Action Theory

Virtue ethics has been dogged by the objection that it lacks the ability to provide adequate action-guidance, that it is agent-centered rather act-centered. Virtue ethics has also been faulted for devolving into moral cultural relativism. Rosalind Hursthouse has presented an action-based, naturalistic theory of virtue ethics intended to defuse these charges. Despite its merits, I argue that Hurthouse’s theory fails to successfully solve the problems associated with action guidance and relativism precisely because her attempt to provide a non-cultural basis for (...) virtue ethics undermines the possibility of using virtue ethics to derive useful action-guidance. The action-guiding power of virtue is derived from culture; seeking to avoid the cultural grounding of virtue merely brings one back to the problem of how virtue ethics can provide action-guidance. (shrink)

The Possibility of Practical Reason explores the foundational questions of moral psychology: How can any of our behavior qualify as acting for a reason? How can any considerations qualify as reasons for us to act? David Velleman argues that both possibilities depend on there being a constitutive aim of action―something that makes for success in action as such. These twelve essays―five of which were not included in the previous edition, two of them previously unpublished―discuss topics such as freedom of the (...) will, shared intention, the relation between value and practical reasoning, the foundations of decision theory, and the motivational role of the imagination. (shrink)

A part une thématisation limitée chez Michel Foucault, quelques références chez Giorgio Agamben, le concept d'usage n'a pas été étudié de près depuis 1927 si l'on excepte l'étude historique à portée théologique de Christian Gnilka, Chrésis, Die Methode der Kirchenväter in Umgang mit der antiken Kultur, I Der Begriff des rechten Gebrauchs, (Schwabe § Co AG Verlag, Basel/Stuttgart, 1984). Si nous nous référons à la date de 1927, c'est qu'il nous semble que la seule pensée de l'usage dans la philosophie (...) contemporaine est bien celle que met en oeuvre Heidegger dans Etre et Temps et dans les cours antérieurs à la publication de l'ouvrage. Or une lecture serrée de ces cours et de l'ouvrage publié en 1927 montre que Heidegger a opéré une reconduction de l'usage au produire et du même coup a manqué l'usage. Cette étude se propose de dévoiler la centralité du concept d'usage dans la pensée antique, principalement à partir de l'étude de l'oeuvre d'Aristote, et sa portée ontologique. Mais, au-delà d'une étude de la pensée antique, elle se propose aussi de montrer la pertinence et la richesse de ce concept qui irrigue toutes les dimensions de la vie et permet de concevoir ce que pourrait être le modus vivendi de notre temps. Après avoir arraché l'usage à sa mécompréhension contemporaine héritée de la pensée de l'utile des Lumières, l'ouvrage se déploie en deux parties. La première envisage comment la philosophie se présente soit comme la condition de tout usage, soit comme la forme suprême de l'usage chez Platon et Aristote, tout en envisageant toutes les modalités de l'usage dans la pensée antique. La seconde partie montre comment la «répétition» d'Aristote par Heidegger recouvre plus qu'elle ne la dévoile la pensée aristotélicienne de l'usage dans l'abondance de ses dimensions en assimilant l'usage au produire et l'oeuvre au produit. (shrink)

Faisant suite à une étude intitulée L'usage et le monde, la présente étude déploie la richesse de la pensée augustinienne et franciscaine de l'usage à partir de l'étude des oeuvres d'Augustin et de Pierre Jean Olivi dans leurs intimes corrélations à une pensée de la volonté. Elle a pour centre la distinction de l'usus et de la fruitio telle qu'elle se met en place dans l'oeuvre d'Augustin et sa répétition au XIIIe siècle. La première partie déploie la compréhension augustinienne de (...) l'usage dans son rapport avec la joie ou jouissance (fruitio) et montre comment l'usage dans son opposition à l'abus est le mode d'être dans le monde sans être du monde. C'est du même coup le concept d'être-au-monde de Heidegger qui est par là questionné dans ses impasses. La seconde partie, enfin, s'attarde sur les ouvrages de Pierre Jean Olivi, et souligne comment la radicalisation de l'usage dans l'usage pauvre (usus pauper) amène à une pensée concrète de la vie dans la richesse, tout en soulignant les innovations conceptuelles fondamentales d'Olivi comme la théorie du capital et la théorie de la valeur. Or vivre dans la richesse en l'assumant sans s'abriter derrière des discours convenus sur la "misère du monde" est bien l'un des défis de notre temps. (shrink)

