Abstract
This essay deals with a quite unexplored topic : Berkeley's sources from Renaissance. In fact, while the relationships between Berkeley and the most well-known modern philosophers (as Descartes, Malebranche, Locke and Hume) have been widely analysed, the importance of Berkeley's classical learning and erudition for the development of his own philosophical thought has usually been overlooked. After some general considerations, I focus on two topics : ether and tar-water in Siris. Cet essai traite un sujet très peu exploré : les sources de Berkeley dans la Renaissance. Alors que les relations entre Berkeley et les plus célèbres philosophes modernes (comme Descartes, Malebranche, Locke et Hume) ont été amplement analysées, l'importance de la culture classique et de l'érudition de Berkeley pour le développement de sa propre philosophie a été généralement méjugé. Après quelques considérations générales, je me concentre sur deux questions : l'éther et l'eau de goudron dans la Siris.