Abstract
Dans la Remarque générale sur l'exposition des jugements réfléchissants esthétiques, Kant formule une cinquième et dernière définition du beau, synthèse des quatre premières: „Schön ist das, was in der bloßen Beurtheilung gefällt.” Le texte de cette définition, donnant matière ultérieurement à des développements dans la Déduction des jugements esthétiques purs, doit être corrigé: la parenthèse explicative ne peut se comprendre telle quelle. Une sensation qui aurait lieu d'après un concept irait à l'encontre de l'ensemble des enseignements de la philosophie de Kant