В данной работе рассматриваются важнейшие вопросы о коллективном воображаемом и его отношениях с реальностью и истиной. Сначала мы рассмотрим эту тему в концептуальных рамках, а затем проведем соответствующий фактологический анализ наглядных поведенческих реалий. Мы будем опираться не только на методологию, но и, главным образом, на постулаты и положения аналитической философии, которые, безусловно, будут проявляться на протяжении всего исследования и могут быть идентифицированы по признакам, описанным Пересом : Рабосси (1975) отстаивает идею, что аналитическая философия может быть идентифицирована путем рассмотрения некоторых семейных (...) сходств. Он предлагает следующие семейные черты: позитивное отношение к научному знанию; осторожное отношение к метафизике; представление о философии как о концептуальной задаче, в которой в качестве метода используется концептуальный анализ; тесная связь между языком и философией; стремление к аргументированным ответам на философские проблемы; поиск концептуальной ясности. Эти базовые понятия включают в себя культурное, социальное, религиозное, научное, философское, моральное и политическое содержание, принадлежащее каждому и коллективному существованию. В данной статье мы не будем дискутировать и доказывать. Наша цель — не систематическая методология, не критика и не доказательство. Настоящая работа основана на аналитической рефлексии. Мы будем рассуждать как можно более полно и глубоко и излагать результаты своих размышлений. Несмотря на междисциплинарный характер темы и методологическую открытость к принятию вклада из любой области науки, данная работа относится к психологии и онтологии, или, другими словами, к социальной и онтологической психологии. Свободная методология, направляющая такие размышления, охватывает и рассматривает все, что приближается к согласованности с философской и психологической эпистемологией. Эта методология не гонится за доказательствами, а ищет взаимосвязь между существующими доказательствами любой природы и величины, выводя когерентный смысл реальных вещей. (shrink)

It is tempting to think (though many deny) that epistemic agents exercise a distinctive kind of control over their belief-like attitudes. My aim here is to sketch a “bottom-up” model of epistemic agency, one that draws on an analogous model of practical agency, according to which an agent's conditional beliefs are reasons-responsive planning states that initiate and sustain mental behavior so as to render controlled.

En principio es el placer un tema históricamente tratado, aunque moralmente recusado, mas con el abordaje teórico de pensadores cirenaicos y epicúreos tal concepto acabó por situarse en una defensa del mismo, hecho que resignifica a esa expresión tan censurada en el filosofar griego de antaño. De igual manera, el uso de sinonimias como gozo, fruición, bienestar, entre otros conceptos para referirse al placer, posicionan una vez más a este como elemento valioso en el tratamiento filosófico ulterior a las nociones (...) éticas aristipiana y epicureísta. Al fin y al cabo, frente a los improperios emitidos por los adversarios de la corriente hedonista, Aristipo y Epicuro justificaron sus postulados ante esas interpelaciones con el fin de salvaguardar sus principios bajo la idea de bondad de las sensaciones, siendo estas un rasgo común entre tales filósofos. Sin embargo, ambos autores disienten en el modo para conseguir tal fin, diferencias que en el presente estudio se intentan demostrar. (shrink)

El conocimiento ha incursionado como tema de gran alcance dadas las múltiples disciplinas que lo evocan y cuyos intereses investigativos incurren en una definición para este. Primeras cavilaciones acerca del conocimiento se adelantaron bajo una óptica dualista de materialismo e idealismo, ambas posturas de carácter filosófico que determinaron el pensar de Occidente. Dicho así, desde la Grecia clásica pensadores como Platón, entre otros clásicos, entronizaron esta cuestión, pero dicho trato dualista en el ámbito del saber estuvo fuertemente vinculado con una (...) reflexión de talante ético del que Platón no se eximió. Con lo dicho, el presente artículo busca describir los postulados gnoseológicos y éticos en Platón con el fin de esclarecer el nexo entre conocimiento y práctica humana. (shrink)

La pensée scientifique classique, basée historiquement sur une autonomisation relative de ses objets, sur la production/reproduction de ses données, et sur le repérage de régularités ou d'invariants, éprouve souvent quelque difficulté à rendre compte du caractère situé, contingent et singulier des actions, qui intéresse au contraire au premier chef praticiens et acteurs. A quelles conditions épistémologiques, théoriques, méthodologiques et sociales peut se faire un travail de recherche en intelligibilité qui aurait pour objet les actions dans leur singularité? Tel est l'objet (...) de cet ouvrage, produit à l'occasion d'un séminaire de recherche tenu en 1997 et 1998 et réunissant des chercheurs issus de différents horizons disciplinaires et disposant d'une expérience de réflexion et d'action dans ce domaine. Le Centre de Recherche sur la Formation est un laboratoire du CNAM spécialisé dans l'analyse des pratiques et des processus de formation et qui s'interroge plus généralement sur la manière dont peut fonctionner un champ de recherches quand il correspond à un champ de pratiques. (shrink)

On the standard interpretation, if a person holds cyclical preferences, the person is prone to acting irrationally. I provide a different interpretation, tying cyclical preferences not to irrationality, but to indecision. According to this alternative understanding – coined the indecision interpretation – top cycles in a person’s preferences can be associated with a difficulty in justifying one’s choice. If an agent’s justificatory impasse persists despite attempts to resolve the cycle, the agent can be deemed undecided. The indecision interpretation is compatible (...) with the standard interpretation of such cycles as instances of irrationality. Yet indecision corresponds to a first-person, non-instrumental perspective on the problem, whereas irrationality usually corresponds to a third-person, instrumental perspective. Due to these differences, interpreting cycles in terms of indecision offers a novel conceptual perspective, pertinent both for explanatory purposes and for the aim of normative theorizing. (shrink)

