Abstract
Le progrès d’une science comme la physique détermine dans la logique un mouvement correspondant ; elle aussi est en devenir. Dans le monde atomique en particulier, les relations d’incertitude d’Heisenberg et l’existence de valeurs quantifiées conduisent à la construction d’une logique mieux adaptée à ce genre de recherches, logique trivalente, et de genre doux, c’est-à-dire dans laquelle les couples de propositions peuvent être soit composables, soit incomposables, par rapport à l’opération produit.