Das problem der „ganzheit” in der biologie

Acta Biotheoretica 1 (1-2):100-112 (1935)
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Abstract

Life as a complicated process is composed of causal phenomena. But even if we know the reasons of all that happens in a living organism, we do not know what life really is. The problem of intercausal relation, of “causal structure” remains. The reason why a process takes place, must be found by analysis, causal structures are found by synthesis of the results of this analysis. Causal structures are characterized by two kinds of equilibrium: energetic and specific equilibrium. A state of physical equilibrium is characterized by a minimum of free energy; a biological energetic equilibrium is an organized one, where the vital factors activate the production of energy by each other and force each other to limit that production to the necessary measure. A specific equilibrium is characterized by the properties of its factors, properties by which those factors act as a cause after having received a specific stimulation. Every factor possesses two specific properties, in accordance with the properties of two neighbouring factors, as a link between two other links in a chain . Both forms of equilibrium authorise us to speak of living systems as a “whole”. In the second part of this paper we treat the dynamic aspect of the functions of living systems as a “whole”. This dynamic aspect manifests itself in growth and probably in cortical functions. Blastomeres represent, when isolated, the “whole” of growing potentialities of a germe. In normal contact with each other they restrict themselves to produce a part of that “whole”, in harmony with that which other blastomeres produce. This harmonious restriction can be explained by interaction between all the blastomeres by which every blastomere suppresses in other blastomeres all that it will produce itself. Blastomeres must therefore act on other blastomees not according to their isolate “being”, but according to the influences which they undergo by all other blastomeres, that means according to their “rôle”. There must be a causal net of interaction between all the blastomeres and that net “as a whole” determines every step of growth. Such a net of relation determines also human history and sociology. Materialism only took account of isolated causes, vitalism only of the effect of the net of causal relations without understanding that such a net might be analysed. In reality there is neither materialism nor vitalism.La vie est un phénomène complexe, se composant de différents phénomènes causals, qui un jour peut-être seront réduits à la causalité physique et chimique. Cependant connaitre toutes les causes des phénomènes vitaux ne signifie pas connaître la vie. Le problème de la vie ne se borne pas aux rapports causals, mais implique surtout les rapports intercausals, c'est à dire l'harmonie ou l'équilibre de ses parties constituantes. La vie comme phénomène est provoquée par une „structure causale”. Tandis que les causes sont trouvées par l'analyse, les rapports intercausals doivent être recherchés par la synthèse, c'est-à-dire par la réconstruction de la réalité de l'organisme vivant en se servant des données analytiques. Le système vivant est en équilibre énergétique et spécifique. Les facteurs énergétiques sont interlacés de telle façon, qu'ils s'activent entre eux et qu'ils se forcent entre eux à se resteindre au développement de l'énergie nécessaire. Un équilibre physique c'est l'état d'énergie libre minimum, tandis que l'équilibre biologique c'est un état d'énergie organisée. Dans un équilibre spécifique on ne peut se borner aux effects causals se manifestant par un phénomène. Il faut décrire les rapports des propriétés spécifiques de tous les facteurs; ce sont ces propriétés qui leur permettent d'agir comme cause, lorsqu'-ils sont atteint d'une excitation spécifique. Les facteurs possèdent au moins deux propriétés spécifiques, adaptées à deux facteurs voisins, comme chaque anneau d'une chaine s'adaptant à deux anneaux voisins . Le fait que l'on trouve dans chaque individu ces deux formes d'équilibre nous donne le droit de créer le concept du „tout” par rapport auquel on peut constater l'harmonie de tous les tacteurs.C'est là le „tout statique”, reste encore le „tout dynamique” qui se manifeste par la croissance et probablement par les phénomènes se produisant dans l'écorce cérébrale, base des actes psychiques. Les parties représentent beaucoup de possibilités qui ne se réalisent pas; p.e. les blastomères peuvent représenter le „tout” de l'organisme, tandis qu'ils se borneront dans la croissance normale à la production d'une part de l'individu. Il y a une interaction entre tous les blastomères, de façon que, par la suppression ou par l'activation mutuelle, chaque partie réalise ce que lui laissent les autres et ce qui est en harmonie avec ce que produiront les autres. De cette façon il y aura de l'harmonie dans tout ce qui sera produit. Les parties agissent par cette interaction, non selon leur „être”, en tant que cellule isolée, mais selon leur „rôle” dans le „tout” du germe, rôle qui est déterminé par cette interaction mutuelle universelle. C'est cette interaction qui détermine le „patron causal”, responsable de chaque étappe de la coissance. Ainsi ce ne sont pas les facteus isolés, mais le réseau des rapports établis entre tous les facteurs, qui gouvernent les phénomènes de la croissance. Ce réseau, par activation ou par suppression, détermine à chaque instant les propriétés causales des parties, d'entre toutes les multiples possibilités. Les possibilités étant données dans les cellules, c'est le „tout” du réseau des rapports qui détermine la croissance. Le matérialisme n'a vu que les causes isolées, telles qu'ellés se manifestent dans les expériences des physiciens, grâce à la technique; le vitalisme n'a vu que le „tout”, sans tâcher de l'analyser afin de trouver à sa base le système causal compliqué, que nous avons tâché de décrire. Dans la réalité la théorie du causalisme ni celle du vitalisme le tiennent plus de bout

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