La pena natural es una situación paradójica que se puede presentar cuando el autor de un delito, al cometerlo o a causa de éste, ha sufrido un daño igual o mayor al que padecería si el juez de la causa le aplicara la pena estatal prevista para tal conducta. Se da con frecuencia al juzgar ciertos accidentes viales, cuando el acusado ya carga el peso de ser quien, por imprudencia, mató a su pareja o familiar cercano, por ejemplo. Pero ¿en (...) qué situaciones y cómo cabe recurrir a la pena natural? En esta investigación, Manuel Serrano explora las diversas aristas y posturas en pugna que atraviesan este tema, donde se cruzan cuestiones como la idea de la “culpa compensada”, la prohibición de aplicar castigo doble por un mismo hecho (non bis in idem) y la clemencia judicial. El autor desmonta la estructura conceptual de la pena natural, estudia jurisprudencia argentina y recorre producciones teóricas de juristas que se han preocupado por este asunto complejo, profundo y poco abordado del derecho penal. (shrink)

Reigning orthodoxy in the philosophical study of human rational capacities, such as being able to act intentionally and to reason, is to characterize them in causal psychological terms. That is, to analyze these capacities in terms of mental states and their causal relations. It is against this background that the work of G.E.M. Anscombe has gained renewed interest. The main goal of this chapter is twofold. First, I will explicate Anscombe’s philosophical approach by analyzing her account of intentional action and (...) by relating it to the misperceptions of that account in (the history of) the philosophy of action. Importantly, Anscombe holds that an analysis of intentional action in terms of what it is, e.g., an event with certain specific features, cannot provide non-circular explanations. Instead, following Aristotle, Thomas Aquinas and Wittgenstein, Anscombe seeks to explicate intentional action in terms of its form, i.e., the way in which it exists. The second aim of the chapter is to show the import of Anscombe’s approach by applying it to the philosophy of reasoning. After discussing two main problems for the current orthodox view in epistemological debates on reasoning, I will propose an alternative Anscombe-inspired view of reasoning. In this so-called form view of reasoning, reasoning is characterized as a tool to drag out implications, embodied in judgments of the form p as following from q. The upshot of the chapter is that concepts of our rational capacities do not depict certain psychological states or processes, but rather our involvement with rational connections that exist in our lives and practices. (shrink)

Recent accounts of human agency tend to overlook the role of conscious mental action in our daily lives, while contemporary accounts of the conscious mind often ignore the role of mental action and agency in shaping consciousness. This collection aims to establish the centrality of mental action for discussions of agency and mind.

В монографии рассматриваются интерпретативные стратегии деконструкции, их историко-философские истоки, а также их значение для постметафизического мышления. Для научных работников, студентов и аспирантов.

Qu'est-ce que l'action? Une rupture dans le cours du temps, une prise de risques, un commencement. L'agent, tel le plongeur quittant le bord, ne peut revenir en arrière ; l'exécution l'engage tout entier, corps et âme ; il doit faire confiance au monde, aux autres et à lui-même. C'est par l'action que la nouveauté entre dans la nature et dans l'histoire. Ces caractères de l'action sont-ils universels ou varient-ils selon les cultures et les époques? Bien qu'il existe différents styles d'action, (...) les modélisations dramatiques (par le récit) et mathématiques (par le calcul) du phénomène en font ressortir l'unité. En même temps, la dualité du dramatique et du mathématique est insurmontable, sans doute parce que l'histoire humaine est tragique et que la tragédie se prête mal au calcul mathématique. L'action nous révèle notre identité, y compris nos faiblesses, et commande notre destin. Cet essai fait le pari que les hommes peuvent faire prévaloir la raison pour régler les conflits. Il considère la notion chrétienne de communion des saints comme une source majeure des essais politiques et scientifiques pour nous faire prendre la mesure de l'unité du genre humain, malgré la tentation de nous enfermer dans des "sociétés closes". (shrink)

In this paper I propose and motivate a logic of the interdefined concepts of making true and control, understood as intensional propositional operators to be indexed to an agent. While bearing a resemblance to earlier logics in the tradition, the motivations, semantics, and object language theory differ on crucial points. Applying this logic to widespread formal theories of agency, I use it as a framework to argue against the ubiquitous assumption that the strongest actions or options available to a given (...) agent must always be pairwise incompatible. The conclusion is that this assumption conflicts with failures of higher order control of agents over their degree or precision of control, failures exhibited by such imperfect agents as ourselves. I discuss models in this setting for understanding such imperfectly self-controlling agents. In an appendix, I prove several relevant results about the logic described, including soundness and completeness both for it and for certain natural extensions. (shrink)