Gli A. esaminano le risposte che l'anonimo magister artium fornisce alle domande iniziali poste da Porfirio nell'Isagoge, relativamente, in special modo, alla questione degli universali. Ne risulta uno studio dottrinale che fa luce sui punti seguenti: l'anonimo pone un universale in rebus, sottoscrivendo la coeva posizione realista; l'universale reale non è affatto confinato in uno spazio-tempo determinato; all'interno del Compendium è posto in luce il concetto di virtus, a cui si lega una peculiarità nel pensare l'universale in re, cioè da (...) una parte viene pensato come ontologicamente immanente, dall'altra come separato per il rapporto con le molteplici realtà corporee; la dottrina dell'universale sembra portare un'impronta avicenniana , in quanto per il magister l'universale può essere considerato per naturam o per essentiam; altra distinzione cruciale è quella instaurata fra esse essentiae e esse actuale o esse existentiae. Sulla base del ms. Barcelona, ACA, Ripoll 109 gli A. presentano l'edizione dei punti relativi agli universali , accompagnati da note esplicative sui luoghi isagogici e sulle fonti del testo. Gli A. forniscono i dettagli relativi alla loro edizione alle pp. 293-6. (shrink)
RÉSUMÉ Cet article offre la première édition du début des Communia logic e, une substantielle compilation didascalique issue de la Faculté des arts de l’Université de Paris au milieu du xiiie siècle et contenue dans un manuscrit légué par maître Pierre de Limoges à l’ancienne bibliothèque de la Sorbonne. Après une présentation générale et avant des précisions sur la Ratio edendi, l’étude doctrinale qui précède cette édition montre comment l’auteur-compilateur des Communia logic e répond — en le reformulant — au (...) célèbre questionnaire porphyrien relatif aux universaux. ABSTRACT This article offers the first edition of the beginning of the Communia logic e, a substantial didascalical compilation emanating from the Arts faculty of the University of Paris during the first half of the thirteenth century and preserved in a manuscript bequeathed by master Peter of Limoges to the old library of the Sorbonne. After a general presentation and before some clarifications on the Ratio edendi, the doctrinal study which precedes this edition shows how the author-compiler of the Communia logic e answers — while reformulating it — to the well known porphyrian set of questions about the universals. (shrink)
Claude Piché | : Il est symptomatique que Fichte ait destiné la première version écrite de sa Doctrine de la science « à ses auditeurs », c’est-à-dire aux étudiants de l’Université d’Iéna où il venait d’entrer en fonction. En effet, Fichte a toujours cru que la lettre de l’exposé proprement scientifique de sa philosophie devait être accompagnée d’une explicitation orale, privilégiant ainsi un contact direct avec l’auditoire en vue d’éviter les malentendus. Tout au long de sa carrière, il s’est (...) en vérité résolument méfié de l’« écrit » et c’est la radicalité de cette attitude qui explique en partie le différend qui s’est fait jour entre lui et Schiller à propos de l’article sur l’« esprit et la lettre en philosophie ». Ces deux termes prennent sous la plume de Fichte une signification inattendue qui témoigne de manière privilégiée de la façon dont il envisage la philosophie transcendantale et son mode de transmission. | : It is striking to notice that Fichte intended the first written version of his Doctrine of Science “for his listeners,” namely for the students of the University of Jena where he had just taken up his post. Fichte in fact always believed that the ‘letter’ of the scientific exposition of his philosophy should be accompanied by an oral explanation, so as to establish a direct contact with his audience in order to avoid misunderstandings. Throughout his career, he was suspicious of the “written” word ; this radical attitude explains at least in part the disagreement that took place between him and Schiller concerning the article “on the spirit and the letter in philosophy.” Under Fichte’s pen, these two terms take on an unexpected meaning that illustrates, in a priviledged way, how he envisages transcendental philosophy and its mode of transmission. (shrink)
