Traduire, et la Bible, dans la théorie du langage et de la société

Nouvelle Revue d'Esthétique 1 (1):19-25 (2009)
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Abstract

Résumé Le signe ne sait pas ce qu’est un poème et il empêche de penser le langage. Contre toutes les oppositions binaires (forme-contenu, son-sens, signifiant-signifié), il importe de ne plus opposer langage poétique et langage ordinaire, de quitter l’hégémonie du signe comme celle du sens pour s’attacher à l’affect, au rythme, organisateur du mouvement de la parole dans le discours. L’expérience de la traduction, comme celle de l’écriture poétique s’appuie sur ce levier qu’est le rythme et que la Bible impose : le travail à faire consiste à y retrouver un rythme effacé par l’hellénisation et la christianisation.

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