγραφές. Η παλαιογραφία, οι τυπικές εκφράσεις του κειμένου, το σταυροειδές σχήμα της στήλης, αποδεικνύουν ότι προέρχεται από την Κωνσταντινούπολη ή τη γύρω περιοχή. XXVIII. Πλάκα ι8ιοχτησίας της μονής Παναγίας του Γελεού. Μια χάλκινη πλάκα, η οποία ήταν πιθανόν τοποθετημένη στην είσοδο ενός σταύλου, αναφέρει τα (...) ζώα μιας μονής της Παναγίας. Αυτό το ίδρυμα, που φέρει επίσης το όνομα του Σισσινίου του Εγκλείστου, θα πρέπει να τοποθετηθεί στη βόρεια Μικρά Ασία σύμφωνα με το όνομα του χωριού Γελεός. XXIX. Ένα φευ8οτοπωνύμιο και οι συριακοί τύποι της ελληνικής λέξης stoaea. Στη θέση tou υποτιθέμενου τοπωνυμίου Διόσταυοι, αναγνωρίζεται η μνεία δύο στοών (πλάγια κλίτη μιας βασιλικής). Η γραφή stauaea, χαρακτηριστική της Συρίας, μαρτυρεί σημιτική επίδραση. (shrink)

D. Feissel-M. Sève, Inscriptions de Macédoine. P. 449-466 A partir de la collection d'estampages de l'École française et d'autres documents conservés dans ses archives, publication de 25 inscriptions inédites ou insuffisamment connues. Ces textes, des épitaphes pour la plupart, proviennent de Verria (n08 1 à 3), Edessa (n° 4), Sindos (n° 5), Thessalonique (n08 6 à 19, les n°e 15 à 19 étant inédits), Langada (n° 20), la Chalcidique (n°e 21 à 25).