Claude Piché | : Lorsqu’on dit de la morale kantienne qu’elle est « rigoriste », on entend habituellement par cette épithète une morale sévère et austère, voire puritaine. Dans ces conditions, on ne s’étonne nullement de trouver au fondement de celle-ci la thèse du mal radical, attribué au genre humain en entier. J’aimerais toutefois montrer que Kant a une conception bien spécifique du rigorisme, dont il accepte volontiers de se réclamer et qui, loin de toute connotation puritaine, ne concerne (...) au fond que la précision conceptuelle du discours philosophique. Or c’est grâce à cette rigueur intellectuelle que l’on peut comprendre ce que Kant entend par mal radical. Nous allons voir qu’il s’agit en vérité d’un mal qui n’a rien du caractère diabolique auquel l’adjectif « radical » nous porte spontanément à le rattacher. | : Kant’s conception of morality is often characterized as “rigorist,” a term which is usually associated with the adjectives “severe” and “austere,” even “puritan.” So it comes as no surprise to find, at the basis of this austere theory of morality, the thesis of radical evil, attributed to humankind as a whole. I would like to show, however, that Kant has a very specific conception of “rigorism.” In fact, the term has nothing to do with puritanism ; rather, it refers to the conceptual precision of philosophical discourse. Accordingly, Kant does not hesitate to accept it as a requirement for his own moral theory. Indeed, it is thanks to this intellectual rigour that Kant arrives at his conception of radical evil. It will be shown that this evil does not have the diabolical connotation that the adjective “radical” would suggest at first glance. (shrink)
Fichte caractérise la seconde partie de sa Doctrine de la science de 1804 à l’aide du terme «phénoménologie», auquel il assigne une double signification: théorie de l’apparence et théorie du phénomène. Si le premier volet de sa définition rappelle la conception de Lambert, inventeur de la phénoménologie comme discipline philosophique, le second volet correspond à l’idée que se fait Kant de la phénoménologie, notamment dans les Premiers principes métaphysiques de la science de la nature. La question qui se pose est (...) alors la suivante: est-il possible d’intégrer dans une même discipline l’apparence et le phénomène? Si Fichte parvient à réunir ces deux volets dans sa phénoménologie, c’est peut-être parce qu’en cela il suit le chemin frayé par Reinhold dans ses Beyträge de 1802-1803. (shrink)
On est porté à sous-estimer le rôle authentiquement productif de la raison dans la Dialectique transcendantale de la Critique de la raison pure. Cet article propose une illustration de ce rôle à l'occasion des Paralogismes de la raison pure, qui ne sont rendus possibles que sur la base d'une fiction négative opérée à partir du sens interne. Cette illustration s'inscrit dans la perspective plus large d'une interprétation de la Dialectique transcendantale en vertu d'une théorie du schématisme, laissée au second plan (...) par Kant en raison de la prépondérance des motivations critiques.We tend to underestimate the authentically productive role of reason in the Transcendental Dialectic of the Critique of Pure Reason. This paper suggests an illustration of this role as it can be traced in the Paralogisms of Pure Reason, which themselves became possible on the basis of a negative fiction exerted toward the inner sense. This illustration is part of a larger perspective aiming at an interpretation of the Transcendental Dialectic on the ground of a theory of schematism, which is somehow overshadowed by Kant's critical intentions. (shrink)
»Als dies geschrieben wurde, war das Verständnis für Fichtes Bedeutung noch geringer als heute. Ganz allmählich bricht sich die Einsicht Bahn, wieviel von diesem großen Denker gerade für die Transzendentalphilosophie zu lernen ist., S. 95.«.
InhaltVorwort SiglenverzeichnisJakub KLOC-KONKOLOWICZ: »Jeder wird Gott« – Zur Erfüllung des Gesetzes und zumStatus des handelnden Ich Claus DIERKSMEIER: Über die Wirtschaftstheorie in Fichtes Rechtslehre von 1812 Bernhard JAKL: Recht und Zwang in Fichtes Rechtslehre von 1812 Bärbel FRISCHMANN: Fichte über den Rechtsstaat als Sozialstaat Christian STADLER: Dimensionen und Wandlungen des Fichteschen Rechtsbegriffes im Vergleich Jena – Berlin C. Jeffery KINLAW: Law, Morality and Bildung in the 1812 Rechtslehre Claude PICHÉ: L’instauration d’un ordre juridique juste d’après Fichte Gaetano RAMETTA: Das (...) Problem der Souveränität in Fichtes Staatslehre Carla De PASCALE: Fichte und die Verfassung des Vernunftreichs Roberta PICARDI: »Sittliche Natur« und Geschichte beim frühen und späten Fichte Takao SUGITA: Das Nationale in Fichtes Spätwerk Makoto TAKADA: Zur Umwandlung der Staatslehre des späten Fichte Nele SCHNEIDEREIT: Der Diskurs der Moderne in J. G. Fichtes Staatslehre Virginia LÓPEZ-DOMÍNGUEZ: Die Staatslehre von 1813 oder der Kampf der Aufklärung gegen den politischen Irrationalismus der Romantiker zur Verteidigung einer christlich-revolutionären SozialutopieGiovanni COGLIANDRO: »Der Begriff sey Grund der Welt« – Die Sittenlehre 1812 und die letzten Darstellungen der Wissenschaftslehre Max MARCUZZI: La ligne moraleBjörn PECINA: Die affektive Vermittlung. Deutungs- und affekttheoretische Dimensionen der späten Religionsphilosophie FichtesWolfdietrich SCHMIED-KOWARZIK: Religion der Vernunft aus den Quellen des Christentums. Zur Religionsphilosophie im Spätwerk Fichtes Wilhelm G. JACOBS: Der Gottesbegriff in den »Thatsachen des Bewußtseyns« von 1810/11 als Übergang zur Wissenschaftslehre in specie. (shrink)
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