Abstract

Les recherches sur le cerveau et celles sur les structures sociales se touchent souvent mais cheminent indépendamment. On considère ici que des mécanismes biologiques et des pressions environnementales pour la survie ont façonné simultanément une intersection graduelle de ces deux registres, transformant les conditions de l’interaction sociale collaborative et des compétences en matière de communication. De cette manière, on peut identifier des « re-descriptions représentationnelles » qui sont propres à mieux rendre compte des pratiques.