Abstract
Dans un texte de 1972 consacré à la pensée d’Eugen Fink, Jan Patočka écrivait : C’est [le monde] qui fait que les phénomènes soient phénomènes, qui les amène à la déterminité, à la limitation et à la délimitation, qui leur donne d’avoir une charpente interne et externe ; demeurant lui-même obscur dans le fond de son injonction ajointante, il amène tout à la lumière de l’apparaître. Ainsi, l’ordonnancement du monde règne comme quelque chose qui demeure en retrait, qui n’est rien de singulier,...