Some people are deeply dissatisfied by the universe that modern science reveals to us. They long for the world described by traditional religion. They do not believe in God, but they wish He had existed. I argue that this is a mistake. The naturalist world we inhabit is admittedly rather bleak. It is very far from being the best of all possible worlds. But an alternative governed by God is also unwelcome, and the things that might make God’s existence attractive—cosmic (...) justice or the afterlife—could also be had without God. The most desirable of all possible worlds are therefore godless. (shrink)

Selon Kirk Lougheed, favoriser une version objective de l’argument du sens de la vie établit une sorte d’antithéisme, c’est-à-dire une perspective qui maintient que l’existence d’un Dieu théiste aggraverait les choses et qu’il est donc plus rationnel de préférer que Dieu n’existe pas. Cette version objective est présentée par Lougheed comme une amélioration par rapport à ma version subjective de l’argument du sens de la vie. Je soutiens que la version de Lougheed ne réussit pas mieux que la version subjective (...) que j’ai développée, puis rejetée. (shrink)

Considérons deux mondes épistémiquement possibles qui sont aussi similaires que possible, sauf que l’athéisme est vrai dans un monde et que le théisme est vrai dans l’autre monde. Quel monde est-il rationnel de préférer? J’examine la défense la plus forte de l’affirmation quelque peu contre-intuitive selon laquelle il est rationnel de préférer le monde athée. Je discute également de la conclusion opposée, à savoir qu’il est rationnel de préférer le monde théiste. Étonnamment, ma conclusion est qu’il est difficile de dire (...) s’il faut préférer le théisme ou l’athéisme en général. (shrink)

While most discussions in natural theology focus on the existence and nature of God, recently the axiological implications of theism have been taken up by such authors as Kahane, Kraay and Dragos, Davis, McLean, Penner and Lougheed, and Penner. Rather than asking whether God exists, they ask whether God’s existence would be a good thing or a bad thing. That general question breaks down into more precise sub-questions, with a wide variety of possible positions resulting. Here, I argue that one (...) of these positions is possibly true, and that this possibility provides for a new defence against one of the most prominent arguments for atheism in the current literature: the problem of divine hiddenness. (shrink)